Dossier Bts Hotellerie Restauration

reçu dans l’entreprise. La mauvaise perception d’une entreprise avant de la connaître repose sur : – une mauvaise image sociale (plan social médiatisé, pollueur, etc.) ; – l’absence de sécurité de l’emploi et de reconnaissance sociale (hôtellerie restauration) ; – une image terne du métier : les métiers manuels en particulier sont souvent perçus comme « dépassés » (métiers de l’artisanat) ou considérés comme socialement peu valorisants (porte à porte, nettoyage) ; – une absence d’image des

spécifique peuvent pourvoir sous CDD certains de leurs postes, mais à une double condition : • exercer une activité prévue par une liste officielle figurant dans le Code du travail : exploitations forestières, réparation navale, déménagement, hôtellerie-restauration, centres de vacances, sport professionnel, spectacle-culture-audiovisuel-cinéma-disque, enseignement, information, enquêtes-sondages, entreposage-stockage de viande, chantiers de BTP à l’étranger, coopération-assistance technique-ingénierie-recherche

per­ mettre d’exercer pleinement cette nouvelle responsabilité, il a été convenu d’un allégement de sa délégation de vice­prési­ dente du Conseil général. C’est désormais Alain Brochet, con­ seiller général de Beaumont, qui prendra en charge les dossiers relatifs à la jeunesse et aux sports. Les domaines de l’édu­ cation et de la vie collective de­ meurent de la responsabilité de Pierrette Daffix­Ray. ■ INAUGURATION. De gauche à droite : Jean-Pierre Franc, Guy Tholliez et Denis Laplane. PME. Ainsi

Hommes et femmes sur le marché du travail, Coll. Recherche, Mage, La découverte. • Gollac M., Volkoff S., (2002), « La mise au travail des stéréotypes de genre. Les conditions de travail des ouvrières ». in “Ouvrières : les dessous de l’embellie” (dossier) Travail, Genre et Sociétés n° 8, L’Harmattan, 2002. • Kergoat D., (1982), Les ouvrières, Paris, Le sycomore. • Kergoat D., (1998), « La division du travail entre les sexes ». in Le monde du travail, Paris. La découverte. • Le Feuvre N., (2001), «

insister sur la chaîne des acteurs qui entrent en jeu, et cela dès le plus jeune âge. Ainsi, la famille, le milieu scolaire, les associations de consommateurs, les structures d’éducation pour la santé, les professionnels de santé, les médias, la restauration collective, mais aussi l’industrie agroalimentaire et les professionnels de la distribution doivent permettre de créer des repères et des références pour aider le citoyen à adopter des habitudes alimentaires facteurs d’équilibre et de santé.