Dreyfusards Non Dreyfusards

sa hiérarchie, il est sanctionné et envoyé en Tunisie. A sa place, on nomme le lieutenant-colonel Henri (qui va même fabriquer un faux) en novembre 1896 qui va accabler Dreyfus. Pour le moment, le faux reste confidentiel. (Uniquement dans l’armée et non pas divulguer à l’opinion publique). Toujours novembre 1896, Mathieu Dreyfus frère de Alfred Dreyfus dénonce Esterhazy dans la presse, le chef d’état- major et le président du conseil fait la sourde oreille, malgré Esterhazy est inculpé mais immédiatement

En 1910, la République semble être sortie plus forte et affermie des scandales (celui des décorations puis celui de Panama), des tentatives de coups de force (Boulanger, Déroulède), de l’affaire Dreyfus qui s’est soldée par la victoire des dreyfusards (réhabilitation du capitaine Dreyfus en 1906) et même de la crise économique. C’est la Belle Epoque. Les élections de 1906 ont donné une large majorité de gauche contre 96 députés réactionnaires et nationalistes. C’est pourtant dans ce contexte

et révèle qu’un officier juif est accusé d’avoir trahi la France, en espionnant, au profit de l’Allemagne. Une presse qui prend parti= La plupart des journaux s’engage. Certains sont antidreyfusards : La Croix, Le Petit Journal. D’autres sont dreyfusards et servent de tribune pour les intellectuels (le terme est alors crée) qui défendent l’innocence de Dreyfus. Le 13 janvier 1898, c’est dans l’Aurore, que Emile Zola publie son « J’accuse ». Dans la même année, Jean Jaurès publie « les preuves »

petit Parisien Petit Journal Le Journal Le Matin (droite) La Croix ( Le journal le + antisémite de Fr ) L’Humanité (SFIO) L’intransigeant ( boulangisme ) Affaire Dreyfus : 1894  1896/1898 naissance dans la presse = affrontement des camps Dreyfusards ( L’Aurore, Clémenceau  Zola, ‘ J’accuse ’ ) ≠ Anti Drefysards ( La libre Parole, Edouard Drumont ) Presse : sous influence ( même si loi du 29 Juillet 1881 ) = tutelle de la bourse Impératif de la rentabilité : course

moins du monde. Ces infractions sont classées en quatre types. Les discriminations « proprement dites » Toute personne qui fournit ou offre de fournir un bien ou un service ne peut refuser ses prestations en raison de l'appartenance ou de la non appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion d'un étranger ; sinon cette personne est en infraction. Il est également interdit de refuser la fourniture d'un bien ou d'un service à cause de la race d’une personne. Exemples : Le refus

réalité, phénomène extraordinaire et révolutionnaire pour les esprits de l'époque, firent du cinéma, parmi d'autres, ce loisir. Le prix était bas car les films tournés au tout début étaient simples, tournés dans la rue avec des techniciens du cinéma et non pas des acteurs, et puis courts : ils ne duraient que quelque dizaines de secondes. En effet, le cinéma à ses commencements, entre les mains des frères Lumière, tournaient des scènes de la vie populaire. Les gens pensaient halluciner

justice. Convaincu de l’innocence de Dreyfus, l’écrivain prend position avec véhémence contre ses détracteurs, non sans se mettre lui-même dans une position très délicate vis-à-vis des autorités et de l’opinion. Il prend position pour une grande cause de son siècle, et démontre l'innocence de l'officier. Cette affaire devint politique, partagea la France en deux camps (dreyfusards et antidreyfusards) et faillit ébranler la république, cependant que l'opinion internationale s'indignait de l'injustice

politique majeur de la troisième république, survenue à la fin du XIX°siècle. Il fut déclenché par l'accusation de trahison faite au capitaine Alfred Dreyfus et dura 12 ans. Lors de ce conflit la France fut diviser en deux camps d'une part les dreyfusards (pour son innocence) et de l'autre les antidreyfusards (« dreyfus à trahie »). En plein conflit Zola découvre que les accusation envers Dreyfus son fausse, et révèle donc qu'il y a eu une erreur Judiciaire. Pour ceux il utilisa entre autre la

(élections, référendum,…) République : vient du latin (chose publique). Forme de gouvernement ou le pouvoir n’est pas détenu par un seul individu et dans lequel la charge de l’Etat n’est pas héréditaire. Une République est un système de gouvernement non monarchique dont le fonctionnement est réglé par une loi : une Constitution . Caractéristiques d’une République : - pouvoir limité dans le temps (en France auj 2X5 ans) - dirigeant élu par un grand nombre de personnes. -souvent le dirigeant porte le

françaises se décline à travers les cultures, c'est-à-dire, hors du domaine politique, dans l'espace social, à travers les instruments et les ancrages des doctrines, des idées et des valeurs partagées. L'attachement à cette identité commune se traduit non plus par l'engagement militant ou l'adhésion à un parti, mais par l'achat régulier d'un quotidien, la lecture suivie d'une revue ou encore une préférence marquée pour une écriture particulière de l'histoire. - Formes de rassemblement : associations