Distinguer L Homme De L Animal Est Ce Légitime

relative , jamais absolue . Mais la « puissance » se dit également à propos de l’exercice d’un pouvoir ou d’un rapport de force entre individus ou institutions. Tel homme politique, telles société ou ONG sont dites « puissants » par la force de persuasion et de domination qu’ils imposent dans leur domaine respectif. C’est leur capacité d’action et de transformatio n de leur environnement qui

appartient est une seconde caractéristique de la maitrise or lorsque l'on désir c'est quelque chose nous échappe ou que l'on nous n'avons pas pu obtenir. Cependant le désir reste une réaction que partage tout homme comme une demande naturel du corps. Dans les demandes de l'être on distingue le désir et le besoin en qualifiant le besoin comme ce qui est indispensable au corps. Le besoin à l'inverse du désir, ne peut être maîtrisé et possède un caractère de nécessité propre à l'homme. Les désirs sont

accompagné de la proclamation de la nouveauté : Machiavel se dit le « découvreur d’un nouveau continent », Hobbes affirme quant à lui qu’on peut produire une « démonstration rationnelle de la philosophie civile ». Il va ainsi s’agir pour nous ici de distinguer d’une part en quoi ces auteurs introduisent une rupture, mais aussi d’autre part quel éléments du moment fondateur ils sont amenés à réactiver. Dans un premier temps, nous verrons la rupture créée par ces deux auteurs pour ensuite étudier la conception

l’instar notamment de Kondratiev : comment évolue-t-elle ? Obéit-elle à un schéma linéaire, ou peut-on, au contraire, la définir comme un éternel recommencement ? Nous développerons ici l’idée que le sentiment d’un éternel recommencement, bien que légitime, relève de l’illusion (I). La légitimité du sentiment et l’existence de l’illusion s’expliquent avant tout par l’opposition, inhérente à la condition d’être humain, entre passion et raison (II) L’ILLUSION D’UN ETERNEL RECOMMENCEMENT L’Histoire

faut-il respecter toute les cultures ? Deux approches : une approche absolue, générale du rapport nécéssaire obligatoire légitime et puis une approche politique avec celle du droit. On ne peux pas traiter de la même manière les cultures au sein d'un espace régis par des lois et puis traiter les cultures dans l'absolue Cela nous amène à deux définitions du respect : une version extérieure. Est-il nécéssaire de travailler à la préservation des cultures ? Cela voudrait dire qu'on ne protège pas

-états modernes qui surgit comme réponse à la crise de médiation ouverte par les guerres de religion, cet état moderne se trouve devant un problème très profond, ce pb se noue autour d’une crise de légitimité, ce n’est plus la religion qui peut légitimer ce qu’il fait, les portes paroles des religions se dévorent Contractualisme : sur quoi se fonde le pouvoir ? -ce pouvoir moderne exige un autre fondement en droit et c'est ce qu’on va aborder à travers la notion de droit naturel moderne -hobbes est

naturelle est le moteur de toute évaluation de l’espèce. L’homme fait nombre avec les animaux même s’il est au sommet de la hiérarchie des vivants. Critique : peut-on passer de l’analogie (au sens aristotélicien ie mathématique du terme) des modèles du monde humain et du monde animal à une identification des deux règnes ? Ce réductionnisme est-il effectivement justifié ? Réponse : non car le modèle du règne animal et l’approche éthologique sont intransférables à l’homme. Orientation de la réflexion

sur la pertinence du traité européen, il faudra donc : ← comprendre sa source, ces principes, et donc expliquer le statut initial des droits de l’homme, ← comprendre les contestations du XVIIIe, XIXe et XXe siècles et les débats actuels. □ Distinguer  deux courants : |Penseurs libéraux |Penseurs communautariens | |Républicanisme post-national |Républicanisme national

INTRODUCTION I L’individu, la société , le pouvoir Un ” animal politique “  Aristote, dans”Les politiques”, définit l’homme comme un ” animal politique ” (de polis, la cité) . ” Politique “  est ici une qualité, ou une caractéristique, qui distingue l’homme des autres animaux : on peut l’entendre au sens large, (” qui vit nécessairement en société “) ou au sens étroit : ” qui ne peut s’épanouir que dans la  cité “.  Pour les Grecs, ces deux interprétations se rejoignent : la cité est en effet

Ethique animale : un débat entre négations et nouvelles considérations Floriane BOULANGER Master 1 SETE Année scolaire 2009-2010 Sommaire Introduction................................................................................................................................ 3 I. Les origines du débat ......................................................................................................... 4 1. Définitions ...............................................................