Druzes

sentiment a été dissipé par un léger mouvement du groupe: le cheval, sans bouger ses pieds, avait attiré son corps légèrement en arrière de la marge, l'homme restait immobile comme avant. Large éveillé et vif vivante de l'importance de la situation, druzes désormais apporté la crosse de son fusil contre sa joue par prudence pousse le canon vers l'avant à travers les buissons, armé de la pièce, et en regardant à travers le viseur couvert un point vital de la poitrine du cavalier . Une touche sur la gâchette

et immédiates servent à expliquer l'instauration, en 1861, du régime de la Moutassarrifiya au Liban. Qu'ils s'agissent des symptômes associés aux réformes (Tanzimat) de 1839 et de 1856 qui donnent lieu à des conflits religieux entre maronites et druzes ou de la partition du Liban de 1846, on assiste à partir de 1840, à une escalade d'affrontements interconfessionnels et intraconfessionnels qui connaîtra son dénouement dans le massacre de 1860. . Jusqu'en 1839, c'est-à-dire au moment des premières

des Mamelouks. Mais la souveraineté de l’Empire Ottoman sur la région du Mont Liban devient officielle et effective dès la fin de l’Emirat en 1842, avec le dernier Emir arrêté par Istanbul. En effet, il prend possession de la région avec l’aide des Druzes et des Britanniques, et y impose son autorité. L’Empire Ottoman confie alors à la région un rôle important afin de contrecarrer les politiques européennes, il entend en faire le foyer de l’islamisme. Cette idée va marquer la politique ottomane tout

la communauté maronite avec leurs maîtres féodaux druzes et chiites et de s’interroger sur les sous-entendus idéologiques et sectaires de l’imaginaire historique du Liban. Le Liban est une région qui n’eut aucune définition territoriale précise avant le xixe siècle. Ce sont les historiens locaux, hagiographes des grandes familles de la région, qui ont d’abord proposé l’intégrité territoriale des montagnes côtières sous le « régime » d’émirs druzes, notamment dans l’ouvrage de T. Shidyaq (m. 1859)

temps un refuge pour les minorités persécutées du MO. Ces minorités ont été instrumentalisées par les puissances européennes que sont la France et l’empire Britannique, Napoléon soutenant des 1860 la communauté des Chrétiens maronites face aux Druzes. L’éclatement de l’empire ottoman en 1919 suite a la 1ère GM amène la SDN a confié la gestion de la grande province Syrienne (qui comprenait alors le Liban actuel) à la France : c’est le mandat Français. La France permet alors la création de

vice-amiral Louzeau, bientôt remplacé par le contre-amiral Klotz. Les Occidentaux arrivent dans un pays naturelllement morcelé : 3,5 millions d'habitants, mais 17 communautés religieuses et 4 cantons confessionnels quasiment automones ( chrétiens, druzes, chiites et sunnites ). Depuis 1978, les trois quarts du pays sont passés sous tutelle étrangère. Entre les griffes des deux fauves qui attisent les contradictions libanaises. An nord et à l'est, le lion de Damas. La Syrie entretient 48 000 hommes

Les communautés religieuses (notamment les maronites et les druzes) ont connu des périodes de conflits et des périodes de coexistence. Ces périodes d'alternance ont eu des répercussions remarquables sur la politique que nous allons essayer d'analyser ci-dessous. * Le 3 septembre 1840 Béchir III est nommé émir du Mont Liban par le Sultan ottoman. Cette élection se devait être un remède contre les massacres perpétuels entre personnes de la communauté druze et maronite. Cependant, ces massacres continuèrent

1975-1991 INTRODUCTION : Le Liban est composée d’une société pluriconfessionnelle : seul pays a reconnaître de manière égale 17 communautés religieuses dont les principales sont : - chrétiens maronites - musulmans sunnites chiites et druzes Depuis son indépendance en 1943, le Liban reposait sur un fragile équilibre entre les différentes composantes de sa population : le Pacte national : - les chrétiens acceptaient que leur pays fasse partie du monde arabe - les musulmans

principal foyer est hors le monde arabe: l'Inde et le Pakistan. Ils sont dispersés dans plusieurs pays arabes comme la Syrie, Liban et Irak. Toutefois, il existe des communautés issues du Chiisme considérées comme des sectes. La première est celle des Druzes, issue des Ismaéliens, essentiellement établie dans le sud du Liban où elle représente moins de 10% de la population, et aussi au Djebel Druze en Syrie où elle représente environ 3% de la population. La seconde est celle des Alaouites, issue des

1943 : sous mandat français depuis 1920, l'ancienne province de l'empire ottoman proclame son indépendance. Le "Pacte national" institue un système politique confessionnel répartissant les pouvoirs en tre les Maronites, les sunnites, les chiites, les druzes, et les grecs catholiques et orthodoxes. 1952-58 : présidence de Camille Chamoun qui pratique une politique pro-occidentale. 1958 : une insurrection de nationalistes arabes favorables à Nasser est matée par une intervention américaine. 1970-71: