Du silence et des ombres

à l’égard de Junie I-Une idolâtrie formée par le récit * Le récit : avec hors-scène respect de la bienséance (pas de prosaïsme) Description de la situation : lieu, temps, couleurs … * Description de l’atmosphère « ombres, flambeaux, cris, silence » v.11 * Champs lexical de l’amour : « amoureux ; désir ; amour » DESCRIPTION MELIORATIVE DE LA JEUNE FILLE * Il y aussi beaucoup d’adjectifs : belles ; simple ; fiers  * C’est un amour qui

sont opprimés =) la mercerie=) cercueil + adjectifs de couleurs du deuil =)la mort : sombres, noires, blanchâtre et rougeâtre (x2) =) péjoratif reviennent très souvent et sont plus forte au fur et à mesure + CL de la mort :"brûlé", "noires", "ombres", "dernières", arbres vieillis jettent leurs feuilles, sent la mort venir, des linceuls dans son ombre,taches brunes et grises qui s’effaçaient + obscurité contraste avec le jeu des lumières +des CCL et CCT : évocation de lieu et de tps en début

Lycée Marie Curie Cinéma et histoire Étude du film : Le silence de la mer De Jean-Pierre MELVILLE Titre : le silence de la mer Film : français Durée : 86 min Année: 1948 Réalisateur: Jean-Pierre Melville Producteur: Jean-Pierre Melville Distribution: Howard Vernon, Nicole Stéphane, Jean-Marie Robain, Ami Aaröe, Denis Sadier, George Patrix Scénario et adaptation : Jean-Pierre Melville, d'après le roman de Vercors Directeur de la photographie: Henri Decaë Musique: Edgar Bischoff

ciel ses yeux mouillés de larmes,Qui brillaient au travers des flambeaux et des armes.Belle, sans ornements, dans le simple appareilD'une beauté qu'on vient d'arracher au sommeil.Que veux-tu ? Je ne sais si cette négligence,Les ombres, les flambeaux, les cris, et le silence,Et le farouche aspect de ses fiers ravisseursRelevaient de ses yeux les timides douceurs.Quoi qu'il en soit, ravi d'une si belle vue,J'ai voulu lui parler et ma voix s'est perdue ;Immobile, saisi d'un long étonnementJe l'ai laissé

obscur ; Là, le lac immobile étend ses eaux dormantes Où l'étoile du soir se lève dans l'azur. Au sommet de ces monts couronnés de bois sombres, 10 Le crépuscule encor jette un dernier rayon ; Et le char vaporeux de la reine des ombres Monte, et blanchit déjà les bords de l'horizon. Cependant, s'élançant de la flèche gothique, Un son religieux se répand dans les airs, 15 Le voyageur s'arrête, et la cloche rustique Aux derniers bruits du jour mêle de saints concerts

pain blanc des journées Sur les saisons fiancées J'écris ton nom Sur tous mes chiffons d'azur Sur l'étang soleil moisi Sur le lac lune vivante J'écris ton nom Sur les champs sur l'horizon Sur les ailes des oiseaux Et sur le moulin des ombres J'écris ton nom Sur chaque bouffée d'aurore Sur la mer sur les bateaux Sur la montagne démente J'écris ton nom Sur la mousse des nuages Sur les sueurs de l'orage Sur la pluie épaisse et fade J'écris ton nom Sur les formes scintillantes

la caverne L'allégorie de la caverne est une allégorie exposée par Platon dans le Livre VII de La République. Elle met en scène des hommes enchaînés et immobilisés dans une demeure souterraine qui tournent le dos à l'entrée et ne voient que leurs ombres et celles projetées d'objets au loin derrière eux. Elle expose en termes imagés les conditions d'accession de l'homme à la connaissance de la réalité, ainsi que la non moins difficile transmission de cette connaissance. Sommaire   [masquer]  1 L'allégorie

lune se levant sur la terre et se couchant sur la mer. Etablie par Dieu gouvernante de l'abîme, la lune a ses nuages, ses vapeurs, ses rayons, ses ombres portées comme le soleil ; mais comme lui, elle ne se retire pas solitaire ; un cortège d'étoiles l'accompagne. A mesure que sur mon rivage natal elle descend au bout du ciel, elle accroît son silence qu'elle communique à la mer ; bientôt elle tombe à l'horizon, l'intersecte, ne montre plus que la moitié de son front qui s'assoupit, s'incline et

lieux naturels se trouvent comme étant des endroits paisible et regorge d’un commun silencieux. Les lieux tels que le sentier, la vallée et les arbres ont un impact sur la vie de l’auteur. Puisqu’il cite que les ombres émis par les coteaux projeté sur son front le couvrent tout entier de silence et paix. L’auteur ressent le sentiment de l’apaisement sur son corps en entier. Le locuteur emploie le mot QUI en début de vers pour insister un enjambement. « Qui, courbant sur mon front leur ombre entremêlée

déserte Et cette haie qui du plus lointain horizon Cache au regard une telle étendue. Mais demeurant et contemplant j’invente Des espaces interminables au-delà, de surhumains Silences et une si profonde Tranquillité que pour un peu se troublerait Le cœur. Et percevant Le vent qui passe dans ces feuilles- ce silence Infini, je le vais comparant A cette voix, et me souviens de l’éternel, Des saisons qui sont mortes et de celle Qui vit encor, de se rumeur. Ainsi Dans tant d’immensité ma pensée