Dors, mon amour

prêtre, qu’il perd contact avec Clarimonde. Le temps passât, puis vint un grand événement qui alarma Romuald. Clarimonde n’est plus de ce monde, décédée quelques heures auparavant, on demande un prêtre pour sauver son âme et Romuald est l’élu. Leur amour, leur dévouement, leur passion, qui est proche de la folie, surmonte la mort. La double vie de Romuald s’intensifie, il est un prêtre le jour et devient le tendre amant de Clarimonde le soir. Cependant, il en est incertain et ne trouve plus la frontière

». Ce passé auquel il ne veut plus goûter, auquel il n’aspire plus, était pourtant un moment heureux. En témoignent les champs lexicaux qui s’y rapportent : le mouvement avec « ardeur, lutte », les sentiments (« espoir, plaisirs, amour ») ou bien la musique (« cuivres, flûtes »). Tous ces mots connotent la fête, la vie et sont donc positifs. On remarquera d’ailleurs aussi le rapprochement entre le printemps et la jeunesse ; certes, cette métaphore est galvaudée mais elle associe

croisés, Tu a renversé mon coeur, tu l'a fait chaviré. Un vent d'amour m'a fait perdre la tête. Notre histoire est née pour ne pas qu'elle s'arrête. Notre amour grandit de jour en jour. Dans tes bras je pars m'envoler Dans un monde doux et sucré Chaque retrouvaille déchaîne mon émoi. Chaque enlacement m'attire vers toi. Chaque bisou stimule mon amour. Chaque regard fait fondre mon coeur Tel un soleil, tu brûles tout autour de toi,Rien ne te résiste, la glace devient vapeur,Tes yeux étincelant me laisse

partir de la figure de style centrale, une métaphore entre la rose et sa muse Cassandre ?Tout d’abord, tout au long du poème, au début positivement, pour décrire la beauté de son amante, puis à la fin, de manière plus négative, pour mettre en garde son amour contre la vieillesse, qui finira par ternir assurément sa beauté au fil du temps. En effet, au début du poème, l’auteur complimente sa muse, la comparant via une métaphore à une rose éclose, dans l’expression : « Et son teint au votre pareil » utilisant

familier et péjoratif : « Boches » = ennemis ≠ « Les dieux de mes yeux » (périphrase), « les nôtres » (v.1) = les soldats français * Opposition sonorité : assonance [i] pour les bombes ennemies et verbe désagréable : « les obus miaulaient un amour à mourir » ≠ allitération [an] pour les bombes des français et verbe agréable : « entends chanter les nôtres » * Caractère destructeur de la guerre : champ lexical de la destruction : « obus » répété 3 fois, « sang », « périr » + rimes de « morts »

corps, peut-être.Et que, devant l'apparence réelle de ce qui me hanteEt me gouverne depuis des jours et des années,Je deviendrais une ombre sans doute.O balances sentimentales. J'ai tant rêvé de toi qu'il n'est plus tempsSans doute que je m'éveille.Je dors debout, le corps exposéA toutes les apparences de la vieEt de l'amour et toi, la seulequi compte aujourd'hui pour moi,Je pourrais moins toucher ton frontEt tes lèvres que les premières lèvreset le premier front venu. J'ai tant rêvé de toi, tant marché

notamment ltude de quelques figures de style - La comparaison Tristan et Iseut se cherchaient comme des aveugles. Les lments de la comparaison. Son sens La passion les aveugle. - La mtaphore de la ronce Les lments de la mtaphore. Son sens force de cet amour naissant et souffrance quil procure pines aigus. Noter limportance de cette image puisquelle sera reprise la fin du livre, la mort des amants . Orthographe Les homonymes lexicaux cour/courre/cours/court

Français: Corpus p224 Analyse: Les trois textes, "Hier au soir", "Les ténèbres" et "J'ai tant rêvé de toi" ont pour thème commun l'amour, un amour attendant le retour de la femme bien aimé, un amour qui se languit dans les 2 derniers poèmes. Dans le premier poème Hugo exprime ce sentiment au vers 8 jusqu'au vers 10 " vous voyant si belle, j'ai dit aux astres d'or : Versez le ciel sur elle! Et j'ai dit à vos yeux versez l'amour sur nous !" En suite Baudelaire dans "Les ténèbres" utilise

religieuse, en une vie contre toutes valeurs de la bienséance. Il va se perdre entre réalité et illusion, dans une vie de prêtre le jour, contre une vie de riche mondain et homme "damné" la nuit, au côté de "Clarimonde", revenante et vampire, ayant un amour réciproque et passionnel pour le prêtre Romuald. On peux émettre l'hypothèse qu'il raconte ceci à un de ces "frères" des années plus tard, dans l'optique où il aurait eu un moment d'adaptation et de remise en question afin de comprendre lui même ce

aime ». La construction des deux propositions relatives est exactement la même. Cet amour est réaffirmé à la fin de ce même quatrain avec la répétition du verbe aimé. Extrait balade en rêve de Paul Verlaine. Paul Marie Verlaine est un poète français, né à Metz le 30 mars 1844 et mort à Paris le 8 janvier 1896. J'ai rêvé d'elle, et nous nous pardonnions Non pas nos torts, il n'en est en amour, Mais l'absolu de nos opinions Et que la vie ait pour nous pris ce tour. Simple