Drôles de dames

l'azur léger qui s'irradie Et qu'un soir la rougeur des bombes étoila.   Cachez les palais morts dans des niches de planches ! L'ancien jour effaré rafraîchit vos regards. Voici le troupeau roux des tordeuses de hanches, Soyez fous, vous serez drôles, étant hagards !   Tas de chiennes en rut mangeant des cataplasmes, Le cri des maisons d'or vous réclame. Volez ! Mangez ! Voici la nuit de joie aux profonds spasmes Qui descend dans la rue, ô buveurs désolés,   Buvez ! Quand la lumière arrive

sa veste sale. Or le bon roi, debout sur son ventre, était pâle Pâle comme un vaincu qu'on prend pour le gibet, Et, soumis comme un chien, jamais ne regimbait Car ce maraud de forge aux énormes épaules Lui disait de vieux mots et des choses si drôles, Que cela l'empoignait au front, comme cela ! « Or, tu sais bien, Monsieur, nous chantions tra la la Et nous piquions les boeufs vers les sillons des autres : Le Chanoine au soleil filait des patenôtres Sur des chapelets clairs grenés de pièces

sa veste sale. Or le bon roi, debout sur son ventre, était pâle Pâle comme un vaincu qu'on prend pour le gibet, Et, soumis comme un chien, jamais ne regimbait Car ce maraud de forge aux énormes épaules Lui disait de vieux mots et des choses si drôles, Que cela l'empoignait au front, comme cela !   « Or, tu sais bien, Monsieur, nous chantions tra la la Et nous piquions les boeufs vers les sillons des autres : Le Chanoine au soleil filait des patenôtres Sur des chapelets clairs grenés de pièces

veste sale. Or le bon roi, debout sur son ventre, était pâle Pâle comme un vaincu qu'on prend pour le gibet, Et, soumis comme un chien, jamais ne regimbait Car ce maraud de forge aux énormes épaules Lui disait de vieux mots et des choses si drôles, Que cela l'empoignait au front, comme cela ! « Or, tu sais bien, Monsieur, nous chantions tra la la Et nous piquions les boeufs vers les sillons des autres : Le Chanoine au soleil filait des patenôtres Sur des chapelets clairs grenés de pièces

farces-là, dit Sylvie. Allons, voilà Christophe qui ronfle comme une toupie. - Adieu, maman, dit Vautrin. Je vais au boulevard admirer M. Marty dans Le Mont Sauvage , une grande pièce tirée du Solitaire. Si vous voulez, je vous y mène ainsi que ces dames. - Je vous remercie, dit madame Couture. - Comment, ma voisine ! s'écria madame Vauquer, vous refusez de voir une pièce prise dans Le Solitaire , un ouvrage fait par Atala de Chateaubriand, et que nous aimions tant à lire, qui est si joli que

des films à succès présentent des couples très traditionnels, on remarque une ouverture pour des personnages féminins plus forts et plus actifs. Même l‟univers très macho des films d‟action a fait une petite place aux dames. Les héroïnes de Tomb Raider et Charlie et ses drôles de dames sont fortes et distrayantes, à l‟image de leurs confrères, mais toujours ultra féminines, élégantes et sexy (rien n‟est parfait !). Annexe 9 31 Après le « porno chic », l'érotisme soft12 Disparu pour cause d'excès

se contenter seulement d´une telle interprétation. Le choix de ces mots n´est pas déterminé seulement sur la base de la musique qui se produit par la succession des phonèmes. Pour que l´effet soit parfait il faut choisir des désignations les plus drôles. Jamais dans ses énumérations on ne trouve pas les Français, les Allemands, ni les Anglais, ni les Américains. C´est-à-dire les membres des pays culturels du monde. Ces énumérations sont destinées au lecteur français chez qui les désignations des

observer et juger les mœurs. Tout le monde connaît les histoires drôles que se racontent les enfants dans les cours de récréation ou les adultes en fin de banquets. Tout comme la comédie, la farce, la satire et la caricature, elles utilisent la distanciation pour mettre en évidence le décalage entre la norme et la réalité, l’ironie, elle, use de la distorsion entre la réalité et la façon de l’exprimer. Les histoires drôles, plus généralement, ont pour ressort la stupidité de l’idiot, la

est-il que la générale professait pour lui une sorte d'affection pieuse et de cause inconnue. Graduellement, il avait acquis une extraordinaire influence sur la partie féminine de la maison du général, influence analogue à celle exercée sur quelques dames par certains sages et prédicateurs de maisons d'aliénés. Il donnait des lectures salutaires à l'âme, parlait avec une éloquence larmoyante des diverses vertus chrétiennes, racontait sa vie et ses exploits. Il allait à la messe et même à matines, prophétisait

fermés, lorsque la besogne était pressée. Comme on disait dans le quartier, elle avait la veine ; tout lui prospérait. Elle blanchissait la maison, M. Madinier, Mlle Remanjou, les Boche ; elle enlevait même à son ancienne patronne, Mme Fauconnier, des dames de Paris logées rue du FaubourgPoissonnière. Dès la seconde quinzaine, elle avait dû prendre deux Bibliothèque nationale de France Atelier pédagogique : Autour de l'Assommoir d'Émile Zola 4 ouvrières, Mme Putois et la grande Clémence,