Discours De Malraux

1- Présentez le document ANDIC (auteur, nature du document, date, intérêt, contexte) Le 16 décembre 1964 (date), André Malraux alors ministre des Affaires culturelles du président Charles de Gaulle (auteur) prononce un discours (nature) lors du transfert des Cendres de Jean Moulin, au Panthéon soit 21 ans après sa mort. L’hommage à ce résistant de la deuxième guerre mondiale en France (intérêt) est rendu à la fin du premier mandat du Général de Gaulle (contexte). Cet extrait (nature) proposé



Citoyens, citoyennes, quand le quatorze juillet, j'ai dit place de l'Hôtel de Ville, que si certains voulaient la république sans le Général de Gaulle, et d'autres le Général sans la république,

La France elle voulait la république avec le Général de Gaulle,

Il était bien imprudent de m'opposer que le peuple de Paris ne serait pas au rendez-vous du Général de Gaulle avec la république, le peuple de Paris est là ! Pour la France, merci témoins !

Ce qu'est pour nous la république, nous ne l'avons

s’agit de l’extrait d’un discours rendant hommage à Jean Moulin et plus largement à l’action de la Résistance Française pendant la Seconde Guerre Mondiale. Ce discours destiné à la jeunesse de France fait partie des plus grands discours de la République française et c’est pourquoi il est intéressant de l’étudier. Ce discours a donc été prononcé le 19 Décembre 1964 à Paris par André Malraux qui était alors ministre des Affaires culturelles du président Charles de Gaulle. Ce discours a été prononcé à l’occasion

Prénom Classe Date Écouter le discours d’André Malraux lors du transfert des cendres de Jean Moulin au Panthéon Page 50 Titre Discours hommage d'André Malraux à Jean Moulin Première diffusion 19/12/1964 Collection Journal télévisé de 20 h. Diffuseur ORTF Durée de l’extrait 2 min 14 sec. Lien http://www.tle.esl.histeleve.magnard.fr/ De quoi s’agit-il ? Le 19 décembre 1964, dans le froid et le vent, André Malraux, alors ministre d’État chargé des affaires

Cette phrase d'André Malraux (1901-1976) figure dans « Hommage à la Grèce », un discours prononcé au nom du gouvernement français à l'occasion de la première illumination de l'Acropole le 28 mai 1959. Ce discours a été repris dans un recueil de discours de commémoration rassemblés sous le titre Oraisons funèbres (Gallimard, 1971). • L'Acropole, temple qui domine Athènes, symbolise aux yeux de Malraux ce que certains ont appelé le miracle grec : une civilisation qui peut dire : «J'ai cherché la vérité

L’éloquence de Charles de Gaulle et André Malraux, ou la tentation de l’épopée Le politique et l’épique sont ordinairement voués à s’opposer, parce qu’ils renvoient à deux conceptions radicalement différentes de la destinée humaine. En politique, l’efficacité est avant tout recherchée : le destin de la Cité repose entre les mains des décideurs, qui possèdent le pouvoir et en usent pour façonner l’Histoire en fonction de leurs vœux. Parce qu’elle s’attache à la réalité concrète (celle de l’Etat)

           Le document est un extrait du discours prononcé par André Malraux, ministre des Affaires culturelles du président de Gaulle, lors de l’hommage national rendu à Jean Moulin, au Panthéon, le 19 décembre 1964 pour le 20ème anniversaire de la Libération, soit 21 ans après sa mort, c’est-à-dire le temps mis par les générations nées pendant la guerre pour devenir les électeurs dont Charles de Gaulle espère le suffrage lors de la prochaine élection présidentielle, pour la première fois au

Chassard TL1 Eric Histoire : transfert des cendres de Jean Moulin. Jean Moulin. Certaines personnes ne connaissent pas ce nom qui a pourtant raisonné à travers le Panthéon, et qui y résonnera à jamais depuis le discours d'André Malraux le 19 Décembre 1964, discours qui commémorait le transfert des cendres du héro-résistant au Panthéon à cette même date. Jean Moulin fut l'homme qui aida à faire naître la Résistance française et qui mourra pour elle, pour sa cause le 8 Juillet 1943 dans

qu’il remplace ; - et le haut-commissariat à la Jeunesse et aux Sports, avec lequel il doit coopérer pour l’Education populaire. Les discours de Malraux ne cesseront de rappeler les missions spécifiques du ministère face à celles de ces autres administrations. Ainsi, l’auteur s’attache à rappeler les bases du ministère et la pensée d’André Malraux, qu’il présente comme un moment de rupture dans le rapport de l’Etat à l’art. Bien qu’il y avait déjà eu des actions sociales pour élargir

accompagnée de l’histoire des différentes philosophies d’action adoptées par le ministère, avec André Malraux, puis Jacques Duhamel. Puis il met en perspective l’histoire de la politique culturelle française, en analysant son évolution depuis sa création jusqu’à l’arrivée de Jack Lang. L’ouvrage s’articule autour des trois philosophies d’action du ministère : « l’action culturelle » de Malraux, « le développement culturel » de Duhamel et « le vitalisme culturel » de Jack Lang. Il s’agit de prendre