Division Entre Dreyfusards Et Antidreyfusards

liberté de la presse et la liberté de réunion sont levées. Napoléon III se lance dans une guerre contre la Prusse. L'armée impériale est balayée en un mois et le régime s'effondre en 1870. un gouvernement provisoire prend en main le pays ( dirigé entre autre par Gambetta) La troisième République La commune Le gouvernement veut désarmé la population parisienne en récupérant les canons de la garde nationale, ce qui provoque la Commune. La Commune est le premier régime « pré-communiste »

Paris, 11h dans le reste de la France). Capitale plus favorisée à l’époque car à l’origine des révolutions.   Pose alors la question de jusqu’où doit aller la République ?   Fin de la République de 1848 : PB des républicains = n’arrive pas à doser entre le social et le conservatisme. Débordés alors à droite et à gauche. D’abord à droite, en avril 48 par monarchiste et légitimistes. 1ère élections aux suffrages universel ; Mais prégnant idéalisme des gouvernants, car classes populaires illettrées

conciliation) ; l’union Républicaine (menée par Gambetta, plus combattifs). Diversité politique parmi ces opportunistes. Programme de conciliation (relativement légé pour satisfaire toutes les divisions pour former une union politique). Les Radicaux : menés par Clémenceau. Programme plus ambitieux. Entente tacite entre Opportuniste et Radicaux pour consolider la République, entente qui va durer de 1879 à 1884. Les actes législatifs de la Troisième République Politique française à cette époque : lois

place syndicats ◦ lib d'expression garanties (clubs = lieux de réunion) ◦ justice gratuite accessible ◦ Instruct° laïque / gratuite / obligatoire (pas d’obscurantisme religieux)26 mars 1871 = Commune élue au conseil municipal parisien Antagonisme (entre AN+Thiers VS représentants de Paris) → tensions ++++→ Échec de la Commune & répression lourde (-100 000 parisiens → morts ou déportés)Transition :1871 extrême gauche disparaît → crainte dominat° conservateurs et → effondrement de la démocratie

l'arrêt des combats. Le lendemain commence le siège de la ville de Paris qui décide de résister. Le gouvernement a l'espoir d'une guerre de mouvement, et Gambetta fuit la ville en montgolfière (F.Roth, La guerre de 1870). Politiquement, c'est la division. Plusieurs camps veulent créer une unité nationale : les royalistes, les paysans et les notables, et les blanquistes (qui veulent une république universelle). Les choses se compliquent avec la Commune. Cet épisode repose sur plusieurs mécanismes

le mur des fédérés au cimetière du père Lachaise. Cela ne met pas fin à la répression car une « purge » a lieux dans la capitale par la suite. B] Bilan de la Commune Deux bilans : humain et politique. Humain : difficile à établir, mais au moins entre 5k et 20k morts. Très lourd tribu payé par les communeux (max 2k morts versaillais) le bilan ne s’arrête pas là car les exécutions continuent après la fin des évènements. Déportations dans les colonies (Algérie, Nouvelle-Calédonie). Le quart de la

à la fois influencé la presse et été influencée par celle-ci. Sera finalement abordée la contribution d’Émile Zola et son célèbre article J'accuse, ainsi que le scepticisme avec lequel l'auteur est parfois regardé. Afin de saisir les relations entre la presse et l'affaire Dreyfus, il est bon de rappeler dans un premier temps le climat culturel et politique dans lequel baigne la France avant et pendant la fin du siècle. 1. La presse à la fin du XIXe siècle 1.1 La presse sous le Second Empire

I) L’ENRACINEMENT DE LA CULTURE REPUBLICAINE A) La diffusion d’une nouvelle culture politique 1) Le triomphe de la République parlementaire La Constitution de 1875 instaure un régime parlementaire. Le pouvoir législatif est partagé entre la Chambre du Sénat et celle des députés. Le pouvoir exécutif est confié au Président de la République, élu par les deux Chambres pour sept ans. 2) Les valeurs de la République Les républicains se présentent comme les héritiers de 1789. Ils pensent

Réponse aux Questions : La France de la Belle Epoque, Une société entre permanences et mutations 1) Au niveau économique, la France de la Belle Epoque apparaît comme un pays riche. A cette époque, la France est marquée par une période de croissance économique, soit une importante augmentation de sa production. En effet, dans le document 1 on constate une augmentation d’environ 60% du revenu national entre 1880 et 1910. On constate aussi une augmentation de la production et du commerce extérieur

« J’accuse » de Zola (13 janvier 1898) : de l’affaire judiciaire à l’affaire d’Etat. Les révélations du colonel Picquart (qui découvre que le traître est le commandant Esterhazy) conduisent à un élargissement du camp dreyfusard : en novembre 1897 se développe une presse dreyfusarde (L’Aurore). Elle cherche à mobiliser l’opinion en faveur de la révision du procès du capitaine Dreyfus (1ers écrits de Zola). Après l’acquittement d’Esterhazy (qui s’avère être le traître en question) le 11 janvier 1898