Discours De Badinter

expliquer l’injustice d’une part et la diversité des types de justices qui parfois donnent même raison a l’injustice ? Faut-il alors considérer toutes les lois comme arbitraires ? et alors comment savoir si elles sont vraiment justes ? Badinter explique dans son discours a l’assemblée nationale pour l’abolition de la peine de mort en 1981 : « Parce qu’aucun homme n’est totalement responsable, parce qu’aucune justice ne peut être absolument infaillible, la peine de mort est moralement inacceptable »

Sciences, est chargé par André le Breton de traduire en français la Cyclopoedia de l’anglais Ephrain Chambers. D’une simple traduction, le projet se transforma en rédaction d’une œuvre originale e T unique en son genre. D’Alembert écrira le fameux discours préliminaire ainsi que la plupart des articles sur les mathématiques et les sciences. 2. Qu’est-ce que les « lumières » ? L’expression « siècle des lumières » apparait dans le XVIIIe siècle, elle fréquemment employé par les écrivains de l’époque

remplaçant par la réclusion criminelle à perpétuité. Le 17 septembre 1981 , l'Assemblée nationale réunie en session extraordinaire, entame l'examen du projet de loi portant abolition de la peine de mort, présenté par le garde des Sceaux Robert Badinter dans un discours devenu célèbre, demandant à l'Assemblée nationale d'abolir la peine de mort. Evoquant un débat de consciences Le 18 septembre 1981, par 363 voix contre 117, l'Assemblée nationale adopte, après deux jours de débats, le projet de loi portant

Hugo donne à ressentir, à voir les souffrances morales et les états d'âmes d'un homme sur le point de mourir. Farouche opposant à la peine de mort, il veut émouvoir son lecteur et le persuader de l'ignominie de se châtiment. Part ailleurs Robert Badinter, futur garde des Sceaux de France, à reprit un passage de ce roman ,dans sa plaidoirie contre la peine de mort en 1980. Il a fait allusion à la souffrance non pas physique mais morale, afin de convaincre les députés François d'abolir la peine de

intellectuel. Troisième partie : les marques concernant l’auteur et la(les) personne(s) à qui s’adresse le texte Le texte prend une dimension polyphonique imitant un dialogue tel qu’il aurait pu avoir lieu dans la vie réelle, ou imitant un discours oral fait par un orateur devant une assemblée. En effet, dès le premier paragraphe, les opposants de Victor Hugo sont désignés de façon impersonnelle (« Ceux qui jugent et qui condamnent ») pour généraliser l’attaque, mais ils sont très rapidement

s’estompe, il ne reviendra plus en arrière ; cette ouverture à des circuits multiples est très certainement un acquis durable. 2. Une information plus objective L’information devient un partenaire réel, et non plus le relais trop facile du discours des marques. 3. Une créativité parfois contestable En revanche, ce même consommateur, s’il se réjouit ouvertement de l’ampleur du choix qui lui est proposé, se plaint souvent, et de plus en plus ouvertement d’un manque de créativité dans ce

nouveaux courants réactionnaires sont apparus a) Réapparition de courants différentialistes D’une part portés par les intégrismes et les fondamentalismes religieux (différentialisme et ordre moral) D’autre part certains s’abritent derrière un discours psy pour défendre ce qu’ils présentent comme un ordre anthropologique immuable. Un nouveau différentialisme qui prétend défendre l'ordre social au nom d'un "ordre symbolique intouchable", comme on l’a vu au moment du débat sur la PACS. cf Doc

Politique, culture, espace public Sophie SALAÜN Jury : Mme Isabelle HARE et M. Bernard LAMIZET Table des matières Remerciements . . Introduction . . Chapitre premier : La culture en milieu carcéral dans le dispositif institutionnel ET dans le discours politique . . I. Une humanisation progressive et non linéaire, de la Révolution au XXème siècle . . A – La Révolution française, la fin des supplices et l’institutionnalisation de la prison .. B – Des réformes pénitentiaires hésitantes, entre répression

1980’s - « multilatéralisme » américain (article du monde) - Crise sociale et chômage massif (p198) - Allongement des études dans les pays occidentaux + augmentation du travail des femmes - Hausse du niveau de vie mais aussi des inégalités - Discours Carter (USA) doc 3 p202 - Grève massive en Grande-Bretagne « winter of discontent » doc 5p203 - Scandale du Watergate sous Nixon - Fossé entre les deux Europes ( instabilité à l’Est sur tous les plans) - Théocratie islamiste qui s’oppose au modèle

de la femme, un Ministère des droits de la femme, une presse féminine... B) La femme, un être relatif Il semblerait qu'on ne puisse parler des femmes sans parler des hommes, cependant, on peut parler des hommes sans parler des femmes. C) Le discours sur les femmes est masculin Depuis des millénaires, les hommes monopolisent la parole sur les femmes. Définie, disséquée, méprisée, adulée, portraiturée par écrivains, artistes en tous genres, la femme fut jusqu'au 19ème siècle, objet de parole