Dissertation Quest Ce Quun Homme Seul

Dissertation Des cultures diffrentes font-elles des humanits diffrentes Introduction Entre en matire Il ny a pas dhomme idal, lhomme nexiste pas. Pour surprenante quelle puisse paratre, cette proposition formule par Gobineau dans son Essai sur lingalit des races est intressante deux titres. Tout dabord, parce quelle sappuie sur la diversit des tres humains. Cette diversit, chacun peut en faire lexprience comment penser que cest le mme tre qui est noir en Afrique, blanc en Europe, jaune en Asie

conscience morale PAGEREF _Toc196743909 h 18 1. La voix de la conscience PAGEREF _Toc196743910 h 18 2. Conscience et conscience morale PAGEREF _Toc196743911 h 18 3. La conscience comme indpendance lgard de nos instincts PAGEREF _Toc196743912 h 18 B. Quest-ce quune personne PAGEREF _Toc196743913 h 19 1. Conscience, identit et personne morale (Locke) PAGEREF _Toc196743914 h 19 2. Une personne, cest une conscience de soi (Chauvier) PAGEREF _Toc196743915 h 20 3. La capacit de dire Je PAGEREF _Toc196743916

la socit environnante sur les jugements des personnages 3. a) Montrez comment se met en place la description de la vieille ville et ses caractristiques. b) Analysez comment se traduit le sentiment de malaise et de peur quelle inspire Lalla. Dissertation Le personnage 1. Prfrez-vous les romans dont le hros est un personnage positif 3. Un personnage de roman peut-il se concevoir sans souffrance ni dsillusion 4. Est-ce que le fait de montrer les faiblesses dun personnage de roman conduit ncessairement

fonde la conscience morale (Sartre) PAGEREF _Toc185584911 h 15 Conclusion PAGEREF _Toc185584912 h 16 Annexe PAGEREF _Toc185584913 h 17 Rsum des ides essentielles PAGEREF _Toc185584914 h 17 Illustrations PAGEREF _Toc185584915 h 17 Sujets de dissertation PAGEREF _Toc185584916 h 18 Introduction Nous pensons spontanment que lindividu existe indpendamment des autres. Nous pensons mme quil est en quelque sorte le principe et le but de la socit, et que celle-ci doit assurer la libert des individus

9 a. La seule chose vritablement bonne est une bonne volont PAGEREF _Toc194758031 h 9 b. Acte conforme au devoir et acte par devoir PAGEREF _Toc194758032 h 10 c. La raison peut dterminer la volont PAGEREF _Toc194758033 h 10 d. Le respect est le seul mobile moral PAGEREF _Toc194758034 h 10 e. Consquences et difficults PAGEREF _Toc194758035 h 11 2. La forme de la loi morale universalit et respect dautrui PAGEREF _Toc194758036 h 12 3. Prsupposs, conditions, hypothses PAGEREF _Toc194758037 h 13

pas dailleurs une scne de tous les temps et de tous les lieux, mais ramene sa plus simple expression La figure de Grandet exploitant le faux attachement des deux familles, en tirant dnormes profits, dominait ce drame et lclairait. Ntait-ce pas le seul dieu moderne auquel on ait foi, lArgent dans toute sa puissance, exprim par une seule physionomie Les doux sentiments de la vie noccupaient l quune place secondaire, ils animaient trois curs purs, ceux de Nanon, dEugnie et sa mre. Encore, combien

Scipion, dont Caligula a fait tuer le pre, la volont de le venger, mais linvite aussi comprendre le meurtrier. Caligula le fait parler dun de ses pomes, et sexalte avec lui dans lvocation de la nature mais Scipion, stant rendu compte que ce ne fut quun jeu, exprime sa haine, voque la solitude dont doit souffrir Caligula, le touche de sa main sur laquelle lautre pose la sienne pour lui assner finalement que la seule douceur quil ait dans la vie est le mpris. Acte III Annonc par Hlicon et Caesonia

glisser lentement vers la mort. Elle se laisse arracher par sa suivante la confidence du secret de son trouble elle aime Hippolyte, son beau-fils, que Thse eut dun premier mariage. Elle a tout tent pour ne pas cder sa passion, a mme cart le jeune homme tout a t vain, et elle se laisse glisser vers la mort. Scne 4 Un messager apporte la nouvelle de la mort de Thse, ce qui semble rsoudre le dilemme de Phdre son amour nest plus coupable. Mais se pose le problme de la succession sur le trne dAthnes

causes. Ici nous ne saurions videmment faire dexpriences proprement dites. Mais, il y a longtemps que Claude Bernard la dit, ce quil y a dessentiel dans lexprimentation ce nest pas la production par loprateur de phnomnes artificiels. Lartifice nest quun moyen dont le but est de mettre le fait tudi dans des circonstances et sous des formes diffrentes afin que dutiles comparaisons puissent tre institues. Supposez, en effet, quon se trouve en prsence dun phnomne qui se reproduise toujours de la mme manire

Iangoisse de son insuffisance, et Iespoir dune reconnaissance salutaire et le dnouement est diffrent. On peut avancer lhypothse que le jeune dramaturge qutait Racine ambitionna de se mesurer avec son glorieux devancier. Il tait dailleurs habituel lpoque quun auteur dramatique reprenne un sujet trait par dautres avant lui. Or Racine obtint son premier grand succs en reprenant le sujet mme qui valut son premier chec son grand rival - Des romans prcieux, comme celui, qui eut un immense sucs, de lEspagnol