Du sang sur la neige

extrait se situe après le mariage de Langlois avec Delphine, ces le dernière épisode du roman. La scène se passe chez Anselmie tout d’abord puis chez Langlois. Nous allons voir en première partie l’autorité de Langlois, ensuite la fascination pour le sang et enfin la citation de Pascal « Un roi sans divertissement est un homme plein de misères ». Nous avons tout d’abord la scène de l’oie qui est rapporté à tout le monde lors du repas par Anselmie c’est la narratrice dans ce passage. On voit bien le

un auteur a repris modifié le classique, avec illustrations de bas étage. Blanche Neige d'Angela Barrett, problème avec blanche neige le problème c'est Walt Disney, elle a relu Blanche Neige dans une perspective chrétienne et christique, elle dramatise à l'extrême la scène sacrificielle. Très loin des 7 sept nains de Walt Disney, reprise d'un tableau très célèbre l'adoration du berger de Delatour, Blanche Neige fait penser à l'enfant Jésus => scène de la nativité, renvoi à la cène avec le repas

aussi le tiraillement de l’individu entre l’idéal, la beauté et la mort. La personnification du hêtre ressemble à celle du « Bateau ivre » de Rimbaud. Tous deux symbolisent à la fois l’expérience de la vie et de la création poétique. Les gouttes de sang que contemple Perceval, héros naïf, le rendent encore plus étranger à l’action. Sa quête est suspendue ; il n’entend plus rien. Son ambiguïté, à ce moment-là, et sa fascination pour l’image, le rapprochent de Langlois. Ce que Vigny raconte dans «

1807 l'empereur Napoléon Ier affronte les Russes et les Prussiens près de Königsberg en Prusse Orientale. Sur le champ de bataille, la Grande Armée emmenée par Davout, Soult, Augereau, Murat et Ney compte 55 000 hommes épuisés par onze jours de marche dans la neige. Face à eux, 60 000 russes et prussiens sous les ordres de Bennigsen, Bagration et Barclay de Tolly. Des deux cotés, les pertes sont considérables. Fait unique dans les batailles de l'Empire, l'empereur restera huit jours sur place pour évacuer les

œil sain, la flèche scélérate Touche Arsénios le borgne et l'agonie s'ensuit. Zeuxis s'effondre aussi et son sang écarlate S'étend en large flaque où le soleil reluit. La reine trait sur trait tire et, visant Diomède, Le second d'Achaïe est près de trépasser... Lorsque son destrier atteint sous elle cède ! L'aérien javelot de loin l'a transpercé. Penthésilée en se levant voit le sang tiède Sortir à flots pressés du cheval terrassé. Tournant vers les Argiens un regard plein de haine Et désirant

mortes,  J'irai sur les chemins.  Je mendierai ma vie  Sur les routes de France,  De Bretagne en Provence  Et je crierai aux gens:  «Refusez d'obéir,  Refusez de la faire,  N'allez pas à la guerre,  Refusez de partir.»  S'il faut donner son sang,  Allez donner le vôtre,  Vous êtes bon apôtre  Monsieur le président.  Si vous me poursuivez,  Prévenez vos gendarmes  Que je n'aurai pas d'armes  Et qu'ils pourront tirer. Références complètes : Le déserteur, Boris Vian, 1954, poème Refuse

Parmi les contraintes environnementales qu'ils subissent, il faut citer : le sol gelé en permanence et en profondeur ; l'absence d'arbres, excepté ceux qui sont charriés par la mer (bois de flottage), et la végétation de maigre toundra recouverte de neige une grande partie de l'année ; les températures, très basses l'hiver, s'élevant rarement au-dessus de 10 C dans les mois les plus chauds ; la division de l'année en deux saisons très inégales et contrastées : un hiver long, en partie sombre et glacial

A l’époque, le sang et les couteaux sont à la une de la nouvelle presse à sensation ou des romans policiers lus par un public avide d’émotions fortes. La structure du roman repose sur deux grands moments : l’assassinat de Grandmorin et le meurtre de Séverine par Jacques. Mais le roman comporte d’autres instants déterminants : les aveux de Séverine, l’un à Roubaud l’autre à Jacques, l’immobilisation de La Lison dans la neige et celui du déraillement où Zola joue avec le temps, le rythme et les regards

dans l’Oxfordshire. Là, il avait la certitude de trouver la solitude, seule chose qui lui importait à cet instant. Fait exceptionnel : il avait éteint son téléphone portable et n’avait aucune intention de le rallumer avant le lendemain matin. La neige tombait de plus en plus dru, et les essuie-glaces de sa puissante berline peinaient à chasser les flocons qui s’agglutinaient sur le pare-brise. Des congères s’étaient formées sur les bas-côtés, et la visibilité était si réduite qu’il avait dû

action qui nous détourne de nous même et de notre condition humaine » b) Divertissement spectaculaire de la chasse - Langlois a fait tout cela pour lui-même (pour son propre divertissement) c) Sang dans la neige - Lien entre l divertissement de la chasse et la fascination du spectacle du sang sur la neige - L2 : « planait » : la fascination plonge les villageois et Langlois dans un état d’hypnose - Contraste entre ces deux couleurs d) Le plus beau divertissement est un divertissement esthétique