Dom Juan Manipulateur Avec Qui

Merteuil et encore moins à Mme de Rosemonde. - Des jeux de contraste : les lettres ne sont pas disposées au hasard, l'idée est de maintenir une tension dramatique, de ménager des effets, etc.     * Parfois le lecteur est mis dans la confidence des manipulateurs puis bascule du point de vue des naïfs, le lecteur devient complice.     * Mais parfois c'est l'inverse, la manipulation n'est révélée qu'a posteriori : ainsi, le lecteur apprend après coup que Merteuil avait tout manigancé depuis le début pour

d’autant plus facilement que la séquence théâtre antérieure convoque des extraits de Tartuffe rejoués par cœur, les adjectifs de la pièce venant résonner pour nourrir le projet d’écriture : « Gros et gras, le teint frais... », cet homme là est « manipulateur, cupide, fourbe, sournois, égoïste, hypocrite, pervers, menteur... », entre autres qualificatifs suggérés par les élèves. « Laissons bouillonner la marmite des mots » pourrait-on dire pour analyser comment un groupe peut s’emparer d’un tel projet

attaque de front une caste nobiliaire qui détient tous les biens de ce monde (fortune, rang social, titres et places) sans rien avoir fait pour les mériter. Ce lieu commun est la vraie noblesse que l’on retrouve dans de nombreuses pièces (ex : Don Juan, Molière, IV, 4). Mais la nouveauté tient au fait à ce que la sentence prononcée est passée dans la bouche du valet de comédie (et non plus dans celle du père noble) : ce transfert constitue une égalisation des conditions. Figaro éprouve un complexe

militaire .Détournement en galanterie, Valmont= Tartuffe, Dom Juan .Conquête de femme difficile= interet Conclusion, Incipit : nouveaux perso+idee sur l’intrigue, Chaque epistolier envoie à son destinatire l’image qu’il veut de lui  on ne peut pas se fier aux lettres, bal masqué Intro : Les LD, Choderlos de Laclos, 1782, récit épistolaire sulfureux, narrant le duel de deux nobles bien nés, manipulateurs, roués et libertins du siècle des lumières. Ce roman est essentiellement

délicieusement troublant, si ingénument équivoque. »32 Chérubin est la création la plus originale de Beaumarchais, il est un personnage comique qui nous fait rire chaque fois qu’il entre en scène. Il aime séduire les femmes et on le compare avec un « Don Juan adolescent. »33 Ce rôle était probablement le plus difficile à interpréter. Dans la Préface, Beaumarchais a défini exactement comment il veut qu’on le joue : Ce rôle ne peut être joué, comme il l’a été, que par une jeune et très jolie femme ; nous

énonciateurs. Argument : Résumé de l'histoire que la pièce met en scène. On parle également d'un argument de ballet.Arlequinade : Pièce, avec ou sans paroles, ayant Arlequin pour personnage central. Il peut s'agir de la réécriture d'une pièce connue, comme Dom Juan, dont une version, Le Festin de pierre, attribue à Arlequin le rôle du valet. Assonance : Répétition du même son, spécialement de la voyelle accentuée à la fin de chaque vers (ex. : belle et rêve). Attente : Attitude d'expectative du public, reposant

agit de façon égoïste voir manipulatrice en mentant sur ses intentions et en cherchant à faire plier autrui (cf. violence symbolique l.21)Le discours séduisant c’est la notion de plaisir et d’apparence partagé avec autrui et non à son détriment.Ex : Dom Juan de Molière décrit un homme qui utilise son pouvoir de séduction auprès des femmes pour les persuader de partager sa couche pour mieux les abandonner après utilisation. Dans le roman épistolaire de Choderlos de Laclos, le vicomte de Valmont enjôle

très sévères, des romans, de l’entretien de séduction. La littérature est une écriture absolument indépendante des cadres ou codes. Le ton de ces formes théâtrales et souvent celui de la comédie dialectique (qui enseigne). On peut citer par exemple Dom Juan de Molière. Il y a de la drôlerie dans les textes de Platon. Les dialogues de Platon utilisent la devise de la comédie et corrigent en riant des mœurs. La littérature philosophique mélange les genres, c’est une affirmation fondamentale à l’égard

la possibilité de découvrir l’avènement de personnages modernes, échappant aux classifications traditionnelles, personnages dont l’ambivalence continue de surprendre le lecteur contemporain : le Chevalier et Manon sont tour à tour candides, manipulateurs, sincères, médiocres, vertueux ou fripons. Cette richesse psychologique est l’une des clés pour entrer dans l’œuvre et entamer le parcours de lecture. L’analyse portera ensuite davantage sur l’inscription de Manon Lescaut dans l’histoire littéraire

adaptation excessive, de pusillanimité, de conformisme moutonnier ou de passivité heureuse. ENFANT JE SAIS TOUT: Veut intervenir sur tous les sujets. Donne son avis, conseille, même lorsqu’il n’est pas sollicité. ENFANT MANIPULATEUR : Utilise des moyens détournés pour arriver à ses fins. ENFANT CONCEPTUEL/CROYANT : Il a une vision abstraite du monde qui doit se plier à ses conceptions de ce que doit être la réalité. Rigide et sans concessions il voit le monde