Duc de Lancastre

Pieter, c’est finalement Jan, mon fils adoptif, qui semble le plus doué en toutes choses. Il est vrai que Pieter n’a pas cinq ans. Parlons plutôt de toi. Que nous vaut ta présence à Bruges ? — Une heureuse démarche, du moins je l’espère. Un messager du duc de Bourgogne m’a invité à me présenter au Prinsenhof. Je pense que cette convocation est liée à une requête que j’avais formulée dans le courant de l’automne. Petrus arbora une expression embarrassée avant de poursuivre : — Les temps sont durs pour

prédications incendiaires – assaillent la synagogue Santa María La Blanca de Tolède en 1406. En 1408, on oblige les Juifs à porter des signes distinctifs ainsi qu’à se reclure dans les juiveries ; puis en 1412, la régente de Castille, Catherine de Lancastre, interdit la vie en commun entre Chrétiens et Juifs; le roi Alphonse V d'Aragon agit de façon similaire. Pour autant, les conversos continuent leurs activités (haïes par les chrétiens de « sang pur »), conservent leurs richesses et améliorent

s’y dérober, rendant de plus en plus théorique l’appartenance de ces régions au royaume. Afin de marquer leur nouveau statut, de rehausser leur prestige, plusieurs de ces dirigeants abandonne le titre de comte pour celui plus prestigieux de duc. C’est le cas du duc de Bretagne, d’Aquitaine et de Bourgogne. Certains cherchent même à se faire sacrer et à accéder ainsi à la dignité royale. Ces principautés apparaissent ainsi comme de redoutables concurrentes du pouvoir royal, certaines d’entre elles semblent

fraisier plus basses ; le marquis, perles et feuilles d’égale hauteur ; le duc, fleurons sans perles ; le duc royal, un cercle de croix et de fleurs de lys ; le prince de Galles, une couronne pareille à celle du roi, mais non fermée. Le duc est très haut et très puissant prince ; le marquis et le comte, très noble et puissant seigneur ; le vicomte, noble et puissant seigneur ; le baron, véritablement seigneur. Le duc est grâce ; les autres pairs sont seigneurie. Les lords sont inviolables.

À l’étranger 842 843 IXe siècle 877 909 911 962 Fondation de l’Empire germanique par Otton Ier Dynastie capétienne 987 1030 1066 Élection d’Hugues Capet comme roi de France Apparition de l’art roman Conquête de l’Angleterre par le duc normand Guillaume le Conquérant Première croisade 1099. Prise de Jérusalem par les croisés Développement de l’art gothique en Europe 1095-1099 1108-1137 © Groupe Eyrolles Règne de Louis VI le Gros avec comme ministre Suger. Apparition de l’art

Angleterre et en France Angleterre France Henri III, fils de Jean sans Philippe III, fils de Édouard Marguerite Édouard Isabelle Philippe Louis Charles Philippe Charles Édouard Princ e Richard Jean Jean Lancastre Édouard d'York Henri IV Marguerite (et Edmond TUDOR ) Henri Henri VI Charles Louis Anjou Charles Catherine Édouard Louis Orléans Charles Henri Jean sans Louis XI Charles le Téméraire Charles Marie

de fraisier plus basses; le marquis, perles et feuilles d'égale hauteur; le duc, fleurons sans perles; le duc royal, un cercle de croix et de fleurs de lys; le prince de Galles, une couronne pareille à celle du roi, mais non fermée. «Le duc est très haut et très puissant prince; le marquis et le comte, très noble et puissant seigneur; le vicomte, noble et puissant seigneur; le baron, véritablement seigneur. «Le duc est grâce; les autres pairs sont seigneurie. PREMIÈRE PARTIE. LA MER ET LA

de fraisier plus basses; le marquis, perles et feuilles d'égale hauteur; le duc, fleurons sans perles; le duc royal, un cercle de croix et de fleurs de lys; le prince de Galles, une couronne pareille à celle du roi, mais non fermée. «Le duc est très haut et très puissant prince; le marquis et le comte, très noble et puissant seigneur; le vicomte, noble et puissant seigneur; le baron, véritablement seigneur. «Le duc est grâce; les autres pairs sont seigneurie. PREMIÈRE PARTIE. LA MER ET LA

miséricordieux. Mais... mais... ce qui me peine, c’est de penser que quelqu’un va mourir, et... – Ah ! te voilà bien, oui, te voilà bien tel que tu es ! Je te reconnais à ton cœur, même quand ton esprit est souffrant, car tu es et tu restes généreux ; mais le duc s’est mis entre toi et moi : je veux choisir un autre grand maréchal qui ne trahisse point les hauts devoirs de sa charge. Rassure-toi, prince, ne fatigue pas ta pauvre tête, ne t’occupe point de cette affaire. – Sire, ce n’est pas moi qui demande sa

Note 2: (retour) J'invoque sur ce point les affirmations des Français eux-mêmes. Ceux que les orages politiques ou leur désir de s'instruire poussèrent dans le nouveau monde: La Rochefoucault (Voyage dans les États-Unis d'Amérique, 1795-97, par le duc de La Rochefoucault-Liancourt. Paris, iv, 285) et La Fayette, en particulier, se plaisent à reconnaître l'accueil amical, sinon enthousiaste, qu'ils ont reçu aux Etats-Unis. Voir: La Fayette en Amérique, par M. Regnault-Varin. Paris, 1832.— Souvenirs