Dumas Quelle Haine Elle Distille

lecteur se fait de ce personnage vers une image péjorative. Le texte B est un extrait des Trois Mousquetaires de Alexandre Dumas (1844). Ici, le personnage de Milady est rendu antipathique tout d'abord par le jugement explicite du narrateur omniscient : « Que de haine elle distille ! » qui permet au lecteur de se former une image péjorative de cette femme. La description que Dumas en fait la rend froide et cruelle, on ne s'attache ni ne s'identifie à se personnage : « des éclairs », « colère orageuse »

antipathique par des procédés d’écriture : Le jugement explicite du narrateur omniscient (vocabulaire moral, du jugement, notamment chez Hugo) – le point de vue adopté, en l’occurrence la focalisation interne, renforcé par le style indirect libre chez Dumas et Stendhal où le personnage s’expose au jugement des lecteurs – les circonstances mêmes du récit (projets d’évasion de Milady, prolepses chez Hugo) A « jeune ambitieux » n’hésite pas à se servir des autres pour servir ses intérêts. Procédé principal

Au XIXe siècle, l’un des genres littéraires des plus répandus était le roman, dont le roman historique. Un des plus célèbres est le roman d’Alexandre DUMAS (père), Les Trois Mousquetaires. Les personnages les plus marquants sont les éponymes, les Mousquetaires, mais aussi le Cardinal de Richelieu et Milady de Winter. Cette dernière incarne le profil type des femmes fatales. Comment l’auteur fait-il le portrait d’une femme redoutable ? Pour cela, nous allons étudier dans un premier temps le personnage

Objet d’étude : Le personnage de roman du XVIIè siècle à nos jours Textes :  Texte A : STENDHAL, Le Rouge et le Noir, livre premier, chapitre XIII, 1830. Texte B : Alexandre DUMAS, Les Trois Mousquetaires, chapitre 52, 1844. Texte C : Victor HUGO, Les Misérables, 2ème partie, livre troisième, 1862.   Texte A : STENDHAL, Le Rouge et le Noir, livre premier, chapitre XIII, 1830.   [Julien, homme du peuple, est précepteur chez M. et Mme de Rênal . Un soir il a l'audace de prendre la main de Mme de

BAC BLANC ÉCRIT Objet d'étude : le roman et ses personnages. Texte A : Stendhal, Le Rouge et le Noir, livre premier, chapitre XIII, 1830. Texte B : Alexandre Dumas, Les Trois Mousquetaires, chapitre 52, 1844. Texte C : Victor Hugo, Les Misérables, 2ème partie, livre troisième, 1862. Texte A : [Julien, homme du peuple, est précepteur [1] chez M. et Mme de Rênal . Un soir il a l'audace de prendre la main de Mme de Rênal , qui finalement se laisse faire. Quelques jours plus tard, lors

Objet d'étude : le roman et ses personnages.
 Texte A : STENDHAL, Le Rouge et le Noir, livre premier, chapitre XIII, 1830.
 Texte B : Alexandre DUMAS, Les Trois Mousquetaires, chapitre 52, 1844.
 Texte C : Victor HUGO, Les Misérables, 2ème partie, livre troisième, 1862. I- Après avoir pris connaissance de l'ensemble des textes, vous répondrez d'abord à la question suivante (4 points) : Par quels moyens le personnage central de chacun de ces textes est-il rendu antipathique ? Vous justifierez

Une vie de Maupassant ou « l’écriture du vide » dumas-00498644, version 1 - 8 Jul 2010 Mémoire de Lettres modernes Sous la direction de Mme Aline MURA-BRUNEL par Mlle Aurore LOISON. Université de Pau et des Pays de l’Adour, 2006-2008. UNIVERSITE DE PAU ET DES PAYS DE L’ADOUR UFR DES LETTRES, LANGUES ET SCIENCES HUMAINES dumas-00498644, version 1 - 8 Jul 2010 Master 2 : « Discours et représentations » Parcours : « Poétique et histoire littéraire » LOISON Aurore Une vie de Guy

nombreuses antithèses ou associations ambivalentes dans le texte. Sorcière/nymphe ; morsure/baiser ; déchires, rire moqueur/œil doux(+structure strophe 8 alternances des états) ; frivole/sérieuse Cette femme possède des états d’esprit différents, distille le chaud et le froid pour mieux dominer, difficile à cerner, capable de tout. Le poète est comme un jouet entre ses mains. III. Cette femme étrange semble pourtant fasciner totalement le poète et incarner paradoxalement l’idéal qui le comble et le

parallélisme (« Point de soldats au port, point aux murs de la ville. ») ; – rythme des vers qui épouse les différents moments du récit. rAcine (1639-1699) Dans les pièces de Racine, la passion pousse les héros à tous les excès : jalousie, avidité, haine, cruauté. Elle les conduit à une déchéance lucide et sans rémission. Dès le lever du rideau, ils sont « en sursis », face à des conflits insolubles qui les mènent à la mort ou à la folie. 1667 : Andromaque./ 1669 : Britannicus./ 1670 : Bérénice./ 1672

et depuis noyé en Seine. » La noyade ! Une pratique inédite pour ce roi qui exécutait jusqu’alors les condamnés de façon classique : décapitation, bûcher ou pendaison. Mais le crime était exceptionnel. La scène historique d’Alexandre Dumas En 1831, Alexandre Dumas publie une « scène historique de 1417 », intitulée Laissez passer la justice du roi, expression devenue proverbiale depuis le XVIIIe siècle. « L’homme au chaperon rouge [le roi] monta sur le parapet du pont, et de là jeta au vent, d’une