Duc d'York

rendirent célèbre et lui voudront une place à l’Académie Française en 1844. Il devient inspecteur général des Monuments historiques en 1834. Il effectue alors plusieurs voyages d’inspection à travers la France. Il confie à l’architecte Eugène Viollet-Le-Duc la restauration de nombreux édifices en péril comme la Cathédrale Notre-Dame de Paris. Proche de l’impératrice Eugénie, il devient alors en 1853 sénateur. Il se concentre sur ses travaux historiques et publie moins d’œuvres littéraires.

partir du XVIe siècle, les architectes spécialisés dans la conception des bâtiments, des fortifications et des machines pour la guerre ont pris le nom d'ingénieurs. Au XIXe siècle, certains architectes occidentaux, par exemple Eugène Viollet-le-Duc, s'attachent fortement à l'aspect constructif. (Ils se concentrent en particulier sur les charpentes métalliques et participent au développement la mécanique statique). À partir du XXe siècle, en Occident dont les conceptions de production d'objet

dédiée aux héros de la grande armée. Il fut transformé en église à la Restauration. C’était un moyen de conserver ce bâtiment. Le gothique retrouvé : Viollet-le-Duc (1814 à 1879), restaurateur de monuments médiévaux, est aussi l’auteur du dictionnaire raisonné de l'architecture du XIe au XVIe siècle. Viollet-le-Duc entreprit la restauration de nombreux bâtiments gothiques emblématiques de l’histoire de France: abbatiale de Vézelay, Cité de Carcassonne, abbaye du Mont-Saint-Michel, Notre-Dame

d'économies et d'un bon rapport qualité prix, il faut citer le 7, rue Trétaigne, Paris 18ème de Sauvage (1903-04). C'est un essai transformé de réaliser des appartements salubres, avec une structure visible rationnaliste dans la lignée de Viollet le Duc, (briques et béton) et de décoration Art Nouveau (portes et cheminées par exemple). Les artistes Art Nouveau ont presque tous eu une préoccupation sociale 26, rue Vavin 7, rue trétaigne Oeuvres de fer et d'acier A voir l'immeuble du journal "Le Parisien

Viollet-Le-Duc. La première est le refus de la symétrie et de la planéité qui apparaît sous la forme de décrochements successifs tant verticaux qu‘horizontaux et qui donne aussi l’impression de plans superposés et de volumes imbriqués. Au final on a le sentiment d’observer plusieurs bâtiments en un seul. Encore confirmé ici par la présence de bow window qui sont complètement en excroissance sur le bâtiment. Ensuite dans la cour intérieure on observe la 2ème théorie de Viollet-Le-Duc, « la fonction

Ouvrages de spécialisés C.WENZLER, Châteaux forts et forteresses de la France médiévales, Paris, EDL, 2007, 245 p. C.WENZLER, Églises et cathédrales de la France médiévale, Paris, EDL, 2006, 230 p. 2. Encyclopédie VIOLLET-LE-DUC, Eugène Emmanuel. Encyclopédie médiévale, Paris, Bibliothèque de l’image, 1996, 782 p. 3. Article de périodique DEMOUY, Patrick. «Des artisans de génie», Historia, no. 124, mars-avril 2010, p.38-42. ALEX SIROIS ROUSSY

travaille dès ses débuts avec l'architecte Josep Fontseré sur le projet du parc de la Ciutadella. Sa carrière commence vraiment en 1883, avec le début de l'édification de la Casa Vicens. Jeune architecte, il est d'abord inspiré par Eugène Viollet-le-Duc mais bien vite, il rompt avec le style néogothique et se fait remarquer par son originalité et sa fantaisie. Dès ses premiers projets, il fait cohabiter architecture et mobilier[->0] . Inscrit dans la mouvance de l'Art nouveau alors en vogue en Europe[->1]

de France, Édouard de Laboulaye, en 1865. Le projet est confié, en 1871, au sculpteur français Auguste Bartholdi. Pour le choix des cuivres devant être employés à la construction, l'architecte Eugène Viollet-le-Duc eut l'idée de la technique durepoussé. En 1879, à la mort de Viollet-le-Duc, Bartholdi fit appel à l'ingénieur Gustave Eiffel pour décider de la structure interne de la statue. Ce dernier imagine un pylône métallique qui supporte les plaques de cuivre martelées et fixées. La statue fait

chapiteaux des cathédrales médiévales, certains artistes opèrent un retour à l'observation et à l'imitation de la nature tout en produisant de nouvelles formes, dans de nouveaux matériaux. L'architecte et théoricien français Eugène Viollet-le-Duc, dans ses Entretiens sur l'architecture, (1863-1872) stigmatise la platitude des décors néoclassiques, qui ne correspondent plus aux réalités de l'époque. En Angleterre, William Morris, disciple de John Ruskin, ouvre la voie au renouveau stylistique

monuments américains les plus célèbres. Elle fut offerte par la France à l’occasion du centenaire de la déclaration d’indépendance américaine. Le projet fut confié en 1871 au sculpteur Frédéric Auguste Bartholdi. C’est l’architecte Eugène Viollet-le-Duc qui fit le choix des cuivres devant être employés à la construction et qui eut l’idée de la technique du repoussé. A sa mort, Gustave Eiffel continua ses travaux et décida de la structure interne de la statue. Il imagina ainsi le pylône métallique