Dorine

fréquentable, libertin et frère d’Elmire Dorine => confidente, elle s’occupe des choses qui ne la concerne pas Damis => petit-fils de Mme Pernelle, sot Marianne => sœur de Damis est hypocrite II- 2) -Personnage éponyme absent - 2 groupes : Groupe anti-Tartuffe mené par Damis, Dorine, Marianne et Elmire. Groupe pro Tartuffe avec Mme Pernelle seule -Portrait critique : Damis : « votre monsieur » « un cagot de critique » «  ce beau monsieur-là » Dorine : « ce critique zélé » Champs lexical de

à Damis « mon fils, votre père » v.18, de Mme Pernelle à Damis (Mme Pernelle = mère d’Orgon) « sa sœur » v.21 de Mme Pernelle à Mariane (sœur de Damis) « Monsieur son frère » v.34 à Cléante (frère d’Elmire) « mamie, une fille suivante » v.13 à Dorine Tartuffe = personnage à part, le seul des personnages principaux qui n’appartient pas à la famille. - Rang social des personnages Tartuffe = paysan (se targue d’origines nobles) v. 59 et v.63-64 Famille d’Orgon = haute bourgeoisie parisienne >

Molière a joué le comique de gestes en composant des farces. Le metteur en scène et l’acteur qu’il était ne pouvait pas renoncer aux ressorts les plus évidents du comique explicités dans les didascalies : les gifles (surtout quand, comme celle d’Orgon à Dorine, elle n’atteint pas son but (II, 3) « Il veut lui donner un soufflet et la manque ».Les coups, les bousculades, gestes et mouvements répétitifs telle la scène entre Valère et Mariane (II, 4). «Elle va l’arrêté par le bras, et lui fait mine de grande

l’histoire, ce qui fait que l’histoire ne peut avancer sans eux. Quant à Dorine, elle fait avancer l’histoire en aidant sa maitresse dans ses affaires amoureuses, ainsi ses actions entraînent un dénouement heureux. Deuxièmement, Les valets utilisent leur intelligence de différentes façons. Dorine utilise son intelligence pour servir les biens de sa maitresse. En effet Dorine aide Marianne dans ses affaires amoureuses. Dorine va même jusqu’à « défier » Madame Pernelle, en qualifiant Tartuffe de

Tartuffe, acte 1, scène 4 Contexte : ce passage fait partie du premier acte, il correspond à la scène d’exposition Argument du passage : Dorine présente Tartuffe et Orgon de manière comique et très satirique Auteur : Molière (Jean-Baptiste Poquelin) Date : 1664 : première version en trois actes, puis 1669 : dernière version en cinq actes Courant littéraire : Le classicisme (1650-1700) Type de texte : c’est un texte théâtral Genre :

pas d’accord | Pas du tout d’accord | Q1) Dorine a des produits de qualité. | | | | | Q2) L’origine des produits n’a pas d’effet sur la décision d’achat des clients. | | | | | Q3) Les produits de dorine sont abordables pour vos clients | | | | | Q4) Dorine a une bonne image de marque | | | | | Q5) Les livraisons sont faites à l’heure et en bon état | | | | | Q6) Le service après vente est efficace | | | | | Q7) Dorine cous propose suffisamment de produits | |

d'abord une galerie de personnages. Les déterminants possessifs comme « ma bru , « ma mère », « mon fils » ou dans la réplique 9 « moi qui suis votre grand-mère » aident à la compréhension. Nous remarquons à la réplique 7 que Madame Pernelle appelle Dorine « mamie » (= ma moitié) ce qui l'a fait paraître pour sa servante. De plus le spectateur identifie les rôles de chacun grâce à la double énonciation. Nous comprenons aussi que le milieu social est la bourgeoisie. Enfin, le déictique « ci » au vers

toutes les didascalies insérées par Molière aident les comédiens à jouer dans ce sens, ainsi, on voit des gifles, une scène amusante de dépit amoureux où Dorine court de Valère à Mariane pour les réconcilier, ou encore la première entrevue entre Tartuffe et Elmire où, tandis que l'une s'écarte, l'autre se rapproche. Ensuite, le personnage de Dorine est l’élément comique par excellence, par son caractère de servante sympathique, intelligente et franche, par son langage familier (elle emploie des mots

du mari caché qui dit: «A-t-on jamais rien vu de plus abominable ?», ce qui rappelle le vers 1529 «Voilà, je vous l'avoue, un abominable homme!». Dans Les Hypocrites de Scarron (1655), Molière a pu trouver l’idée du tempérament gourmand que décrit Dorine, ainsi que son souci des signes extérieurs de la dévotion: [...] il ne bougeait des prisons, il préchait devant les prisonniers [...]; si on lui demandait son nom, il respondoit qu'il était l'animal, la beste de charge, le cloaque d'ordures, le

sous la pression des dévots accusant Molière d’impiété et de donner une mauvaise image de la religion. Dans la fin de la scène d’exposition, le clan de la jeunesse et du peuple représenté par Cléante, le frère de la maîtresse de maison et par Dorine, la servante, va s’attaquer à travers Madame Pernelle aux dévots crédules ayant confiance en Tartuffe, lui-même faux dévot. Madame Pernelle, quant à elle, a une entière confiance en son protégé et croit en la pureté des intentions de l’imposteur,