Dodécaphonisme

Le dodécaphonisme Le dodécaphonisme est un terme inventé par René Leibowitz, compositeur français du XXème siècle, qui signifie littéralement douze sons. Ce terme désigne une méthode de composition développée par le compositeur autrichien Arnold Schönberg dans les années 1920. Cette méthode se base comme son nom l'indique sur l'utilisation des douze sons de la gamme chromatique. Tous sont utilisés de manière égale, c'est à dire qu'il n'y a plus de tonique, de sous-dominante ou encore de dominante

Exposé musique : Dodécaphonisme Ma partie : Qu'est-ce qu'une musique dodécaphonique ? A la fin du XIXème siècle, des compositeurs tels que Richard Wagner (1813-1883) ou Claude Debussy (1862-1918) font des recherches afin de rendre plus libre le compositeur. Cela donne naissance à de nouvelles règles contraires à celles du système tonal : le système atonal. Le principe est de ne valoriser aucune note, mais les compositeurs s'embrouillent très vite dans ce système, jusqu'à l'arrivée d'Arnold Schoënberg

déclenchera une certaine animosité entre les deux musiciens. Ses premières œuvres ("la Nuit transfigurée" par exemple) ne reçoivent qu’un accueil mitigé. D’un langage atonal adopté au cours des années 1906-1907, Schönberg n’évoluera vers le plus strict dodécaphonisme qu’entre 1921 et 1924 (à la même époque environ de Webern). Compositeur aux débuts romantiques (il se passionne pour Richard Wagner et Gustav Mahler, Johannes Brahms, mais aussi pourLudwig van Beethoven, Johann Sebastian Bach ou Wolfgang Mozart)

du XXe siècle, les précurseurs de la musique contemporaine, explorant l'atonalité, le dodécaphonisme et le sérialisme. Le dodécaphonisme, ou musique dodécaphonique, est une technique de composition musicale imaginée par Arnold Schoenberg. Cette technique donne une importance comparable aux 12 notes de la gamme chromatique, et évite ainsi toute tonalité. La musique sérielle est une extension du dodécaphonisme. Elle n'apparaît réellement qu'avec la Klavierstück V de l'opus 23 de Schoenberg ; il

devait finir sa vie mais surtout développer un dodécaphonisme classique (Concerto pour violon, 1936). Schönberg décède à Los Angeles le 13 juillet 1951. Compositeur aux débuts romantiques, Schönberg a fortement évolué selon un style tout à fait personnel pour en arriver à devenir l’un des compositeurs les plus influents sur la musique du XXème siècle. Il appartient au premier cercle de la seconde école de Vienne, explorant l’atonalité, le dodécaphonisme et la musique sérielle. http://www.bach-cantatas

de fuir son pays. Après s’être installé à New York en 1933, il déménage et s'établit définitivement à Los Angeles où il développe un dodécaphonisme « classique » : Concerto pour violon (1936), Un Survivant de Varsovie (oratorio dramatique, 1947). Vivant dans un certain dénuement, Schönberg continue d'enseigner jusqu'à sa mort. Dodécaphonisme : Le dodécaphonisme, ou musique dodécaphonique, est une technique de composition musicale imaginée par Arnold Schoenberg. Cette technique donne une importance

– par exemple, la sonate – s’appuyaient sur la tonalité, et tout particulièrement sur le jeu tonique-dominante. Il restait donc à découvrir le moyen d’obtenir des formes de composition musicale aussi «solides» en se privant de ce jeu tonal. Le dodécaphonisme, la série de douze sonsI Série de douze sons (Schönberg, quatuor op. 37). L’idée à laquelle eut recours Schönberg dans la valse de sa Suite pour piano op. 25 est celle qui consiste à utiliser, toujours dans le même ordre, sans omission ni répétition

mondiale qui lui voudra l’animosité de Claude Debussy. Il était juif et partisan d’un courant artistique que le régime nazi considérait comme dégénéré, il fut obligé de quitté son pays en 1933 pour s’installer à Los Angeles. Là-bas il développa le dodécaphonisme classique. Il eu cinq enfants de deux mariages dont un, devint un important avocat américain. Outre son intérêt pour la musique, il écrit de nombreux ouvrages tels que des poésies, des pièces de théâtre et des ouvrages théoriques mais fut un peintre

brutalement) renforce le 4. Rythme irrégulier. L ’ orchestre « compte » aussi ( notes en pizzicato ) poids du texte. 5. Crescendo et accélération. Rythme saccadé (= évocation d ’ un galop ) 6. C hœur à l ’ unisson et dodécaphonisme  Cette œuvre de la période contemporaine s’inscrit da ns le courant de la musique dodécaphonique : technique de compositi on qui donne une importance éga le aux 12 notes de la gamme, et évite ainsi toute tonalité, nous sommes donc

(“la Nuit transfigurée“ par exemple) ne reçoivent qu’un accueil mitigé. D’un langage atonal (technique de composition et état harmonique qui en résulte) adopté au cours des années 1906-1907, Schönberg n’évoluera vers le plus strict dodécaphonisme (système musical fondé sur les douze sons de la gamme chromatique = les notes sont séparées d'un demi-ton) qu’entre 1921 et 1924 (à la même époque environ de Webern). En 1925, il devient professeur à l’Académie prussienne d’Art mais