Droit Des Patients

« Hôpital, patient, santé, territoire ». La question de la répartition de l’offre de la santé au niveau national est clairement posée depuis la Loi de réforme hospitalière de 1970. Et dans cette organisation de la Santé, « l’hôpital est un des piliers de notre système de soins. Par conséquent, il joue un rôle important vis-à-vis des autres structures du système de Santé (secteur libéral ou de ville, structures médico-sociales, centres de santé, etc) ». Nous allons donc voir dans un 1er temps

donner à boire pour la première mais le but final est bien la mort. Acharnement thérapeutique : poursuivre un traitement lourd qui devient disproportionné par rapport au bien qu’en retire le patient Aide au suicide : méthode qui consiste à mettre du poison dans une seringue et la faire injecter par le patient afin d’éviter les poursuites judiciaires. Soins palliatifs : accompagner le malade et utiliser des antalgiques pour soulager la douleur même si cela consiste à prendre des risques mortels

DOMMAGES ASSOCIES AUX SOINSINTRODUCTIONLa loi du 4 mars 2002 relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé entérine la notion de démocratie sanitaire et avec elle, assied les droits fondamentaux des patients.Pourtant, malgré ce cadre juridique bien établi, l’information des patients suite à un dommage associé aux soins n’est pas encore satisfaisante comme l’illustre les résultats de la certification des établissements. Ce constat traduit une réelle difficulté pour les professionnels

niveau des soins proposés aux patients. Pour réaliser cette étude, nous avions besoin de l’aide des kinésithérapeutes travaillant sur place, c’est pourquoi il était important de pouvoir compter sur un personnel motivé et impliqué dans chaque maison de repos, pour mener à bien et jusqu’au bout cette expérimentation. 1.2. Recrutement des patients Les patients ont été choisis avec l’aide des kinésithérapeutes de chaque établissement. Connaissant personnellement chaque patient, ils nous ont remis une liste

bien-être au prés de chaque patient. La douche leur ai proposé minimum 2 fois par semaine, selon un planning bien défini. Le reste de la semaine une toilette quotidienne au lit ou au lavabo est effectuée selon les besoins et la mobilisation du patient. Mon étonnement Pendant la troisième semaine de mon stage, je me retrouve confronté à un refus de soin de confort et de bien-être d’une de mes résidentes. Quelles limites existe-t-il entre le droit de refus de soin du patient et mon propre devoir professionnel 

l'éthique médicale comme dans l'éthique tout court car sans autonomie, il n'y a pas de responsabilité morale possible. Toute personne peut être considérée comme potentiellement autonome dans le sens où elle possède le droit à l'autonomie. La personne met en oeuvre concrètement ce droit à l'autonomie lorsqu'elle agit de manière volontaire et indépendante, sans contrainte extérieure et en fonction de projets qui lui sont propres. L'autonomie implique donc: - la liberté (c'est-à-dire l'absence de contrainte)

nuire ni aux malades, ni à l’établissement, ni aux personnels - La discrétion professionnelle : l’obligation de la discrétion professionnelle est imposée dans le second alinéa de l’article 26 de la loi n°83-634 du 13 juillet 1983 portant sur les droits et obligations des fonctionnaires. La discrétion professionnelle est un sous ensemble du secret professionnel, elle s’impose à tout agent, elle peut se définir comme une attitude de réserve que doit observer tout le personnel envers les informations

rapport à la liberté de chaque individu de disposer de son corps, devrait-on donner le droit aux patients le désirant de mettre fin à leurs jours? Selon la charte des droits et libertés, tous les Hommes ont le droit à la vie. Ce fait est indéniable est incontestable. Chaque individu a le droit de vivre dignement dans des conditions saines et sécuritaires. Mais qu’en est-il de la mort? Devrait-on avoir également le droit de mourir dignement et lorsque l’on le désire? Cette question est sans doute une

Rapport de stage  1. Patient Mon choix s’est porté sur une patiente «  R.S. », recommandée par une kiné de l’établissement, présentant une fracture sous-capitale de la hanche droite due à une chute -> PTH droite 2. Anamnèse médicale * Admission au 1er étage du home « Les Orchidées » depuis son domicile le 2 juin 2010 * État de santé lors de l’admission : * Hémiplégie droite * Toilette + habillage + lever : aide totale * Incontinence * Veuve depuis quelques

épisode d’occlusion digestive, dans un contexte d’importante altération de l’état général. Elle s’y présente accompagnée de ses deux filles, qui tiennent à s’entretenir avec le médecin, avant toute prise en charge, et en dehors de la présence de la patiente. Madame « X » ne sait pas qu’elle souffre d’un cancer gastrique en prise en charge palliative. Suite à un épisode d’occlusion digestive haute il y a un an, il lui a été diagnostiqué un adénocarcinome gastrique comprimant le pylore, métastatique