Doukipudonktan

nous fait aimer l'histoire, qui guide, assez discret, avec des limites -présence d'un dialogue -temps du passé -3eme personne II...La fait disparaître (=destruction du roman) -début fracassant des le premier mot avec le neo français (doukipudonktan) pensée très basse, qui déstabilise le lecteur -rupture des codes typographiques, on ne sait pas toujours qui parle, si on est dans un discours direct ou indirect. -le narrateur s'exprime également en neo français, de facon grossière et fait

par le manque d'information et par le style d'écriture:Dès le premier mot d'ailleurs"doukipudonktan" qui est un néologisme monophasé(un mot écrit phonétiquement).Il y a donc un état de déséquilibre au lieu d'une situation stable comme un incipit tradiontionnel.L'auteur joue avec les attentes des lecteurs avec des "surprises" verbales ,éléments filmiques...qui provoquent un début fracassant avec le "doukipudonktan" qui destabilise le lecteur I/ un roman apparemment traditionnel -Début in media

Raymond Queneau, écrivain membre de l’Oulipo, développa le concept du néo-français, une nouvelle langue écrite presque phonétique, plus proche de celle parlée à l’oral que le français écrit traditionnel. Le premier mot de Zazie dans le métro, « Doukipudonktan », appartient à cette langue fantaisiste. L’incipit de ce roman paru en 1959 met en scène une dispute dans le métro entre Gabriel et un couple se plaignant des mauvaises odeurs. C’est l’occasion pour le narrateur de rapporter une joute oratoire

. De plus , il y a une utilisation du langage familier ( comme par exemple avec le mot « salauds » ) , et une utilisation de l'argot . Il y a des jeux de mots sur les sonorités comme par exemple « cacocalo » . Le livre commence par le mot « Doukipudonktan » qui est un mot qui n'existe pas ( c'est un néologisme ) . Ce mot oriente l'œuvre vers une histoire avec un langage différent / vers un jeu d'oralité . Nous remarquons qu'il y a une rupture du code du roman car on peut voir que certains mots

élément de la conception du langage de Raymond Queneau qui se voulait un remplacement du français écrit standard. Il se caractérise par une syntaxe et un vocabulaire typiques du langage parlé et par une orthographe plus ou moins phonétique. Ex : Doukipudonktan (p11), Faut pas egzagérer (p164), Gzakt. Lagoçamilébou. (p46). Les tournures populaires se dit d'un mot, d'un sens, d'une construction courants dans la langue parlée, mais qui seraient considérés comme choquants ou vulgaires dans un écrit ou

sciences, Raymond Queneau entre à la Société mathématique de france en 1948. En 1950, il entre comme satrape au Collège de Pataphysique, et est élu à l'Académie Goncourt en 1951. En 1959 paraît Zazie dans le métro qui s'ouvre par l'expression « Doukipudonktan ! » Le succés de ce roman surprit Queneau lui-même et fit de lui un auteur populaire. Une adaptation au théâtre par Olivier Hussenot et au cinéma par Louis Malle suivront. Il fonde en décembre 1960, avec François Le Lionnais, un groupe de recherche

langues parlées et écrites, écart flagrant pour le grec moderne, mais très creusé aussi pour le français. Il précisera ces réflexions dans des articles sur le « néo-français », et les utilisera ici et là dans ses romans, comme le très fameux « doukipudonktan » ouvrant Zazie. Il y composa également son premier roman, Le Chiendent, qui fut publié en 1933. (Pour l'occasion fut créé le Prix des Deux-Magots). D'autres livres suivront, romans et recueils de poèmes, sans succès public dans un premier temps

nous fait aimer l'histoire, qui guide, assez discret, avec des limites -présence d'un dialogue -temps du passé -3eme personne II...La fait disparaître (=destruction du roman) -début fracassant des le premier mot avec le neo français (doukipudonktan) pensée très basse, qui déstabilise le lecteur -rupture des codes typographiques, on ne sait pas toujours qui parle, si on est dans un discours direct ou indirect. -le narrateur s'exprime également en neo français, de facon grossière et fait

langues parlées et écrites, écart flagrant pour le grec moderne, mais très creusé aussi pour le français. Il précisera ces réflexions dans des articles sur le « néo-français », et les utilisera ici et là dans ses romans, comme le très fameux « doukipudonktan » ouvrant Zazie. À la Libération aussi, il fréquente un peu les milieux de Saint-Germain des Prés. Son poème Si tu t'imagines, mis en musique par Vladimir Cosma à l'initiative de jean-paul sartre, est un grand succès de Juliette Gréco. l entre

actions des personajes et sont langage, qui a un change extreme, par example zazie, le future de france parlait d’une maniere tres grossier, une maniere qui horrorize les adults. Encore en peut dire aussi que le livre commence avec un mot invente “doukipudonktan”. Avec ca on mais fin a la langue Franchise traditionelle. Dans le film, les adultes de l’oeuvre se montraient avec un actitude “desinteresse”, ils ont un nostalgie par leur passe ( la 2 GM ), on peut aprecie aussi un allegorie du fascisme Dans