Drôle de frimousse

langouste dans le fond du panier de crabes. EMMANUELLE (un peu révoltée par son choix) : Ben... tu vas te faire bouffer par les crabes ! NADINE (coléreuse) : Qui t'a dit d'abord qu'il y a des crabes dans le panier ! Tu déformes tout... Tu n'es pas drôle à la fin ! EMMANUELLE (pincée) : Je remarque que ton sens de l'humour décroît au fur et à mesure que nous atteignons la fin de ce questionnaire. Bref ! Je choisis la fidèle FANNY car il faut bien un peu de vertu dans tout cet étalage de crustacés

du degré d'alcool ; - «flâne» pour «flânerie», «fainéantise» ; - «flanquer à la porte» pour «congédier», «renvoyer» ; - «flûter», «envoyer flûter quelqu'un» pour «l'envoyer promener» ; - «fouler», «se la fouler» pour «se donner du mal» ; - «frimousse» pour «visage» ; - «fringale» pour «faim» ; - «fripe» pour «nourriture» ; - «fripouille» pour «canaille», «chenapan» ; - «frusques» pour «vêtements» ; - «gaupe» pour «fille d'une conduite lamentable» : - «godaille» pour «débauche de table

les bouches. « Si j’étais à côté de José-Maria ? » me disais-je… Je racontai les histoires que je savais de ce héros, toutes à sa louange d’ailleurs, et j’exprimai hautement mon admiration pour sa bravoure et sa générosité. – José-Maria n’est qu’un drôle, dit froidement l’étranger. « Se rend-il justice, ou bien est-ce excès de modestie de sa part ? » me demandai-je mentalement ; car, à force de considérer mon compagnon, j’étais parvenu à lui appliquer le signalement de José-Maria, que j’avais lu affiché

les bouches. « Si j’étais à côté de José-Maria ? » me disais-je… Je racontai les histoires que je savais de ce héros, toutes à sa louange d’ailleurs, et j’exprimai hautement mon admiration pour sa bravoure et sa générosité. – José-Maria n’est qu’un drôle, dit froidement l’étranger. « Se rend-il justice, ou bien est-ce excès de modestie de sa part ? » me demandai-je mentalement ; car, à force de considérer mon compagnon, j’étais parvenu à lui appliquer le signalement de José-Maria, que j’avais lu affiché

que c'est d'être [femme ? PHILOMÈNE, troublée. Vous oubliez peut-être?... Un Monsieur... au [salon... CHANTAL J'aime ! Telle est ma loi. Quant à votre leçon Dont vous m'avez donné gracieusement l'obole, Je n'ai guère entendu plus drôle faribole ! PHILOMÈNE Vous m'avez dévoilé bel et bien, tout à trac, Que vous n'êtes, ma sœur, qu'une vile réac. CHANTAL Une vile réac. Ciel ! quel vocabulaire 1 Faut-il couper les mots pour être populaire? PHILOMÈNE Rien à craindre pour vous

les yeux vers la frise de petits tableaux, tous à la même taille, que nous accrochons au mur, côte à côte sous le plafond. — Pourquoi représentent-ils chacun une pomme ? — À cause de Turing, justement. L’inventeur de l’ordinateur s’est suicidé d’une drôle de manière. Le 7 juin 1954, il a trempé une pomme dans une solution de cyanure et l’a posée sur un guéridon. Ensuite, il en a fait un tableau puis il a mangé la pomme. — Sans blague ! — On raconte que c’est pour cette raison que le logo d’Apple représente

les yeux vers la frise de petits tableaux, tous à la même taille, que nous accrochons au mur, côte à côte sous le plafond. ŕ Pourquoi représentent-ils chacun une pomme ? ŕ À cause de Turing, justement. L’inventeur de l’ordinateur s’est suicidé d’une drôle de manière. Le 7 juin 1954, il a trempé une pomme dans une solution de cyanure et l’a posée sur un guéridon. Ensuite, il en a fait un tableau puis il a mangé la pomme. ŕ Sans blague ! ŕ On raconte que c’est pour cette raison que le logo d’Apple représente

tenait sans doute de ces deux natures, essentiellement mesquines, fausses, exécrables. - Si j'avais été ici, lui disait alors Vautrin, ce malheur ne vous serait pas arrivé ! je vous aurais joliment dévisagé cette farceuse-là. Je connais leurs frimousses. Comme tous les esprits rétrécis, madame Vauquer avait l'habitude de ne pas sortir du cercle des événements, et de ne pas juger leurs causes. Elle aimait à s'en prendre à autrui de ses propres fautes. Quand cette perte eut lieu, elle considéra

pas un gros mot ! Ángeles ouvre la porte d'entrée d'un geste vif. 7.ÁNGELES Le dernier arrivé est un gros naze ! Elle s'élance à l'intérieur et referme brutalement la porte au nez de son fils. Thomas toque à la porte, désabusé. THOMAS Ah ah, très drôle ! Il attend quelques secondes et toque de nouveau à la porte. THOMAS Maman ! Lentement, la porte s'ouvre et laisse entrevoir le visage d'Ángeles. Elle sourit outrancièrement, provocatrice. Thomas lui rend son sourire outrancier. Ángeles lui montre

faut croire que non. S'il y avait, je ne sais pas moi, un petit salon, une bibliothèque, une salle de billard, ou ne serait-ce qu'une buanderie, je pourrai au moins aller t’y attendre. Ces appartements composés d'une seule grande pièce... Quel drôle de façon de vivre ! Comment veux-tu avoir la moindre intimité ici ? – La plupart des gens n'ont pas de bibliothèque ou de salle de billard dans leur appartement. – Parle pour tes amis, ma chérie ! Julia se retourna vers lui et lui lança un regard