Domenico Ghirlandaio

orphelinat est devenu un petit musée d'art de la Renaissance. Le bâtiment accueille une collection de peintures, la plupart représentant la Vierge avec son enfant. Le tableau le plus remarquable est sans doute « l’Adoration des mages » de Domenico Ghirlandaio, où la scène de la nativité contraste avec la représentation du massacre des innocents en arrière-plan. L’orphelinat, officiellement connu sous le nom de l’Ospedale degli Innocenti, ou l’hôpital des innocents en français , tient son nom de

avec sa famille à Florence. A seize ans, il entre, à Florence, dans l'atelier d'Andrea Verrocchio qui lui enseigne plusieurs techniques : sculpture, peinture, décoration, gravure. Il a pour compagnon d’atelier Sandro Boticelli, le Peruguin, Domenico Ghirlandaio. 1472 marque son admission au sein de la confrérie des peintres de Florence. A partir de 1478 Léonard devint un artiste indépendant. De 1482 à 1506, il s’occupe d’affaires d’ingénierie, d’architectures et d’urbanisme. Il supervisa entre

Neri le 6 Mars 1475 à Caprese, au nord d’Arezzo en Toscane est un peintre, un sculpteur, un poète et un architecte italien de la Renaissance. Ses parents appartiennent à la noblesse de Florence. A l'âge de 13 ans il entra comme apprenti chez Domenico Ghirlandaio qui lui enseigna la technique de la fresque. Il utilisera cette technique bien des années plus tard, lorsqu'il a peint la Chapelle Sixtine à Rome. A 15 ans Michel-Ange commença à se rendre dans la demeure et les jardins de la famille de Laurent

Rome. C'est un peintre, un sculpteur, un poète et un architecte italien de la Renaissance. Michel-Ange à commencé sa carrière à l'âge de 13ans, quand il fut placé par son père, Ludovico Buonarroti en apprentissage dans l'atelier du peintre Domenico Ghirlandaio. Plus tard, il se fera accueillir dans la maison de Laurent de Médicis, dit le Magnifique, et aura l'occasion de rencontrer ses fils, qui deviendront respectivement les papes Léon X et Clément VII. Son mécène*, Laurent de Médicis meurt en 1492

un des plus prestigieux ateliers d’art de la Renaissance de Florence sous le patronage d’Andrea del Verrocchio à qui il doit sa formation multidisciplinaire d’excellence, où il côtoie d’autres artistes comme Sandro Botticelli, Le Pérugin et Domenico Ghirlandaio[9],[13]. En effet, jusqu'en 1468, Léonard est recensé comme résident de la commune de Vinci mais il est très souvent à Florence où son père travaille[3].

famille De Vinci s'installe à Florence où Léonard, âgé alors de 8 ans, reçoit une solide éducation ; Léonard entre comme apprenti dans l'atelier Florentin de Andréa Del Verrocchio avec comme compagnons de travail: Botticelli, Le Peruguin et Domenico Ghirlandaio. Après un an passé au nettoyage des pinceaux et autres basses besognes, son maître l'initie à la préparation des couleurs, la décoration, la gravure, la peinture des retables et des fresques ainsi qu'à la sculpture sur marbre et sur bronze 

et Christophe Colomb (homonymie). Page d’aide sur l’homonymie Pour l’article homophone, voir Colon. Christophe Colomb Description de cette image, également commentée ci-après Portrait présumé de Christophe Colomb, attribué à Ridolfo del Ghirlandaio : yeux bleus, visage allongé au front haut, nez aquilin, menton orné d'une fossette, cheveux devenus blancs dès l'âge de 30 ans1. Données clés Nom de naissance Cristoforo Colombo (Italien) Alias Christophorus Columbus (latin) Cristóbal Colón

se marque l'influence de l'Antiquité ? Comment le soucis du réalisme se traduit-il ? Un nouvel art du portrait, plus vivant, plus réel, plus humain.  cf - Michel Ange, Voûte de la Chapelle Sixtine - Léonard de Vinci, La Dame à l'hermine - Domenico Ghirlandaio, Le Vieillard et l'enfant Les différents tableaux permettent de mettre en évidence les techniques pour rendre la perspective, l'évolution des thèmes traités du sacré au profane et l'utilisation de modèles antiques Les Européens et le

utiliser, de l’argent et de l’évaluation du temps passé par le peintre. On peut se demander dans quels secteurs artistiques le client intervenait-il directement ? Dans le contrat pour « L’adoration des mages » entre le peintre florentin Domenico Ghirlandaio et le prieur du Spedale Degli Innocerti, trois points principaux sont mis en évidence : l’artiste doit se conformer au dessin initial, la date de la livraison du tableau et du paiement sont indiquées ainsi que le matériel et les couleurs précises

d’être l’apprenti de Domenico Ghirlandaio pour trois ans à partir de 1488. Il étudie les fresques de l'église Santo Spirito de Florence et de l'église Santa Maria del Carmine et en copiant les fresques de Masaccio, s'attire les jalousies autant par son habileté que par ses remarques, lesquelles envers le sculpteur Pietro Torrigiano lui font recevoir au visage, un coup de poing qui provoque une cassure au nez qui marquera à vie son visage. Impressionné par son travail, Domenico le recommande au maître