Domination

industrielle et domination financière →une domination industrielle : en 1870, l'Angleterre concentre le tiers de la production manufacturière mondiale •domination de l’Angleterre, atelier du monde (charbon, sidérurgie, textile) •modèle dans le domaine industriel →une domination commerciale : 60% du commerce de produits manufacturés est Anglais en 1870 •contrôle le commerce mondial. •puissance maritime (canal de suez) •défend le libéralisme commerciale →une domination financière : la

meilleur (cf. Hitler). Raymond Aron : « Il faut le reconnaitre Max Weber avec sa philosophie de l’engagement qui n’entrait pas nécessairement comme protection contre le retour des barbares. Le chef charismatique devait servir de recours contre la domination anonyme de la bureaucratie. Nous avons appris à craindre les promesses des démagogues plus que la banalité de l’organisation rationnelle.  » L’organisation rationnelle peut paraitre moins dangereuse que ce leader charismatique. Certains reprochent

bureaucratie comme mode de domination rationnelle Selon Weber, la domination est fondée sur la légitimité : le pouvoir n’est accepté que s’il apparaît comme légitime. Il distingue trois idéaux types de domination légitime : - La domination traditionnelle : elle est fondée sur la coutume ; - La domination charismatique : elle est fondée sur les qualités exceptionnelles du leader ; - La domination rationnelle : elle est fondée sur la loi. La bureaucratie est l’idéal-type de la domination rationnelle. Elle

règles du jeu et la marche de l’économie qui est attendue : de quels leviers disposent-elles pour agir sur le contexte qui les entoure ? Sont-elles en position de domination, sur qui et comment s’exerce cette domination ? Cette réflexion doit prendre comme point de départ la vision de Galbraith et ne pas édulcorer le sens du mot domination, sous peine de dénaturer le sujet. L’erreur à éviter est de le transformer en une question beaucoup trop générale sur le rôle respectif des grands groupes, qui sont

faible Lien personnel entre les individus Relation de pouvoir :patronnage,dévouement personnel Pas de frontières entre privé et public * Fragmentation entre les entités politiques Fiefs dirigés par les seigneurs :multitude de groupements de domination Petites unités autonomes Eclatement de l’autorité publique * Faible continuité dans le temps et dans l’espace :guerre Absence de continuité de ces structures 2) dynamique du système féodal : concurrence entre les seignueurs La population

empire Ottoman est démantelé à la fin de la Guerre et donnent naissance à des Etats qui vont devenir indépendants et un certains nombre vont passés sous domination européenne britannique ou française. Le Moyen-Orient est davantage sous domination britannique que sous domination française : c’est-à-dire que le nombre de territoire sous domination anglaise est plus important. La Grande- Bretagne est la plus grande puissance coloniale dans la première moitié du 20ème siècle. Nadine Picaudou a écrit

noir : sa passivité est marquée dans le texte par l’utilisation des p. passé : « saisis à l’essence de tout chose/ saisis par le mouvement de toute chose » : le pluriel généralisant désigne l’ensemble du peuple. Celui-ci ne montre aucune volonté de domination : « ils s’abandonnent »/ « insoucieux de dompter ». Au contraire le peuple noir semble soumis. Or cette soumission qui révoltait tant Césaire dans les premières pages du cahier semble ici prendre une certaine grandeur : le peuple noir n’est pas

remplacement des populations locales détruite par des colons). C. Un espace monde hiérarchisé : « structuration hégémonique et domination » Formation de réseaux mondiaux grâce à la colonisation. L’espace économique construit n’est pas homogène (mouvement d’intégration et de différentiation). Il y a des phénomènes d’hégémonie. 1. La DIT - une domination du centre sur les périphéries. DIT : Division internationale du travail et opposition centre - périphéries La DIT se met en

de domination et d’exploitation, de sociétés sans conflits, sans aucun côté négatif . Selon Lapierre, ces sociétés ne seraient pas des sociétés à pouvoir politique non coercitif, sans aucune violence ni subordination hiérarchique. L’analyse de Clastres se rapporterait au mythe du bon sauvage[4] et pratiquerait un ethnocentrisme inversé. Selon Lapierre, toutes les sociétés, quelles qu’elles soient, obéissent à des règles contraignantes et coercitives. Il relève deux formes de domination coercitive

tous les pouvoirs et gouverne sans aucun contrôle. C’est le « pouvoir absolu ». De La Boétie pose la question de la légitimité de toute autorité sur une population. Il essaye d'analyser les raisons de la soumission de celle-ci, le rapport entre la domination et la servitude. Il recherchait une explication à l’étonnant et tragique succès que connaissent les tyrannies de son époque, dans un pays où le poids du pouvoir monarchique se renforce. S’écartant de la voie traditionnelle, La Boétie porte son