Discours judiciaire

oratoires à partir de trois éléments principaux : l'orateur, le sujet traité, l'auditeur. S'ajoutent à ces éléments d'autres considérations sur le temps, les fins, les actions, les lieux et les arguments utilisés.   | Genre délibératif  | Genre judiciaire | Genre épidictique | L'Orateur  | le conseiller | le plaideur | le panégyriste | Le Temps | l'avenir =>c'est sur ce qui sera que l'on conseille ou que l'on déconseille. | le passé =>c'est toujours sur des actes accomplis que l'un accuse

d'éloquences : - judiciaires (avocat) - religieux (sermon, oraison, etc.) - politique - littéraire (histoire, épopée, théâtre, etc.) Il existe trois grands genres de discours rhétorique : - délibératif (quelles décisions prendre → concerne le futur) - judiciaire (est-ce que la personne est coupable → concerne le passé) - démonstratif (blâme, éloge, décider de point tel que « les italiens sont-ils plus cultivés que les français » par exemple → concerne le présent et le passé) Un bon discours regroupe

orator. Elle permet de construire des discours et de persuader un auditoire, par l’étude de l’argumentation, des figures de style, et même de la psychologie de l’auditeur, puisque l’on persuade en suscitant des émotions…  Elle est née au ve siècle av. J.C. en Grande-Grèce (Sicile), puis fut introduite à Athènes par l’influence des sophistes, qui enseignaient tout spécialement l’art de s’assurer une position sociale dominante dans la cité par d’habiles discours. En effet, bien parler, dans les tribunaux

avocat de commencer sa plaidoirie. Meursault écoute en spectateur le portrait brossé de lui. En quoi la distance ironique du narrateur fait elle apparaître l'absurdité du cérémonial et transforme-t'-elle son conte rendu en parodie de chronique judiciaire ? I. Meursault spectateur A/ La perception de Meursault est inappropriée la distance : ● il assiste à son procès comme un spectateur, un étranger ● gradation de la mise en distance : «m'écarter» → «réduire à 0» → «se substituer à moi»

procès et le système judiciaire lui sont nouveaux & inconnus.→ "j'étais très étonné" (l.4-5) + modalisateurs modestie : "me semblait, m'a semblé, m'a paru" (l.2,8,9).• Le texte est écrit de façon simple : phrases courtes, peu connecteurs logiques (→ bcp recours parataxe).→ caractère de constat, dénué d'indignation + détachement apparent du personnage renforce satire.• La satire porte sur la justice : à travers le discours de l'avocat, Camus critique la rhétorique judiciaire.→ la plaidoirie concentre

RHETORIQUE ET STYLISTIQUE, LIVRE I) L’art de persuader Aristote dans la Rhétorique (IVème s avant notre ère) note deux types de preuves de persuasion par rhétorique :  * Techniques * Extra-techniques La rhétorique a pour objet le discours persuasif et à recours à des preuves fondées sur les 3 composantes de communication : le message transmis, le locuteur (destinateur) et l’allocutaire (destinataire). Sphère rhétorique : pas démontrer le vrai mais persuader. a) Les preuves extra-techniques :

ve siècle av. J.-C. en Sicile, selon la légende, puis fut introduite à Athènes par le sophiste Gorgias, où elle se développa dans les activités judiciaires et politiques. La rhétorique est à la fois la science (au sens d'étude structurée) et l'art (au sens de pratique reposant sur un savoir éprouvé, une technique) qui se rapporte à l'action du discours sur les esprits, « bene dicendi scientia » selon les mots de l'orateur romain Quintilien1. Selon Ruth Amossy2 : « telle qu’elle a été élaborée par

sans présenter de défaut de langage. Par exemple, dans le film Le discours d’un roi, le roi Georges VI ne parvient pas à prononcer ses discours car il souffre de bégaiement, ce qui l’empêche d’être crédible et de faire passer un message fort. De plus, l’utilisation des procédés de l’argumentation est essentielle lorsque l’on doit prononcer un discours, car ils permettent de captiver l’auditoire. On peut prendre pour exemple les discours politiques qui ont marqué les élections présidentielles de 2012

fable inconnue d’Esope et de Phèdre mais inspiré d’Haudent, humaniste de la renaissance. Fable précédée par un discours de Mme de Montespan dans lequel LF célèbre la séduction, la volupté. Cette fable frappe par le tableau sombre de l’humanité contrairement au discours. Il frappe par son pessimisme. S’ouvre sur une longue intro sur la peste du vers 1 au vers 14. Propos rapportés au discours direct et indirect : il s’agit pour les animaux d’établir le coupable de ce fléau. Dénouement extrêmement rapide

1) Discours et sa définition En théories littéraire et culturelle le terme «discours» dispose peut-être d´une étendue de significations la plus large de tous les termes est pourtant il est le moins bien défini. L´existence des différentes acceptions reposent sur le fait que certains chercheurs ont une conception très restreinte, tandis que d´autres font du discours un synonyme de « texte » ou d´«énoncé». Pour préciser la notion du discours citons d´abord quelques définitions proposées par des