Droit français des sûretés

INTRODUCTION: NOTION DE DROIT FONDAMENTAL La littérature est immense sur ce sujet, les débats passionnés et nourris. L'ambition n'est pas de retracer ces débats, mais de comprendre l'actualité. Il va falloir évoquer la diversité terminologique, occasion de quelques rappels de hiérarchie des normes. La mise en ordre terminologique, ordonnée autour des trois vocables principaux: libertés publiques, droits de l'homme et droit fondamental. On terminera par une investigation de la notion de fondamentalité

atteintes doivent être nécessaires, adaptées et proportionnées. Ces différentes notions ne sont donc pas nouvelles dans la jurisprudence administrative, on peut encore citer l’ordonnance du Conseil d’Etat du 5 janvier 2007 Association Solidarité des Français dans laquelle la dignité et la moralité font encore parties de l’ordre public. En revanche, le juge des référé se fonde également sur une prévention d’infraction pénale, ce qui peut paraître surprenant. On peut donc dire qu’en se basant sur une tradition

d’avoir ces droits car certaines personnes ont perdu cette possibilité à cause des gouvernements. Les principales raisons sur lesquelles est maintenu la stabilité de l’Etat sont d’avoir, de posséder des droits et libertés fondamentaux mais si nous résumons cette stabilité à seulement posséder des droits et libertés, l’Etat perd tout son sens. Si l’on confond l’Etat et la société civile en la minimisant seulement comme quelque chose qui doit simplement veiller à la sûreté, à garantir les droits et libertés

se veut un texte de compromis, conservant de nombreux acquis de la Révolution et de l'Empire, tout en rétablissant la dynastie des Bourbons. Comment le régime politique français sortant de l’Empire, va-t-il évoluer dans un système électoral strict, pour aboutir aux débuts hésitants du parlementarisme? Le parlementarisme français trouve ses premiers fondements en 1814 avec la Restauration, née d’une monarchie légitime et renversée par la révolution de 1830 (I), et se consolide avec la monarchie de

Libertés publiques et droits fondamentaux Introduction I- Objet Quatre présupposés • Il existe des libertés et droits fondamentaux dont on connait le contenu. Pourtant il faut se méfier des évidences en tant que juristes • Ces LDF sont des données du droit positif. Mais il y a des droits qui ne rendent pas compte du droit positif mais appartiennent au droit naturel ils proviennent des théories jus naturalis. • Le contenu de ce cours est censé être différent d'un cours intitulé

Bibliographie Cours de Droit des entreprises en difficultés J. R. GOMEZ, OHADA : Lecture de l’acte uniforme de l’OHADA portant Organisation des procédures collectives d’apurement du passif à la lumière du droit français, Ed. BAJAD-MERI, 2003 E. SOUPGUI, Les sûretés conventionnelles à l’épreuve des procédures collectives dans l’espace OHADA, Thèse Université Yaoundé II (SAO), 14 juillet 2008 TWENGEMBO, Formulaires d’actes de procédure OHADA, Presses Universitaires d’Afrique, Yaoundé, 2ème éd.

Droit international privé (DIP), cours de Mlle Pardoel INTRODUCTION Chapitre 1- Les intérêts du DIP Section 1- Un intérêt pratique Section 2- Un double intérêt intellectuel (affiner l’esprit juridique et approfondir la connaissance juridique interne) Chapitre 2- Les sources du DIP Section 1- Les sources internes (pas de Code et peu de lois, la jurisprudence, la doctrine) Section 2- Les sources internationales §1- La coutume internationale §2- La jurisprudence internationale

civil des Français, appelé usuellement « Code civil » (souvent abrégé en « C. Civ. » ou « CC ») ou « Code Napoléon », regroupe les lois relatives au droit civil français, c’est-à-dire l'ensemble des règles qui déterminent le statut des personnes (livre Ier), celui des biens (livre II) et celui des relations entre les personnes privées (livres III et IV). Promulgué le 21 mars 1804 (30 ventôse an XII), par Napoléon Bonaparte, il reprend une partie des articles de la coutume de Paris et du droit écrit

Cours du 5 novembre 2011 Actualisation en droit pénal : La définition de la peine 3 actualisations en droit pénal : 5 novembre, 11 février et 19 mai. 3 thèmes en 3 actualisations : - la définition de la peine - le concept de responsabilité pénale - l’application de la peine Définir la peine, c’est s’intéresser au cœur de la discipline puisque c’est la peine qui donne son nom à cette discipline – même si certains auteurs préfère l’appellation de droit criminel. Donc s’intéresser à la peine

libre court à la liberté contractuelle. Elle est basée sur le droit de propriété et plus exactement sur le transfert du droit de propriété. Elle peut être utilisée comme un mécanisme de garantie (sûreté) mais aussi comme un instrument de gestion de partrimoine. La fiducie est définie à 2011 « l'opération par laquelle un ou plusieurs constituants transfèrent des droits des biens ou des suretés, ou un ensemble de biens de droits ou de suretés présents ou futurs à un ou plusieurs fiduciaires qui les tenant