Dolchstoßlegende

nous voyons un général qui ordonne de donner l’assaut sur une de ses troupes. Un cliché réaliste de la grande guerre. Pour eux si un soldat fait de bonnes actions c’est uniquement pour être promu. Après la défaite, les nazis rependent le Dolchstoßlegende (en allemand légende du coup de poignard dans le dos), une légende répandue par les nazis selon laquelle l'armée allemande serait restée invaincue sur les champs de bataille de la Première Guerre mondiale, mais aurait été abattue par une trahison

conséquences politiques incohérentes, laissant une Allemagne trop puissante avec de nombreux motifs de ne pas respecter ses obligations. Plan Dawes (1924) et Plan Young (1929), sur les conditions de paiement des réparations par l'Allemagne Dolchstoßlegende Causes de la Seconde Guerre mondiale Kriegsschuldfrage [modifier] Liens externesSur les autres projets Wikimédia : « Traité de Versailles », sur Wikimedia Commons (ressources multimédia) (fr) J. Bainville et J.M. Keynes : deux analyses

médiatisation165. Autres éléments participant à l'héroïsation de ces soldats morts au combat, les cimetières militaires et les monuments aux morts de la Première Guerre mondiale (en) qui sont érigés dans des milliers de villages et de villes. La Dolchstoßlegende (« la légende du coup de poignard [dans le dos] ») est une tentative de disculper l'armée allemande de la défaite de 1918, en en attribuant la responsabilité, à la population civile à l'arrière du front, aux milieux de gauche et aux révolutionnaires

et en promettant de redonner du travail aux chômeurs, les nazis attribuaient de nombreux maux de l'Allemagne à de prétendus complots juifs, soutenant même que la Première Guerre mondiale[->25] avait été perdue à cause d'une trahison juive (la Dolchstoßlegende[->26]). La République n'a pas été supérieure au KPD[->27] (Parti communiste allemand) car il avait adopté la ligne dure voulu par Staline[->28], la « classe contre classe » et s'était allié avec le Parti socialiste. Dès 1934, Staline fera adopter

Drexler fonda à Munich le Parti Ouvrier Allemand (ou DAP en allemand   : Deutsche Arbeiterpartei), groupuscule d’extrême droite comme tant d’autres dans l’Allemagne d’après 1919, meurtrie par la défaite et le « coup de poignard dans le dos » (Dolchstoßlegend). La République de Weimar était régulièrement ébranlée par des agitations politiques violentes. Afin de surveiller le DAP d’Anton Drexler, les services de renseignements de l’armée lui envoya l’alors caporal Adolf Hitler, soldat ayant passé quatre

raciste et en promettant de redonner du travail aux chômeurs, les Nazis attribuaient de nombreux maux de l'Allemagne à de prétendus complots juifs, soutenant même que la Première Guerre mondiale avait été perdue à cause d'une trahison juive (le Dolchstoßlegende). La montée et la chute du nazisme (1933-1945) Après le succès du NSDAP aux élections de 1932 (premier parti, sans toutefois disposer de la majorité au Reichtag), Hitler fut nommé Reichskanzler (Chancelier) par le président Paul von Hindenburg

de la paix, ni le fait que l’Allemagne avait perdu militairement la guerre, ne furent acceptés. Le « mensonge » de ne pas avoir « perdu militairement » la guerre donna notamment naissance à la fameuse légende du coup de poignard dans le dos („Dolchstoßlegende“), propagée par des militaires (Ludendorff), élites conservatrices et partis de droits qui rejetaient la responsabilité de la défaite sur les civils, les socio-démocrates, les communistes et les juifs et donc également sur le gouvernement nouvellement

médiatisation165. Autres éléments participant à l'héroïsation de ces soldats morts au combat, les cimetières militaires et les monuments aux morts de la Première Guerre mondiale (en) qui sont érigés dans des milliers de villages et de villes. La Dolchstoßlegende (« la légende du coup de poignard [dans le dos] ») est une tentative de disculper l'armée allemande de la défaite de 1918, en en attribuant la responsabilité, à la population civile à l'arrière du front, aux milieux de gauche et aux révolutionnaires

Conclusion : De 1920 à 1924, l’opposition de droite progresse beaucoup et au total a peu près 40% des électeurs contestent la république de Weimar. II-L’évolution intérieure : les périodes de troubles A-Les troubles politiques de 1919 à 1922 (« Dolchstosslegende », Helfferich, Bauer, Maercker, Baltikum, v. der Goltz, v. Lüttwitz, v. Seeckt, Truppenamt, Legien, Gessler, Buchrucker, Heeresleitung) - Du côté de la droite, Hindenburg accuse les révolutionnaires d’avoir donnés un coup de poignard dans

médiatisation160. Autres éléments participant à l'héroïsation de ces soldats morts au combat, les cimetières militaires et les monuments aux morts de la Première Guerre mondiale (en) qui sont érigés dans des milliers de villages et de villes. La Dolchstoßlegende (« la légende du coup de poignard [dans le dos] ») est une tentative de disculper l'armée allemande de la défaite de 1918, en en attribuant la responsabilité, à la population civile à l'arrière du front, aux milieux de gauche et aux révolutionnaires