Discours indirect libre

vingt-cinq ans » (l 17-18) et « était-ce de l’ironie, de la haine … à s’amuser de tout ? » (l 19-20). 3) Le monologue intérieur - A la fin du premier paragraphe, les paroles rapportées de Lucien au discours direct sont un monologue intérieur, qui se poursuit plus loin par le discours indirect libre (l 17 à 20) sous forme interrogative, où sont énumérées des hypothèses suscitées par « l’expression singulière » (l 18-19) des yeux de l’inconnue. - Le commentaire péjoratif et méprisant sur le mauvais

monologue intérieur. B- Le monologue intérieur Le texte accumule les impressions d’Emma dès le début texte : la parenthèse dans la première phrase semble retranscrire le contenu d’un jugement qui se construit. Le texte nous livre au discours indirect libre (DIL), la pensée du personnage comme en témoigne le compte rendu des propos qu’elle ne comprend pas « on entourait un tout jeune homme qui avait battu la semaine d’avant Misarabelle et Romulus ». De plus, tous les souvenirs d’Emma sont retranscrits

personnages pour faire découvrir au lecteur le monde qui l'entoure. | L'espansion de la description | Le roman réaliste donne une place capitale à la description qui, par la percision du détail, permet de représenter la réalité | Le discours indirect libre | La parole du narrateur fait place à celle du personnage dans une continuitédu récit et du dicours : le lecteur accède au pensées du héros. | L'effet du réel | L'écrivain réaliste introduit dans le récit des documents pour

moins l’enfermerait dans sa chambre. », cette phrase dénonce l’égoïsme que fait preuve Laurent & Thérèse, pour sauver leur peau, ils préfèrent couper du monde Mme Raquin plutôt que de laisser la voir ses amis. De plus cet extrait est écrit au discours indirect libre mais également du dialogue, le point de vue est interne. Dans ce texte, Emile Zola montre également l’influence de l’hérédité, tout se passe dans un contexte familial : Mme Raquin veut dénoncer Laurent & Thérèse sa nièce d’avoir tué son fils

ici l’influence du contexte familial dans lequel évoluent les personnages, ce qui est un objectif majeur du mouvement naturaliste. On peut y voir une illustration du déterminisme social. Dans cet extrait on remarque également la présence du discours indirect libre, qui permet d’accéder directement aux pensées des personnages. Dans ce passage, il est présent aux lignes 23-24, les lires et insiste sur l’importance de l’alcool. Enfin dans ce passage, on peut lire la description de l’alambic, dans une

DM alambic Texte 1 : 1) et 2) points de vue de coupeau : il est exprimé par un discours narrativisé. Ses propos sont résumés, le rythme est assez rapide car on relève des énumérations l 7-10 et 11-16. On passe rapidement d’un élément à l’autre. Coupeau décrit la machine telle qu’il la voit. Il joue le rôle du guide on relève des verbes qui montrent l’explication «  indiquant du doigt » l 8, montrant l9, lui expliqua l7. De plus, on remarque que coupeau fait une description assez détaillée de

la fois du discours direct : « - Foireux, répliqua Gabriel avec simplicité. » ainsi que du discours indirect : «Doukipudonktan, se demanda Gabriel excédé. ». La narration entrecoupe ces dialogues de façon éphémère : « Gabriel regarde dans le lointain ; elles, elles doivent être à la traîne, les femmes, c'est toujours à la traîne ; mais non, une mouflette surgit qui l'interpelle ». (Explication) Cette abondance de dialogues et cette narration qui rappelle parfois le discours indirect libre donnent une

fois du discours direct : « - Foireux, répliqua Gabriel avec simplicité. » ainsi que du discours indirect : « Doukipudonktan, se demanda Gabriel excédé. ». La narration entrecoupe ces dialogues de façon éphémère : « Gabriel regarde dans le lointain ; elles, elles doivent être à la traîne, les femmes, c’est toujours à la traîne ; mais non, une mouflette surgit qui l’interpelle ». (Explication) Cette abondance de dialogues et cette narration qui rappelle parfois le discours indirect libre donnent une

trouve à la fois du discours direct : « - Foireux, répliqua Gabriel avec simplicité. » ainsi que du discours indirect : «Doukipudonktan, se demanda Gabriel excédé. ». La narration entrecoupe ces dialogues de façon éphémère : « Gabriel regarde dans le lointain ; elles, elles doivent être à la traîne, les femmes, c'est toujours à la traîne ; mais non, une mouflette surgit qui l'interpelle ». Cette abondance de dialogues et cette narration qui rappelle parfois le discours indirect libre donnent une très

mouvements inégaux. Des vers 20 à 29 nous avons le refus du vieillard de suivre la mort qui se découpe elle-même en deux parties : du 2ème hémistiche du vers 21 au premier hémistiche du vers 24 nous avons un discours indirect libre suivi dans le 2e hémistiche du vers 24 au vers 29 par un discours direct où le vieillard s'adresse directement à la mort. Il exprime son refus dans une plainte où il expose ses griefs. La mort vient trop vite, il n’a pas eu le temps de s’y préparer et demande un délai. Ensuite