Dulcinée

qu’il rencontre. Il croit que les auberges ordinaires sont des châteaux enchantés et les filles de paysans de belles princesses. Il prend les moulins à vent pour des géants envoyés par de méchants magiciens. Il considère qu’une paysanne de son pays, Dulcinée du Toboso, qu’il ne rencontrera jamais, est l’élue de son cœur à qui il jure amour et fidélité. * Don Quichotte reste fidèle à lui-meme. Si Sancho Panza passe du role de lourd paysan qu’il était, il se transforme en un être plus éduqué, puisqu’il

dignité ni courage) pour apparaître lui-même c° un chevalier exemplaire  DQ ne connaît pas le doute et est inflexible (cf Achille au ‘’cœur de fer’’) = certitude * Modèle de courtoisie : « il se recommanda de tout cœur à sa dame Dulcinée, la priant de le secourir » dulcinée< lat "dulcis" = doux, suave, agréable, bien aimé, chéri Ducilnée : la dame protectrice qui représente l’Amour + sentimt qui motive le héros ds son cbt et qui l’aide a remporter la victoire  rôle d’adjuvant = valeur divine

de ce qui sera son chef-d'œuvre : L'ingénieux hidalgo Don Quichotte de la Manche dont la deuxième partie ne paraît qu'en 1615. Sa parodie grandiose des romans de chevalerie et la création des personnages mythiques de Don Quichotte, Sancho Panza ou Dulcinée ont fait de Cervantes la plus grande figure de la littérature espagnole. Resumé du livre Don Quichotte: Ce roman retrace les voyages et les aventures de Don Quichotte et Sancho Panza. Don Quichotte est un Hidalgo (gentilhomme de la noblesse)

méchants magiciens. Il considère qu’une paysanne de son pays, Dulcinée du Toboso, qu’il ne rencontrera jamais, est l’élue de son cœur à qui il jure amour et fidélité. Sancho Panza, son écuyer, dont la principale préoccupation est, comme son nom l’indique, de se remplir la panse, estime que son maître souffre de visions, mais il se conforme à sa conception du monde, et entreprend, avec son maître, de briser l’envoûtement dont est victime Dulcinée. À la fin du deuxième volume, Don Quichotte, vaincu par

méchants magiciens. Il considère qu’une paysanne de son pays, Dulcinée du Toboso, qu’il ne rencontrera jamais, est l’élue de son cœur à qui il jure amour et fidélité. Sancho Panza, son écuyer, dont la principale préoccupation est, comme son nom l’indique, de se remplir la panse, estime que son maître souffre de visions, mais il se conforme à sa conception du monde, et entreprend, avec son maître, de briser l’envoûtement dont est victime Dulcinée. À la fin du deuxième volume, Don Quichotte, vaincu par le

ne perds pas de temps avec tes conseils : je ne renoncerai pas à une imitation si rare, si heureuse, si nouvelle. Fou je suis, et fou je serai jusqu'à ce que tu reviennes, avec la réponse à une lettre que tu vas aller porter de ma part à ma dame Dulcinée. » (ch. XXV, p. 269).    Il faut pour cela tenir compte de la part de volonté qui entre dans l'imagination de Don Quichotte. A plusieurs reprises, sa clairvoyance, voire sa pondération, nous étonnent et justifient la remarque du curé : « Mis à part

chevalier|Homme bien ordinaire | |temps, il devint fou. Il veut devenir un | |Paysanne qui habitait non loin | |chevalier mais le problème c’est qu’il sont|Dame, qu’il nomma « Dulcinée du Toboso » | | |en pleine Renaissance | | | |C’est le début de l’aventure, il nomme sa monture

surtout sa fidélité amoureuse. En effet, Amadis, tombé fou amoureux d'Orianne lui jure amour et fidélité, pour cela il lui envoi de nombreuses preuves d'amour. Don Quichotte fait de même. Une fois sa dulcinée trouvée, il envoi Sancho, puis d'autres personnages tels que les forcenés , chez sa dulcinée afin que ceux ci parlent de l'amour et des combats que Don Quichotte fait pour elle. La fin des deux œuvres comporte quant à elle, similitude et différence. En effet, même si Don Quichotte ne l'évoque

 dit « Don Quichotte», un gentilhomme  espagnol, qui souffrait apparemment d’une vision du monde, disons le, plutôt imaginaire et  bizarre. En effet, Don Quichotte se prenait pour un noble chevalier et parcourait, l’Espagne à  la recherche d’une hypothétique dulcinée, une fille pour laquelle, il était destiné, selon lui et  ses pensées, mais qui n‘existait pas. Il fut victime de visions imaginaires qui lui feront voir des  géants à la place des moulins, contre lesquels il se battait, des châteaux forts à la place des 

l’enfant et tente d’intercéder en sa faveur. Mais le remède sera pire que le mal, comme on l’apprendra au chapitre 31. Le chevalier croise ensuite un groupe de marchands de Tolède qu’il met au défi suivant le mode des livres de chevalerie : jurer que Dulcinée est le plus belle princesse qui soit au monde ou périr. Cette bravade a des conséquences funestes pour l’hidalgo, qui est rossé par un valet qui accompagne les marchands et laissé à demi-mort sur le bord de la route. Chapitre 5 : « Suite