Discours De Mussolini

contre le Traité constitutionnel européen. Tout comme dans ses ouvrages, la revendication gaulliste et bonapartiste fait partie de son discours politique. Le 13 mars 2007, il a annoncé son soutien à Nicolas Sarkozy à l'élection présidentielle. D'ailleurs, le 16 mai, à l'occasion de l'accession de Nicolas Sarkozy à la présidence de la République, il prononce un discours lors d'une cérémonie devant les chênes de la Cascade du bois de Boulogne où 35 résistants avaient été fusillés le 16 août 1944. Il

fr/noritakazbrevet/histoire/front_populaire.htm 4. La conférence de Munish qui était tenue du 29 au 30 septembre 1938 fut assisté par Hiler ( pour l'Allemagne ), Edouard Daladier ( pour la France ), Neville Chamberlain ( pour le Royaume Unis ) et Benito Mussolini ( pour l'Italie ). Le sujet de celle-ci était de signé un accords qui permettrait de mettre fin à la crise des Sudètes et sceller la mort de la Tchécoslovaquie comme Etat indépendant. http://www.ushmm.org/wlc/fr/media_fi.php?ModuleId=187&MediaId=406

imminente a) scène très brève, phrases très courtes : économie de mots, ce qui donne de la force au dialogue, chaque mot semble pesé → on peut penser qu’inconsciemment Electre sait déjà que l’Etranger est son frère. Les 2 pers n’ont pas besoin de longs discours pour se reconnaître. b) indices de temps : Oreste Electre « Tout à l’heure » « dans une minute » => instant proche. futurs proches : « tu vas revenir vers moi / me prendre dans tes bras / m’embrasser / sangloter » => Oreste semble sûr de lui

devant le refus de l’aristocratie de renoncer à ses privilèges et à ses traditions, c’est entièrement seul que le héros tentera par la suite de guider le peuple vers le Savoir. - Plus tard, malgré sa participation active à la Révolution et ses discours enflammés sur les idées des Lumières, Côme doit se rendre à la tragique réalité: il n’aura jamais sa place non plus parmi la population, incapable de le considérer comme un égal: les nouveaux édiles refusent en effet de prendre au sérieux cet original

communiste Italien. Le parti populaire en face n'arrive pas à gérer les tensions sociales et là va se présenter Benito Mussolini. Il était auparavant journaliste, chef du parti socialiste Italien, révolutionnaire. Il était très attaché au syndicalisme révolutionnaire (=type de syndicaliste dont un des moyens d'action le plus fort est la grève générale). A ce moment là Mussolini est contre la guerre mais à partir du moment où l'Italie entre en guerre il va changer. Il va commencer à penser une espèce

aisé qui exploite le banditisme endémique par un échange de bons procédés. F - Au cours de la période Fasciste : Mai 1925 - Benito MUSSOLINI (Chef de l'État Italien) fait un voyage en Sicile. Inquiet de la force et de l'ampleur de l'autoritarisme acquis par l'Organisation, il décide de l'anéantir. Dans un discours prononcé à Trapani, Mussolini affirme qu’il ne tolérera plus que « quelques centaines de malfaiteurs détruisent, appauvrissent et rançonnent la population sicilienne ». Soucieux

démocratiques, que ce soit ceux en place actuellement en France, aux Etats-Unis, au Brésil, sont différents des régimes totalitaires, c’est-à-dire l’Allemagne nazie d’Hitler, l’Union des République socialistes soviétiques de Staline, l’Italie fasciste de Mussolini, et la Corée du Nord de Kim Il-sung à son petit-fils au pouvoir depuis 2011 Kim Jong-eun. Alors que D’Alembert fit cette déclaration au XVIIIème siècle, n’ayant connu aucun des deux régimes, il semble justifié de se demander si la « langue de bois »

rapidement une dérive nationaliste : dans les années 1920, soit moins de soixante ans après l'unification du pays en une nation. Mussolini prend en effet le pouvoir en 1922 après une marche sur Rome. Le nationalisme prégnant à cette époque dans un pays qui cherche à retrouver une puissance et un honneur perdu va servir de fer de lance à la doctrine fasciste de Mussolini. Celui-ci s'appuie en effet sur les frustrations de la « victoire mutilée » de la première guerre mondiale (les puissances européennes

(radio, affiches, cinémas). En 1918, l’’Italie était troublée par de violents conflits sociaux et agitée d’un sourd mécontentement. Les réalisations fascistes doivent être dans tous les esprits. Mussolini décide alors de revendiquer pleinement la violence fasciste et menace de la durcir encore (discours du 3 janvier 1925). En 1925 les lois fascistes confortent son pouvoir et en 1926 une série de lois instaure une dictature (interdiction des partis et des syndicats, création d'une police politique)

démocratique. Ces occidentaux ont le souvenir de leurs différents passages dans des systèmes dictatoriaux. Les citoyens ne peuvent que se sentir libre quand leurs parents ou grands parents ont connu des systèmes comme le fascisme d'Hitler et de Mussolini ou le soviétisme bureaucratique de Staline. Pour la majorité, la liberté aujourd'hui se résume donc à avoir, du moins à avoir l'impression de vivre dans un système totalement démocratique, sans contrôle de la presse par le pouvoir. En allant plus