Dom Juan Accumulation De Qualificatifs Négatifs

Don Juan acte I en scène 1 Introduction. Présenter rapidement Molière et les circonstances d’écriture de Dom Juan. On est dans la scène d'exposition où il s’agit de donner aux spectateurs les informations essentielles pour qu’il puisse comprendre la suite : on a ici le portrait de Don Juan par Sganarelle, en l'absence de son maître, alors que Gusman demande des explications sur l'attitude de Don Juan. C'est l'occasion pour Sganarelle d'exprimer librement ce qu'il pense de son maître : il dresse

symbolique « cent » ; – le large recours aux procédés de l’amplification : • synonymie ; • énumération visant parfois à l’exhaustivité de l’inventaire (« Tambourins... chalumeaux résonnent ») ; 4 Réponses aux « … à vous… » Moyen Âge • accumulation (« selon son désir, selon sa préférence et sa fantaisie ») ; • répétition (par exemple : la double énumération des instruments) ; – enfin, l’abondance des juxtapositions, des asyndètes et des propositions brèves signalant un style coupé : le

opposées ? Quelle est la fonction du mythe, dans ce cas précis ? 5. Commentez l’articulation du mythe et de la littérature à travers le texte ci-dessous, à partir des catégories évoquées en cours. Quelle est l’originalité de ce poème ? Don Juan aux Enfers Quand Don Juan descendit vers l'onde souterraine Et lorsqu'il eut donné son obole à Charon, Un sombre mendiant, l'œil fier comme Antisthène, D'un bras vengeur et fort saisit chaque aviron. Montrant leurs seins pendants et leurs robes ouvertes, Des femmes

» n’est prononcé qu'à la strophe suivante, la dernière du poème (vers 37). Cela crée un effet de suspens. La tournure « Mais parmi » (vers 29) accentue la monstruosité de l’Ennui ; parmi les sept autres animaux repoussants, il est le pire. Les accumulations créent un effet de cascade accentué par la juxtaposition d’adjectifs (vers 33). La tournure de présentation « Il en est un » (vers 33) pousse le lecteur à la curiosité. Au vers 33, l'anaphore de « plus » et la gradation, basée sur la longueur des

costume de théâtre. Les personnages n’ont pas qu’une dimension comique : ils prennent l’allure fantastique de morts-vivants (« leur teint de cire, leurs fronts ruinés, la pâleur des yeux » l. 40-41). L’imagination du narrateur s’échauffe : accumulations, énumérations, antithèses (« bouffonnes » / « sérieuses » l. 18, « mourants » / « vivants » l. 24), hyperboles (« exorbitants », « luxuriantes » l. 34), métaphores outrées (« couleurs fanées » l. 38 , « fronts ruinés » l. 40-41), comparaisons

costume de théâtre. Les personnages n’ont pas qu’une dimension comique : ils prennent l’allure fantastique de morts-vivants (« leur teint de cire, leurs fronts ruinés, la pâleur des yeux » l. 40-41). L’imagination du narrateur s’échauffe : accumulations, énumérations, antithèses (« bouffonnes » / « sérieuses » l. 18, « mourants » / « vivants » l. 24), hyperboles (« exorbitants », « luxuriantes » l. 34), métaphores outrées (« couleurs fanées » l. 38 , « fronts ruinés » l. 40-41), comparaisons

égard. La casquette, emblème de Charles : la proposition qui introduit la description détaillée de la casquette de Charles pose l’adjectif qui résume l’objet (« c’était une de ses coiffures d’ordre composite »), caractéristique confirmé par une accumulation de détails hétéroclites qui précise ce mélange de genres, dans le choix des matières (« loutre », « coton », « velours »…), des formes (« rond », « Ovoïde », « renflée »…). A peine nommée, elle apparaît inclassable et infigurable parce qu’elle

») . . . exclut . . . . . . . .toute . . . . . . . autre . . . . . . . hypothèse . . . . . . . . . . . . . .et . . .s’accompagne . . . . . . . . . . . . . . . . . . d’une . . . . . . . longue . . . . . . . . . .énumération ................. –. . accumulation . . . . . . . . . . . . . . . . . . des . . . . . étapes. . . . . . . . . . Des . . . . . adjectifs . . . . . . . . . . . (« . . .implacables . . . . . . . . . . . . . . . », . . .«. .résolue . . . . . . . . . ») . . .ou . . . des . . . . . adverbes

Molière, L’École des maris 3 Plaute, Le Soldat fanfaron P. Corneille, L’Illusion comique Prolongements Extrait du film Don Giovanni de J. Losey Séquence 2 Molière et ses héritiers A. Bosse, Les Farceurs de l’Hôtel de Bourgogne TEXTE 1 Molière, Dom Juan D’UN TEXTE À L’AUTRE 1 A. de Musset, Les Caprices de Marianne TEXTE 2 Molière, Les Fourberies de Scapin D’UN TEXTE À L’AUTRE 2 S. Beckett, En attendant Godot TEXTE 3 Molière, Le Malade imaginaire D’UN TEXTE À L’AUTRE 3 J. Romains, Knock ÉTUDE D’ŒUVRE

Sganarelle et manteau long à grand col de fourrure pour Don Juan – participent à cette atmosphère 1900. Les expressions du visage de Don Juan montrent sa domination et sa violence envers Sganarelle, notamment dans la troisième vignette. L’attitude corporelle et le geste de la main dans la vignette suivante traduisent le mépris pour la constance, bonne pour les ridicules, représentés ici par Sganarelle. Enfin, l’image finale révèle un Don Juan cynique, grâce aux choix d’un regard dur et d’un sourire