Duesenberry

sociale du marché, et des effets de la mondialisation. La consommation est-elle un acte sociale ? Présentation du plan : I) La consommation, vu par les sociologues. a)Vu par un sociologue : J.Baudrillard. b) Vu par un économiste : Duesenberry. II) L’âge et le type de ménage influence la consommation. a)L’âge. b)Le type de ménage. III) Société de consommation ou société de consolation ? a) Société de consommation. b) Société de consolation I) La consommation

ménages, la loi d'Engel, puis les inégalités de consommations. Ensuite, nous préciserons que cependant, la consommation semble avoir un impact sur les ménages, avec d'une part l'apparition de la société de consommation, et d'autre part l'effet Duesenberry. I. Le revenu des ménages, facteur principal de la consommation. Nous allons donc voir dans ces trois sous-parties en quoi la consommation dépends-t-elle des ménages, ensuite, nous allons démontrer les faits, puis illustrer

Veblen). C’est la consommation ostentatoire. Duesenberry (économiste américain) évoque un effet (effet Duesenberry) qui suppose que la consommation dépend du groupe social auquel le consommateur s’identifie. Duesenberry démontre que chaque catégorie socio-professionnelle tente de s’identifier à la catégorie supérieure appelée « groupe de référence ». Il y a un effet de démonstration ou d’imitation, c’est la base de la théorie du revenu relatif. Duesenberry a aussi parlé de l’effet cliquet qui implique

ce que Milton Friedman appelle le revenu permanent. Autre problème est ce que l’on appellera l’influence du revenu passé sur la consommation et l’influence du revenu relatif. L’influence du revenu passé cela veut dire que les ménages un auteur Duesenberry a montré que le niveau de consommation atteint pendant une période donnée dépend non seulement du revenu courant mais aussi du niveau le plus élevé de revenu atteint pendant la période précédente. Donc on prend des habitudes de consommation qui

Kuznets, ne montrent pas de hausse de l'épargne lorsque le revenu de la population dans son ensemble progresse. Ainsi, malgré la hausse considérable du revenu au XXe siècle dans divers pays, la propension à consommer ne baisse pas. L'Américain James Duesenberry explique cette stabilité en posant que la propension à consommer est sensible au revenu relatif et non au revenu absolu (*) . Chacun adapte sa consommation à son statut social, qui n'est pas modifié par l'élévation générale du niveau de vie. Cet

revenu courant mais plutôt du revenu permanent. Ainsi la propension marginale à consommer peut être supérieure au revenu. Effet d’imitation L'effet de démonstration ou d'imitation est une théorie économique formulée par James Stemble Duesenberry en 1949. Duesenberry affirme que les agents d'un groupe social donné auront tendance à imiter la consommation d'un groupe au revenu supérieur, en voulant faire une démonstration de leur statut social, et donc auront une propension à consommer plus forte et

l'épargne 3.2 L'approche keynésienne des déterminants de l'épargne 3.3 Les implications de la Théorie du Revenu permanent 3.4 Autres déterminants de l'épargne 3.4.1 Théorie de l'épargne selon Modigliani 3.4.2 Epargne et effet de démonstration selon Duesenberry 3.4.3 L'épargne et le patrimoine 4 Les conséquences du comportement d'épargne sur l'économie globale Les formes de l'épargne L'épargne classique L'argent épargné est employé sous forme de : soit d'épargne liquide, qui reste disponible

compatibles avec l’efficacité macroéconomique. Duesenberry apporte son soutien à la "loi psychologique fondamentale" énoncée par Keynes par L'effet de démonstration ou d'imitation. Duesenberry affirme que les agents d'un groupe social donné auront tendance à imiter la consommation d'un groupe au revenu supérieur, en voulant faire une démonstration de leur statut social, et donc auront une propension à consommer relativement plus forte. Duesenberry explique que les ménages se repartissent en groupes

L’augmentation du revenu se traduit par une augmentation équivalente de la consommation, ce qui ne signifie pas que les ménages ont plus de besoins à satisfaire, mais plutôt qu’ils consomment des biens et services de qualité supérieure. Duesenberry : Duesenberry insiste sur l’importance des facteurs psychologiques dans la fonction de consommation. Il met en avant le coté symbolique de la consommation à travers l’effet d’imitation ou de démonstration qui consiste à copier le style de vie de la

entre revenu et consommation, et ce grâce à la mise en place du système de comptabilité nationale. Les vérifications empiriques aboutissent à des résultats contradictoires qui vont induire une reformulation de la fonction de consommation, et ce par duesenberry en 1949, c’est un néokeynesien. b. Vérifications empiriques et théorie du revenu relatif La principale vérification empirique de keynes a été faite par kuznets en 1946. Cela s’est appuyée sur 2 types de tests : * Test sur série temporelle :