Don Camillo et les Contestataires

l’Empire Ottoman. II. Nations, nationalités et nationalisme Le terme nation est surement le plus complexe et le plus polysémique. Hobsbawm définit la nation comme quelque chose à la fois d’évident, où tout le monde en a une vague idée, mais en donner une véritable définition est difficile car ce concept est flou est changeant en fonction de l’endroit et du moment : « On est sûr que les nations existe lorsqu’il existe des gens qui y appartiennent ». Michel Winock propose une définition de la nation

l'américaine, ce qui inquiéta rapidement ses collègues, toujours inquiets d'une résurgence du "bonapartisme" ou d'un possible boulangisme. Il multipliait les promesses plus ou moins démagogiques; Léon Daudet, qui craignait cet homme de droite capable de donner un souffle nouveau à la République, l'appelait "le mirobolant". Il en appelait au peuple contre les hommes politiques; cela le conduisit à financer des ligues hostiles au régime parlementaire, notamment les Croix de Feu qui soutinrent ses gouvernements

accoutumera notre main à faire toutes sortes de dessins : des vues les plus éloignées, « panoramiques », ce que nous appellerons des dessinssilhouettes, aux vues les plus proches, le dessin-détail. Il s'agit avant tout de nourrir notre regard, de donner de la substance aux choses observées. Ce travail effectué, alors seulement on peut se servir de l'appareil de prise de vues, notre deuxième outil de travail. La photographie complétera autrement, mais utilement - cela va plus vite de faire une photographie

accoutumera notre main à faire toutes sortes de dessins : des vues les plus éloignées, « panoramiques », ce que nous appellerons des dessinssilhouettes, aux vues les plus proches, le dessin-détail. Il s'agit avant tout de nourrir notre regard, de donner de la substance aux choses observées. Ce travail effectué, alors seulement on peut se servir de l'appareil de prise de vues, notre deuxième outil de travail. La photographie complétera autrement, mais utilement - cela va plus vite de faire une photographie

l'unanimité le général De Gaulle Président du Gouvernement Provisoire (GPRF). Mais son autorité est mal acceptée par les communistes et les socialistes. Le général De Gaulle souhaite un exécutif fort; au contraire les deux partis majoritaires entendent donner le pouvoir à une Assemblée unique. - Se rendant compte qu'il ne peut infléchir leur détermination, le général De Gaulle veut créer un choc dans l'opinion en donnant sa démission le 20 Janvier 1946, convaincu que le MRP le suivra dans sa retraite