Duroy Monte Les Marches

vive. Le soudard victorieux montre d’abord une galanterie affectée devant une fille « qu’on paye ». Mais, au cours du repas qui tourne à l’orgie, il la traite cruellement, l’insultant et la mordant. D’imperceptibles détails montrent la fureur qui monte en elle. Or il prononce des mots injurieux pour les Français vaincus. Poussée à bout, elle se dresse et lui crie en pleine figure qu’il ment. Il lui verse sur la tête une coupe de champagne, en lui disant : « À nous, les femmes de France ! » Elle réplique

en fonction des dates de publication. • • • • • Honoré de Balzac L’Assommoir Stendhal L’Éducation sentimentale Lucien de Rubempré Auteur Roman • • • • • Le Rouge et le Noir Frédéric Moreau Guy de Maupassant Georges Duroy Émile Zola Personnage Date de publication Julien Sorel 1830 Illusions perdues 1843 Flaubert 1869 Gervaise Macqaurt Bel-Ami 1876 1885 Activité n°4 – Quizz bilan du chapitre Après l’étude de ce premier chapitre

la part de tel ou tel meneur. Celui-ci doit apprendre à surmonter sa timidité, celui-là se méfier de son impulsivité. Des décisions parfois douloureuses sont à prendre, avec pragmatisme savoir négocier des virages dans un 19 monde qui évolue en marches forcées ; avoir une grande capacité de travail et ne pas en abuser. Savoir assumer les contre temps, les erreurs. Il y a des victoires à la Pyrrhus et des échecs profitables. Le dépassement des difficultés, la solution des problèmes, bâtir est exaltant

de ces héroïnes qui sont mises en avant : le mouvement des mains de Carmen, qui « écartait sa mantille afin de montrer ses épaules » (l. 7), ou celui encore plus suggestif de ses hanches « se balançant comme une pouliche » (l. 9). La prostituée marche « exagérément cambrée » (l. 6) devant Tressignies, qui remarque sa « fierté impudente de fille enivrée d’elle-même » (l. 14), elle campe ses yeux dans les siens « avec toute l’effronterie de son métier » (l. 22). Nana, enhardie par la réaction du

aguicheuse de ces héroïnes qui sont mises en avant : le mouvement des mains de Carmen, qui « écartait sa mantille afin de montrer ses épaules » (l. 7), ou celui encore plus suggestif de ses hanches « se balançant comme une pouliche » (l. 9). La prostituée marche « exagérément cambrée » (l. 6) devant Tressignies, qui remarque sa « fierté impudente de fille enivrée d’elle-même » (l. 14), elle campe ses yeux dans les siens « avec toute l’effronterie de son métier » (l. 22). Nana, enhardie par la réaction du

aguicheuse de ces héroïnes qui sont mises en avant : le mouvement des mains de Carmen, qui « écartait sa mantille afin de montrer ses épaules » (l. 7), ou celui encore plus suggestif de ses hanches « se balançant comme une pouliche » (l. 9). La prostituée marche « exagérément cambrée » (l. 6) devant Tressignies, qui remarque sa « fierté impudente de fille enivrée d’elle-même » (l. 14), elle campe ses yeux dans les siens « avec toute l’effronterie de son métier » (l. 22). Nana, enhardie par la réaction du public

thtre. Le Roi installe alors Molire et toute sa troupe au Palais-Royal, futur sige de la Comdie franaise. partir de cette date, Molire enchane les succs comme auteur de pices comiques, succs qui saccompagne parfois de scandale, comme la cabale qui est monte par le parti bigot contre sa pice Tartuffe. Toutefois, en dpit de toutes les pressions, Molire parvient conserver la faveur du roi jusquau bout.Homme de thtre jusqu la fin, cest le 17 fvrier 1673 que Molire steint chez lui, quelques heures aprs avoir

exploration de la société et des lieux énigmatiques (il est à peine possible d’accéder au château) s’allie à une expérience intérieure de l’absurde et de l’effondrement de l’identité. b) Un roman d’aventures aussi populaire que celui du Comte de Monte Cristo combine l’errance du héros, sa traversée de la société parisienne et un parcours spirituel sur la signification même de la Justice. On peut en dire autant de Jean Valjean qui, pour sauver Marius recherché par la police, s’enfonce dans les

exploration de la société et des lieux énigmatiques (il est à peine possible d’accéder au château) s’allie à une expérience intérieure de l’absurde et de l’effondrement de l’identité. b) Un roman d’aventures aussi populaire que celui du Comte de Monte Cristo combine l’errance du héros, sa traversée de la société parisienne et un parcours spirituel sur la signification même de la Justice. On peut en dire autant de Jean Valjean qui, pour sauver Marius recherché par la police, s’enfonce dans les

manipulation de la part de Lucky (l. 8-9) ; – Lucky est le porteur de Pozzo (l. 9-11) ; – insultes de Pozzo / Lucky n’a pas toujours été porteur (l. 14-18) ; – fatalité de la situation : À chacun son dû (l. 19-21) ; – destin de Lucky : être vendu au marché de SaintSauveur, voire être exterminé par son maître (l. 25-29). b. Comique de répétition. Pour autant, la situation de Lucky et les propos de Pozzo ne prêtent pas forcément à 29 rire, évoquant par moments les camps nazis : il faudrait les tuer