Drôle de réveil !

algues fraîchement cueilli ! – Tu te vois, à marée basse, aller chercher du varech et le remonter jusqu’ici, bien au sec, et je te rappelle qu’ils ne veulent pas mouiller leurs petites pattes. Et pour comble ils ont peur de l’eau. – Drôle de cousins c’est vrai, mais on doit peser le pour et le contre. – En plus, il faudra les porter sur nos carapaces jusqu’au rocher. – Mais toi, l’araignée avec tes cons sœurs, vous ne pouvez pas nous aider ? – Non, ce produit nous

à mon patron. Cela ne signifiait rien. De toute façon, on est toujours un peu fautif. Le soir, Marie avait tout oublié. Le film était drôle par moments et puis vraiment trop bête. Elle avait sa jambe contre la mienne. Je lui caressais les seins. Vers la fin de la séance, je l'ai embrassée, mais mal. En sor¬tant, elle est venue chez moi. Quand je me suis réveillé, Marie était partie. Elle m'avait expliqué qu'elle devait aller chez sa tante. J'ai pensé que c'était dimanche et cela m'a ennuyé : Je

pas bon ! MARINA, hochant la tête. – Drôle de vie ! Le professeur se lève à midi et le samovar bout depuis le matin. Avant qu’ils n’arrivent, on dînait toujours vers une heure, comme on fait partout chez les braves gens, et, avec eux, on dîne vers sept heures. La nuit, le professeur lit et écrit, et tout à coup vers deux heures, on sonne… Imaginez cela, mes amis ? Il lui faut du thé ! Et que je te réveille les domestiques pour lui ; que j’installe le samovar. Drôle de vie ! ASTROV. – Resteront-ils longtemps

très doux et de très tendre. Il m'a caressé la tête et les joues avec ses deux menottes : — Ne crains rien — ça voulait dire — je m'occuperai de vous tous. Ne perds pas courage. Je me suis levé, je me suis habillé et, tous les deux, on est allés réveiller nos frères. On passait de l'un à l'autre. Dès qu'ils ouvraient l'œil, je leur expliquais ce que je savais et ce qu'il fallait faire. Si j'avais été seul, ils m'auraient pas cru, mais avec Yann c'était plus facile. — D'accord, d'accord... je viens

glissant, il dérapa dans le virage, se rattrapa de justesse à la manche d’un commandant de bord qui marchait en sens inverse, eut à peine le temps de s’excuser et reprit sa course folle. * L’airbus A 340 d’Air France avançait lentement sur le tarmac, son drôle de museau se rapprochait de façon impressionnante de la vitre du terminal. Le bruit des turbines s’étouffa dans un long sifflement et la passerelle de quai se déploya jusqu’au fuselage. * Derrière la cloison des arrivées internationales, Paul se courba

Que ce passe-t-il ? « Réveille-toi, aller c’est le grand jour !! » « …..….humm....... » Tout en me levant, j’ai pu apercevoir la belle vue panoramique que j’avais…. Mais également cette personne qui m’a réveillé de si bonne heure. Mais tout cela me semble étrange, je ne sais plus quel jours on est… Tout ce que je sais justement c’est que c’est un jour important, mais important ! Pour qui ? Pourquoi ? Peut-être devrais-je demander a cette personne qui m’a réveillé et qui à présent me regardes

Que se passet il là sur la pente de ce petit talus ? On croirait voir une avalanche miniature:neige et terre entrainées dans la meme chute. Allons voir de plus près, Mais qu’est-ce ce trou profond ? Dedans il y a une bete qui bouge. Mince ! Quelle drole de petite tete d’animal futé. Mais je sais c’est une marmotte fine et mignonne comme tout. Mon père m’en avait montré une l’été dernier courant dans un pré.Tu ne dors pas petite copine ?Je croyais que l’hiver était pour toi la saison du repos et des

glissant, il dérapa dans le virage, se rattrapa de justesse à la manche d’un commandant de bord qui marchait en sens inverse, eut à peine le temps de s’excuser et reprit sa course folle. * L’airbus A 340 d’Air France avançait lentement sur le tarmac, son drôle de museau se rapprochait de façon impressionnante de la vitre du terminal. Le bruit des turbines s’étouffa dans un long sifflement et la passerelle de quai se déploya jusqu’au fuselage. * Derrière la cloison des arrivées internationales, Paul se courba

parler. Écoutez bien, ne toussez pas et essayez de comprendre un peu. C'est ce que vous ne comprendrez pas qui est le plus beau, c'est ce qui est le plus long qui est le plus intéressant et c'est ce que vous ne trouverez pas amusant qui est le plus drôle. (Sort I’Annoncier) TEXTE 3 - SAMUEL BECKETT (1906-1989) - Oh les beaux jours (1961) ACTE PREMIER Etendue d'herbe brûlée s'enflant au centre en petit mamelon. Pentes douces à gauche et à droite et

fois à l’écrit, Dunglas n’arrive pas à franchir le second pallier. Accidenté en 1938 au genou suite à l’arrêt brusque d’une voiture de l’Administration, qu’il occupait avec un ressortissant polonais, faisant l’objet d’un arrêté d’expulsion, Dunglas réveille une veille blessure. Même s’il tient à assurer son service, force est de constater que Dunglas est handicapé, il trainera cette blessure tout le long de sa carrière. Marié et père depuis peu, Dunglas a à sa charge sa mère très âgée. Sa femme est