Droit Et Technique Cambiaire

AFFAIRES – DROIT CAMBIAIRE - MBENGUE - 2010/2011 1 COURS DE DROIT CAMBIAIRE PAR LE Pr. PAPA TALLA FALL BIBLIOGRAPHIE : - De Juglar et Ippolito « Traité de droit commercial » Tome 2. Depucho et Guével. Gavalda et Soufflet « instruments de paiement et de crédit ». Ripert et Roblot « droit commercial » Tome 2. TEXTES : Règlement 15/2002/CM/UEMOA adopté le 19 septembre 2002 à Cotonou Directives de l’UEMOA de 2008 Les lois uniformes de 1996 et 2008 INTRODUCTION Le droit cambiaire est

Retour à Instruments de paiement et de crédit, Lettre de change  Voir aussi la bibliographie et le glossaire  En tant que titre juridique la création d’une lettre de change doit respecter un formalisme exigent.  Parce qu’elle donne naissance à des engagements cambiaire, la création d’une lettre de change est  également soumise au respect de conditions de fond.  Sommaire [montrercacher]  1 Les conditions de forme de la lettre de change 1.1 Les formes obligatoires 1.1.1 Enumération des formes obligatoires 1

DROIT COMMERCIAL Table des matières : 1ere Partie : Les effets du commerce _______________________________________ 1 Chapitre 1 : La lettre de change ______________________________________ 2 Section préliminaire : Spécificité de la lettre de change ____ 2 &1 : Essai d'explication par le droit civil A- Les théories d'origine française a)- La cession de créance b)- La novation

Sous-section 1ère L'acceptation de la Lettre de Change. L'acceptation est l'engagement cambiaire que prend le tiré de payer le montant de la LC à son échéance. Tant qu'il n'a pas donné son acceptation, le tiré n'est pas obligé en vertu de la LC dont il est étranger à la création. Evidemment, le tiré est débiteur du tireur mais son obligation n'est pas de nature cambiaire. Réciproquement, le porteur n'a aucun droit personnel contre le tiré (non accepteur) puisque le porteur est simplement cessionnaire

Droit commercial | ---------------------------------- ---------------------------------- ---------------------------------- ---------------------------------- ---------------------------------- Bibliographie: - Code de commerce - Armand Colin, Dimitri Loutzief - Perochon et Bonhomme, LJDJ - Gavalda Introduction: Le droit cambiaire est un droit technique. C’est un droit issu de la pratique des banques et des relations d’affaires. Le droit cambiaire c’est l’ensemble des normes

demandeurs (emprunteurs). A cet effet il a très souvent recours à techniques et instruments que sont LES INSTRUMENTS DE CREDITS qui sont des mécanismes juridiques mis au point pour la pratique des affaires. Vu l’évolution financière et celle des techniques informatiques qui accélèrent et facilite le transfert des fonds , certaines de ces construction juridiques conservent ou renouvellent leur attrait , soit pour soutenir des techniques nouvelles , soit pour assurer une fonction de garantie qu’ils

UNIVERSITE MOHAMMED V – SOUISSI FACULTE DES SCIENCES JURIDIQUES ECONOMIQUES ET SOCIALS SALE LICENCE PROFESSIONNELLE BACK-OFFICE BANCAIRE DROIT BANCAIRE Professeur : A. CHOKAIRI SOMMAIRE TITRE PREMIER : INTRODUCTION CHAPITRE PREMIER : DEFINITION DU DROIT BANCAIRE CHAPITRE 2 : LES FONDEMENTS DU DROIT BANCAIRE CHAPITRE 3 : RAPPEL HISTORIQUE TITRE 2 : PRESENTATION DE LA NOUVELLE LOI BANCAIRE CHAPITE PREMIER : ASSUJETTISSEMENT DE NOUVEAUX ORGANISMES A CERTAINES DISPOSITIONS DE LA LOI BANCAIRE

PREMIERE PARTIE DU COURS DE DROIT COMMERCIAL Les instruments de paiement et de crédits Un instrument ou un moyen de paiement désigne des mécanismes pour réaliser un paiement. En droit civil, le paiement est l'exécution d'une obligation en nature ou en espèce. Le paiement en espèce peut être fait en numéraire ou via un moyen de paiement. Le paiement numéraire se fait par la remise de monnaie fiduciaire (billets/pièces). La propre monnaie fiduciaire représente tout ce qui est réutilisable immédiatement

Droit des Affaires : Instruments de crédit et de paiement Prof. : Mr. Delattre Bibliographie : *F. PEROCHON et R.BONHOMME – Entreprises en difficulté – Instruments de crédit et de paiement – 7ème ed. *Th. BONNEAU – Droit Bancaire – Précis Domat, Montchrestien 8ème éd. 2009 *LAMY – Droit du financement – 2009 / 2010 *GAVALDA et STOUFFLET – Effet de commerce, chèques…. – Droit Bancaire INTRODUCTION GENERALE « Le crédit est l’âme du commerce » :

titres valaient lettre de change, le tiré ne pouvant avoir aucun doute sur le tireur. La société EM se pourvoit en cassation, en invoquant que les effets litigieux ne comportaient au recto aucune signature du tireur dans le cadre réservé en bas à droite pour la signature du tireur et ont donc nécessairement étaient remis vierge au tireur, ce qui implique que la signature par le tireur au verso des effets est nécessairement postérieure à l’acceptation de ces mêmes effets par le tiré au recto de chacun