Drôle de réveil !

mangeant des épinards tandis qu’une femme de sa connaissance lui pose la main sur le genou, sous la table, vantant ses « beaux yeux ».Comme il n’a aucune espèce d’affect particulier pour cette dame, il s’interroge et découvre le lien qui explique ce drôle de rêve : ayant bénéficié gratuitement d’un trajet en taxi par un Ami qui l’a déjà beaucoup aidé et s’est montré très généreux envers lui, la culpabilité qui en découle lui fait penser à l’expression « avoir tout (gratuitement) pour vos beaux yeux »

couleurs marron et jaune qui semblent se mélanger. On remarque dans cette page et les suivantes, le lexique du danger, de l’épreuve, « perdue », « drôle de craquement », « buta », « « tomba », « terrifiée ». Elle semble une cible facile ?allongée de tout son long. La forêt est présentée comme un lieu de périls, loin de son foyer  « il ne faut pas réveiller l’esprit des bois », « forêt profonde ». L’esprit de la forêt est matérialisé sous l’apparence d’un prédateur : une panthère noire qui se confond

ensuite d’un fou qui pensait que la fin du monde était arrivé (64). Seulement, rien n y fait et Clov semble décider à s’en aller. Hamm jette l’éponge et lui dit qu’il souhaiterait savoir quand Clov s’en irait. Ce dernier trouve alors l’astuce du réveil qui sonnerait quand il ne serait plus là (68). De la page 68 à la page 84, Hamm raconte des histoires à Nagg. Il lui raconte d’abord son histoire de Noël (72-78) et l’homme dans l’histoire pourrait être le père de Clov qui l’aurait confié à Hamm

fade, moins toujours la même chose. Elle se tut quelques instants, comme pour s’imaginer la vie qu’elle mènerait, si elle était Laure. Puis, d’un ton découragé : Après tout, reprit-elle, ces dames doivent avoir leurs ennuis, elles aussi. Rien n’est drôle, décidément. C’est à mourir… Je le disais bien, il faudrait autre chose ; tu comprends, moi, je ne devine pas ; mais autre chose, quelque chose qui n’arrivât à personne, qu’on ne reconnaît pas tous les jours, qui fût une jouissance rare, inconnue.

t'ignores le parfum enivrant, obsédant
 Qui te couvre d'ivresse
 Te transforme en détresse
 Et peut faire de ta soirée 
Comme une éternité à crier 

Refrain. 
 Mais au nom de la vie 
De ces quelques-uns
 Qui sont restés bloqués 
Sur ton drôle de chemin 
Au nom de mon ami malade 
Qui hurle au fin fond d'son hôpital 

Refrain. Babylone : Le ciel se voile, les glaciers transpirent 
Babylone 
Plein de gasoil nos poumons quand on respire 
Dans Babylone
 Bruits d'aéroplanes qui t'empêchent

MONSIEUR FERNAND : Pas pour longtemps, ça va changer vite, c'est moi qui vous le dit ; la boite que je vais lui trouver, va falloir qu'elle y reste, croyez moi ! Ou si non, je vais la filer chez les vraies soeurs, les vraies, pension au bagne avec le réveil au clairon et tout le toutim, non mais sans blague ? MAITRE FOLACE : Et bien, vous le lui direz à elle. MONSIEUR FERNAND : J'vais lui dire, et puis tout de suite. Où est-elle ? MAITRE FOLACE : Elle dort. Elle a organisé une petite sauterie qui

mademoiselle, et non musicien, la peinture, elle, ne fait pas de bruit. Que cette vieille maison était calme quand j’en étais le seul occupant ! — Vous peignez ? Que peignez-vous exactement, monsieur Daldry ? demanda Alice. — Des paysages urbains. — C’est drôle, je ne vous voyais pas peintre, je vous imaginais… — Vous imaginiez quoi, mademoiselle Pendelbury ? — Je m’appelle Alice, vous devriez connaître mon prénom puisque aucune de mes conversations ne vous échappe. — Je n’y suis pour rien si les murs qui

étaient trop ... sophistiquées. J'espère qu'au moins j'arriverai a m'entendre avec mes nouveaux camarades. Je reprend les cours demain. Les Cours sont les seules choses que je dois avoir en point commun avec les gens de mon âge.Lundi 7:45 :J'étais réveillé depuis une demi-heure. Je m'approchai de la fenêtre et regardai : le ciel était bondé de nuage d'un gris immaculé. « misère , moi qui adore le soleil , je pourrai enterré mon maillot de bain » Je me dirigeai vers ma penderie. Je ne suis pas accroc

Personne n'a pu dormir durant le vol et huit heures : c'est long. Nous sommes partis de Paris à destination de Puerto-Plata. Tout le monde était très fatigué et, à notre arrivée, nous sommes tous aller nous coucher. J'étais exténué, je me suis réveillé au bout de cinq heures de sieste. Dès le lendemain nous avions un planning établi par mon père et que nous devions respecter à la lettre. «Aujourd'hui c'est la visite de l'hôtel»,''demain on ira à la plage'',''après demain musculation''. Il a passé

Harker, entre le 3 et le 5 mai * ------------------------------------------------- Description de la Transylvanie, de ses mœurs * ------------------------------------------------- A l’hôtel de la croix d’Or, une vieille femme lui donne un drôle d’avertissement * ------------------------------------------------- Décor fantastique durant le voyage * ------------------------------------------------- Les voyageurs semblent apeurés * -------------------------------------------------