Distraire Le Spectateur

épargne Vincent et Jules sur lesquels on a tiré à bout portant, se développe une discussion argumentée sur Dieu, dont la nature sérieuse, voire métaphysique — mais complètement hilarante, car elle est tout à fait inattendue — ne peut que fasciner le spectateur. Ces personnages hauts en couleurs nous sont d'ailleurs présentés — c'est à noter — allant par deux. Que l'on songe aux nombreux "couples" qui peuplent le film. Comme si le réalisateur s'ingéniait en effet à faire se croiser des associations

principal : faire rire, amuser, distraire les spectateurs. En effet, il y a différents procédés qui nous permettent d’affirmer ceci. En premier lieu, ce sont tout d’abord les différents comiques de gestes, de mots, de situtation, de caractères, de mœurs et les quiproquos présents dans les comédies. Par exemple, dans les fourberies de Scapin, l’utilisation d’un batôn pour frapper relève du comique de gestes, de la farce grossière, qui faisait généralement sourire les spectateurs peu cultivés. Les dramaturges

début du cinéma la musique ne se mélait pas à l'image. Ce n' est quand 1908 le jour de la sortie du film "L' assassinat du duc de guise" qu' un piano accompagna l' image.La musique servait à cacher le bruit du projecteur, rassurer les spectateurs dans le noir, distraire l'oreille mais surtout renforcer le lien entre les différentes scènes du film.Jusqu'en 1920 la musique est principalement confié à un piano voir un orchestre, puis les réalisateurs essayèrent de synchroniser le son et l' image sans grande

Sujet : Toute mise en scène d’un texte de théâtre est une recréation. La majorité des pièces de théâtres sont écrites dans le but d’être mises en scène. Les représentations théâtrales visent à distraire le spectateur, à lui proposer le spectacle visuel d’un texte. Pourtant, certains metteurs en scène choisissent de prendre certaines libertés face à l’œuvre. C’est pourquoi on peut se demander si toute mise en scène d’un texte de théâtre est une recréation. Afin de répondre à cette problématique

lui reste à l'annoncer à Bérénice et celle-ci doit l'accepter. Leur passion n'est jamais mise en doute, à aucun moment la vie d'un personnage n'est en danger : rien ne vient distraire l'attention. Le très grand art de Racine consiste à « faire quelque chose à partir de rien » (préface de Bérénice), à créer chez le spectateur « cette tristesse majestueuse qui fait tout le plaisir de la tragédie » à partir d'un sujet que l'on peut raconter en une phrase. La tension atteint son paroxysme à la fin du

une âpre rivalité et c'est alors que les passions des spectateurs se déchaînaient pour soutenir leur faction favorite. Les naufrages étaient nombreux et généralement la chute d'un aurige en entraînait d'autres, incapable de maîtriser leurs chevaux lancés à grande vitesse. Ainsi je vis mes concurrents tomber certains étaient trainés par leurs chevaux pendant de longues minutes, mais il fallait que je continue je ne pouvais me laissais distraire. Je me rendis vite compte que l’on n’était plus que

deuxième fois que Toinette apparaît en médecin, car elle risquait d’être reconnue par Argan la première fois, et la tension est à son comble : le spectateur attend avec impatience de voir quelles

eu un impact important dans leurs écrits, leurs productions ou leurs manières de faire. Le Classicisme s'inscrit même comme une culture de ce temps. VI. Résumé du texte. Il convient, lors de l'écriture d'une tragédie, de parvenir à toucher le spectateur. Boileau se dresse contre l'esthétique baroque, notamment car elle ne respectait pas la règle des Trois Unités. Celle-ci est pourtant, pour cet auteur, la règle la plus importante et celle qui mérite le plus d'attention lors de l'écriture d'une

projecteur qui trônait au milieu des spectateurs et éviter à certains d’entre eux, l’angoisse d’une salle plongée dans l’obscurité. Cependant, dès ses débuts, la musique de films apportait des effets stimulateurs à certaines séquences, elle renvoyait et retranscrivait souvent les émotions des comédiens. Le cinéma, muet à ses débuts, avait besoin de raconter l’histoire au-delà des images, transmettre les sentiments et émotions de l’acteur , raconter à l’oreille du spectateur ce que ses yeux pouvaient voir

1622-1673) : un des plus grands dramaturges célèbre pour ses comédies qui dénoncent les vices humains à travers des personnages excessifs comme Harpagon dans l'Avare . Il veut également flatter le roi et charmer les spectateurs => comédie ballet. Le Malade imaginaire , dernière pièce de Molière en 1673, est une pièce de trois actes séparée par des intermèdes. Cette pièce s'est ouverte par un prologue «  en musique et en danse » destiné à saluer