Dumarsais L Amant

. . . en . . . .valeur ......... certaines . . . . . . . . . . . . rondeurs. . . . . . . . . . . . . Et . . . lui, . . . . que . . . . . .lui . . . était-il . . . . . . . . .?. Un . . . . .mari . . . . . . ?. .Un ... ami . . . . . .?. .Un . . . .amant . . . . . . . . .?. Et . . . qu’attendaient-ils . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .à. . cette . . . . . . .heure ......... dans . . . . . . . ce . . . bar . . . . . ?. .Étaient-ils . . . . . . . . . . . . .eux-aussi . . . . . . . . . . .

au-dessus des devoirs et des obligations ordinaires de la vie civile chrétienne. » (libertinage = libre pensée ; la définition traduit l’hostilité aux libres-penseurs) 2) Article « Philosophe » de l’Encyclopédie (article non signé, écrit par César Dumarsais, d’abord oratorien, puis avocat et ensuite précepteur et grammairien, né en 1676, mort en 1756) a) le philosophe : un homme guidé par la raison Son savoir est fondé sur la raison et l’observation : « L’esprit philosophique est donc un esprit d’observation

Bernard Lamy et Dumarsais. En 1675, donc au XVIIe siècle, Bernard Lamy écrit un traité appelé Rhétorique: “c’est un traité complet de la parole, utile ‘non seulement dans les écoles, mais aussi dans toute la vie, lorsqu’on achète, lorsqu’on vend’; il repose, évidemment, sur le principe d’extériorité du langage et de la pensé: on a un tableau dans l’esprit, on va le ‘rendre’ avec des mots.”29 Au XVIIIe siècle, vers 1730, on aura le traité le plus célèbre, celui de Dumarsais: le Traité des

pas secrètement à désobéir pour assumer pleinement sa parole et entretenir avec lui une relation d’égale à égal (cf. le grand discours d’Énide à sa cousine dans lequel elle lui reproche de ne pas avoir su établir une relation égalitaire avec son amant) ? Les deux grandes scènes adoptant le point de vue d’Énide sont celle où l’héroïne s’interroge sur les raisons pour lesquelles Érec lui a demandé de se préparer à partir et celle où, voyant fondre sur eux les chevaliers, elle hésite à enfreindre

» (l. 100-101), la métaphore du « flambeau » (l. 101) dispensateur de lumière et de « vérité » qui rappelle l’évocation du philosophe qui « marche dans la nuit » mais « est précédé d’un flambeau » dans l’article encyclopédique « Philosophe » de Dumarsais. Ainsi, dans ce siècle favorable au progrès de l’esprit humain, à la raison collective, aux revendications d’égalité et de justice sociale, la domination permanente de l’homme sur la femme ne peut trouver aucune justification.

Se peut-il qu’Amour, si doux d’aspect se révèle à l’épreuve un tyran si rude ! » (p 34) La tyrannie amoureuse dont parle le cousin de Benvolio est reprise dans l’allégorie mythologique de Cupidon (p 37), qui perce de ses flèches le cœur des amants. La dureté de ces coups est encore exprimée par Roméo dans sa discussion avec Mercutio à l’Acte I scène IV : « L’amour une chose tendre ? C’est bien trop dur, c’est un dard bien trop pénétrant, brutal, fougueux. » (p 52) La métaphore de la blessure

et je criai dans la foudre et le vent : Guerre à la rhétorique et paix à la syntaxe ! Et tout quatre-vingt-treize éclata. Sur leur axe, On vit trembler l’athos, l’ithos et le pathos. Les matassins, lâchant Pourceaugnac et Cathos, Poursuivant Dumarsais dans leur hideux bastringue, Des ondes du Permesse emplirent leur seringue. La syllabe, enjambant la loi qui la tria, Le substantif manant, le verbe paria, Accoururent. On but l’horreur jusqu’à la lie. On les vit déterrer le songe d’Athalie ;

Silence ! et je criai dans la foudre et le vent : Guerre à la rhétorique et paix à la syntaxe ! Et tout quatre-vingt-treize éclata. Sur leur axe, On vit trembler l’athos, l’ithos et le pathos. Les matassins, lâchant Pourceaugnac et Cathos, Poursuivant Dumarsais dans leur hideux bastringue, Des ondes du Permesse emplirent leur seringue. La syllabe, enjambant la loi qui la tria, Le substantif manant, le verbe paria, Accoururent. On but l’horreur jusqu’à la lie. On les vit déterrer le songe d’Athalie ; Ils

d’Alembert. Ils réunissent de nombreux collaborateurs, et développent le projet initial en le modifiant. Parmi les collaborateurs, outre les directeurs, comme Diderot, eux-mêmes auteurs de très nombreux articles, on trouve Voltaire, Turgot, Rousseau, Dumarsais, Condillac et bien d’autres. L’entreprise, qui devait compter huit volumes de textes, deux de planches, et cinquante-cinq collaborateurs, rassemble finalement dix-sept tomes de textes, onze de planches, cent-soixante auteurs, et soixante mille articles

d’Alembert. Ils réunissent de nombreux collaborateurs, et développent le projet initial en le modifiant. Parmi les collaborateurs, outre les directeurs, comme Diderot, eux-mêmes auteurs de très nombreux articles, on trouve Voltaire, Turgot, Rousseau, Dumarsais, Condillac et bien d’autres. L’entreprise, qui devait compter huit volumes de textes, deux de planches, et cinquante-cinq collaborateurs, rassemble finalement dix-sept tomes de textes, onze de planches, cent-soixante auteurs, et soixante mille articles