Droit naturel

Suisse viennent avec des crises économiques ou sociales ( vision très économiste ! Vision des Juristes : Pour eux, les idées politiques suisses ont été façonnées dans le cadre du droit constitutionnel. Il faut pour les cantons une organisation plus efficace ( les idées politiques seraient les servants du droit constitutionnel Vision d’OLIVIER MEUWLY : Spécialiste d’Histoire du Parti Radical (PRD). Pour lui, les idées politiques font partie du destin de la Suisse. Ses arguments : • Au

Comme l’homme, les animaux sont capables de sensations et d’émotions. Enfin, comme eux, nous sommes mortels. Ce rapprochement entre l’animal et l’homme montre bien que ce dernier est un être naturel sorti comme tel de la main de la nature. ailleurs au 17 siecle et au 18 siècle, le théoriciens du droit naturel (GROTIUS, THOMAS-HOBBES, JEAN-JACQUES ROUSSEAU, JOHN LOCKE) ont imaginés un état antérieur dans lequel les hommes auraient vécu indépendant de toutes institution. Pour ROUSSEAU < l’homme est

dans l’état peut être définie, comme un organe indépendant soumis à aucun contrôle de qui que ce soit et, est muni des plus hautes compétences. La souveraineté est alors le principe de l'autorité suprême. Dans le politique, la souveraineté est le droit absolu d'exercer une autorité. Pour ce qui est de l’unité, c’est l’élément de base d’un ensemble ou d’un système. Un aperçu historique de la notion de souveraineté depuis Bodin permet de mettre en avant le concept de personnalité de l’État. Avec

L’état auquel on appartient ne peut donc pas nous tuer. Le droit naturel chez Hobbs s’arete là où s’arrête ma puissance d’agir, la peine de mort est donc justifiée car il y a rupture du contrat social, déclaration de guerre à l’état. Nozick dans Anarchie, Etat et Utopie, 1974, est obsédé par les droits de l’individu, et se pose la question de savoir si la société protectrice que je paye à le droit de me tuer. « les individus ont des droits, et il est des choses qu’aucunes personne ni aucun groupe

nature humaine, qu'elle ne peut pas en être dissociée. Refuser d'être libre est défini comme l'équivalent d'une «mort spirituelle». Ainsi, refuser la liberté, refuser d'être un «homme» revient donc à refuser les droits qui lui sont accordés par «nature». En effet, la liberté est un droit naturel de l'homme, de par son humanité. Ainsi, l'auteur ajoute plus loin, renoncer à sa liberté n'est pas envisageable pour la nature humaine et revient presque à de la folie, puisque c'est «ôter toute moralité à ses

section, pour être (deux ou trois fois) plus brève que la précédente, n'en est que plus dense. Le propos est d'établir le "jus circa sacra" (le "droit auprès des affaires sacrées"). L'objet du chapitre XVI est de trouver la limite de l'emprise du pouvoir étatique sur les individus, et de déterminer ainsi, en négatif, les libertés civiles ou droits naturels des individus. Les chapitres XVII et XVIII se servent du critère limitatif trouvé pour diagnostiquer l'État hébreu de l'Ancien Testament, sa grandeur

véritable révolution dans la manière de penser de la société. Les lois de la société ne sont plus la traduction soit d’un ordre divin et supérieur, soit un ordre naturel et métaphysique. Grace à l’usage de la raison ou de l’expérience, de nouvelles idées émergent. La philosophie politique moderne reconnait en chacun le droit naturel à la liberté, à la raison et à l’égalité. Le mercantilisme : Les 4 facteurs de la richesse de l’état et la recherche de la croissance de sa puissance : * Abondance

veut). La liberté c'est pouvoir dire non, refuser.Dire non manifeste notre indépendance,c'est à dire un mouvement interne. - Idée qui peut être fondée sur la déclaration des droits de l'homme. Droits naturels, la liberté, la propriété, la sureté et la résistance à l'oppression.(Préambule de la constitution de la République: le droit de grève est trés clairement énoncé.Droit de grève qui apparait dans un contexte juridique).La liberté ne consiste pas qu'à dire non, elle s'accompagne aussi d'un pouvoir

l’institutionnalisation, et les transformations sociales. IL y a des traditions intellectuelles qui n’ont pas pour habitude de traiter ces deux aspects des formes sociales, et qui pensent la société comme un ordre social, un héritage légué par l’ordre naturel ou par l’histoire (pensée traditionnaliste). Il y a d’autres formes de pensée révolutionnaires qui voient la société comme un ensemble de dynamiques vouées à la transformation ; les sociétés sont un mouvement de l’Histoire (Marx, Hegel). Ce sont deux

En 1791, Olympe de Gouges, femme de lettre et tout à la fois, femme politique Française, rédige La déclaration des droits de la femme et de la citoyenne. Dans l'extrait que nous étudions (avant-propos ; préambule ; article premier) Olympe de Gouges essaye de convaincre et de persuader que les femmes ont tout à fait les mêmes droits que les hommes. Comment Olympe de Gouges conteste-t-elle les rapports entre les hommes et les femmes ? Dans une première partie nous présenterons