Dissertation Sur Le Livre Dom Juan

les règles sociales, morales ou religieuses. Très libre, le libertin se donne ses propres règles sans aucune retenue. Il est seulement guidé par la satisfaction de son plaisir personnel, souvent au travers d’une sexualité débridée. A l’image de Dom Juan, il est un séducteur établissant de véritables stratégies de conquête. Cependant, cette conduite est socialement considérée comme décadente, voire perverse ou dépravée car elle est contraire aux bonnes mœurs (= habitudes sociales qui dictent les

Roger Grenier a réalisé le Livret accompagnant ce coffret sonore de 3 compact disques. » Coffret 3 cd avec livret historique réalisé par Roger Grenier. D’autres versions sonores existent, dont une lue par Michael Lonsdale : http://www.sigelis.com/livre-audio/albertcamus/l-etranger.html 5 Outre les propos de Camus lui-même sur le théâtre, par exemple sur le site de l’INA, irremplaçable source de données : http://www.ina.fr/video/I08079936/albert-camus-le-theatre-et-le-bonheur.fr.html Nous

types de la comédie italienne. Ce sont des domestiques comme Figaro. Ruy Blas, même s’il est momentanément un domestique, remplit plutôt l’emploi du jeune premier. 2. On pourra demander aux élèves de raconter ce qui rend légendaires Antigone, Don Juan et Faust. Oncle Vania, Chimène, Célimène, Ruy Blas ne sont ni des types, ni des mythes. Célimène est certes le type même de la coquette, mais le personnage de Molière est tellement individualisé qu’on ne peut le réduire à un type. Il en va de même

proposer – en plus des révisions traditionnelles – d’étoffer vos connaissances grâce aux articles du Monde. Citations, pistes de réflexion,arguments, exemples et idées clés : les articles sont une mine d’informations à exploiter pour enrichir vos dissertations et vos commentaires. Très accessibles, ils sont signés, entre autres, par Pierre Assouline, Philippe Sollers, Yves Bonnefoy (entretien), Robert Solé, Michel Contat, etc. Inspirée de la presse, la mise en pages met en valeur l’information et facilite

Royol, chez qui les garçons Hugo passeront un temps considérable. Ils peuvent lire tout ce qui leur tombe entre les mains. L’accès au livre est moins aisé à cette époque qu’aujourd’hui. La lecture est un luxe que peuvent se permettre les privilégiés. Il y a des livres taxés d’interdits. Ils vont profiter des séjours chez lui pour parfaire une culture littéraire. Le livre devient objet culte dans la vie de Hugo, passion dévorante qui ne le quittera jamais. Retour au père : 1809 (?) séparation officielle

Treizième séance : Cinéma et emprunts. Lieux des emprunts et réalités culturelles Quatorzième séance : Traduction et contact de cultures BIBLIOGRAPHIE 1) Fernand Braudel, La Méditerranée et le monde méditerranéen à l’époque de Philippe II, Le livre de poche, 1990. 2) Pierre Brunel, Claude Pichois, André-Michel Rousseau, Qu'est ce que la littérature comparée ?, Armand Colin, 1983. 3) Pascale Casanova, La République mondiale des lettres, Seuil, 1999 4) .Jean-Marc Moura, Travaux et Recherches

selon Freud. Toutefois, la censure liée à l’intériorisation psychique des normes sociales (= le surmoi), continue de s’exercer dans le rêve. Ainsi le rêve nous se présente sous la forme d’un « contenu manifeste » cad le rêve tel que nous le livre le souvenir. Pour Freud, il est nécessaire de s’intéresser au « contenu latent » du rêve : les pensées du rêve. Pour que le désir puisse être satisfait malgré la censure moralisatrice, des transpositions intermédiaires sont aménagées afin que l’individu

physiques, les mœurs de leurs femmes, leur solidarité raciale, leur indifférence religieuse, leurs pratiques magiques, leur orgueil racial, le problème de leurs origines, leur langue et ses dialectes. Notes (la pagination est celle de l’édition du Livre de poche, ‘’Mérimée, nouvelles complètes, tome 2’’) Page 77 : L’épigraphe est un texte grec qui signifie : «Toute femme est comme le fiel ; mais elle a deux bonnes heures, une au lit, l’autre à sa mort.» Elle est de Palladas, un des plus féconds

siècle : RABELAIS, Gargantua, trois extraits (aux chap. XXV, XXXI & XLIIII, éd. LP). DU BELLAY, Les Regrets, sonnet XXVI. RONSARD, Second Livre des Amours, sonnet VI. RONSARD, Sonnets pour Hélène, sonnet 9. XVIIe siècle : D’AUBIGNE, Les Tragiques, « Je veux peindre la France une mère affligée ». CORNEILLE, Polyeucte, II, 6. MOLIERE, Tartuffe, III, 6. MOLIERE, Dom Juan, III, 2 & IV, 4. RACINE, Phèdre, I, 5. LA FONTAINE, Fables, VIII, 3 & 14 ; IX, 2 & 3. XVIIIe siècle : PREVOST, Manon Lescaut, « Ah ! Manon

passionne pour le grec et il échange des lettres , en latin et en grec avec Guillaume Budé. Il traduit 2 livres d’Hérodote en latin. Il fréquente un groupe des juristes passionnés d’humanisme qui se réunissent au tour d’André Tiraqueau, au tour d’un livre en latin sur les lois du mariage. Rabelais se familiarise avec le droit. Il se mêle au peuple dont il observe les mœurs et le dialecte. Il séjourne avec Jean Bouchet (poète) avec qui il entreprendra des acrobaties verbales des rhétoriqueurs. Finalement