Duumvir

succombé, Horace avait tué ses adversaires et assuré les destinées de Rome. Mais il avait égorgé sa sœur, qui pleurait l'un des Curiaces auquel elle s'était fiancée. Pour prix de sa victoire, il eût été condamné à mort et exécuté sur l'ordre des « duumvirs », si le vieil Horace, dont on n'avait pas oublié le zéle au service du roi Tullus Hostilius, ne s'était interposé avec chaleur, réclamant qu'on lui laissât ce dernier enfant, qui d'ailleurs avait droit à la reconnaissance de tous. Sur ce même sujet

succombé, Horace avait tué ses adversaires et assuré les destinées de Rome. Mais il avait égorgé sa sœur, qui pleurait l'un des Curiaces auquel elle s'était fiancée. Pour prix de sa victoire, il eût été condamné à mort et exécuté sur l'ordre des « duumvirs », si le vieil Horace, dont on n'avait pas oublié le zéle au service du roi Tullus Hostilius, ne s'était interposé avec chaleur, réclamant qu'on lui laissât ce dernier enfant, qui d'ailleurs avait droit à la reconnaissance de tous. Sur ce même sujet

parmi les notables de la province de Grce mais qui ignorait la langue latine. 1. Claude empereur romain qui rgna entre 41 et 54 de notre re. 2. Etranger libre. Traduction A Marcus Valerius Severus,. fils de Bostar, de la tribu Galeria, dile, sufte, duumvir, premier flamine1 de son municipe, prfet des auxiliaires2 dans la guerre victorieuse contre Aedemon. Lordre du municipe3 de Volubilis lui a vot (cette statue) cause de ses mrites envers la commune et de lambassade heureusement accomplie, par laquelle

sibyllins contenant les destinées de Rome et dont l'acquisition fut faite par Tarquin l'Ancien. Ces livres, confiés à la garde de deux prêtres particuliers appelés duumvirs, étaient consultés dans les grandes calamités ; mais il fallait un décret du sénat pour y avoir recours ; et il était défendu, sous peine de mort, aux duumvirs de les laisser voir à personne. La Divination table De tout temps, et chez tous les peuples, l'homme, inquiet sur l'avenir, s'est ingénié à trouver les moyens

Livres sibyllins contenant les destinées de Rome et dont l'acquisition fut faite par Tarquin l'Ancien. Ces livres, confiés à la garde de deux prêtres particuliers appelés duumvirs, étaient consultés dans les grandes calamités ; mais il fallait un décret du sénat pour y avoir recours ; et il était défendu, sous peine de mort, aux duumvirs de les laisser voir à personne. La Divination table De tout temps, et chez tous les peuples, l'homme, inquiet sur l'avenir, s'est ingénié à trouver les moyens de le

sans toutefois effacer les caractères propres des composantes régionales. Le centre de la civili. = la ville, la civitas qui domine et exploite les campagnes environnantes. Les villes sont administrées par ds magistrats (questeurs, édiles et duumvirs) mais en dehors des colonies romaines, où les habitants bénéficient du droit romain, les autres cités ont un statut juridique restreint ; elles peuvent cepdt obtenir une promotion avec la concession d’un droit inférieur, le droit latin, qui est une

as, — fit que le Sénat se tourna vers les prêtres, les pontifes, les augures et les divinateurs, pour contrebalancer l’autorité croissante des tribuns. Les tribuns ruinèrent ce projet en faisant voter que dix hommes (décemvirs), au lieu de deux (duumvirs), garderaient désormais les livres sibyllins, et que cinq de ces hommes seraient choisis dans la plèbe. Le Sénat, par le jeu des impossibilités légales, des exigences du Droit, des lenteurs d’une jurisprudence en formation, finit par lasser le peuple

décision de l’empereur Titus L’inscription permet de détailler la carrière municipale de Quintus Valerius Macedo qui occupa diverses charges de magistrat. Il a été en particulier chargé des finances municipales (questeur), du trésor de la ville (duumvir de l’aerarium) et fait donc partie du Sénat local. Il a exercé des fonctions religieuses. Flamine de la jeunesse, il fut un prêtre chargé du culte impérial pour la jeunesse. Augure, il fut prêtre charger de « prendre les auspices », c’est-à-dire

L’histoire nous représente ce prince comme adonné entièrement à ses plaisirs et à ses études, abandonnant à ses affranchis la direction des affaires. Juba avait reçu d’Auguste ou de Tibère le titre de citoyen romain; il était en outre citoyen d’Athènes, duumvir de Gadès et quinquennal de Karthagène(3). RÉVOLTE DE TACFARINAS. — Depuis quelques années, un Berbère du nom de Tacfarinas avait relevé l’étendard de la révolte dans la Gétulie. Déserteur de la légion romaine, il avait d’abord réuni une bande d’aventuriers

comme le prince, des diocèses ( vicaires ) et des cités. La hiérarchie s’étant enrichie, il finit par y avoir, à la fin du bas empire, trois niveaux de juridiction. Le premier échelon est formé par les magistrats municipaux, les duumvirs des civitates, des cités ( Lutèce ), ou par les gouverneurs des provinces ( la Lyonnaise seconde ou troisième, qui a son siège à Sens ). Le deuxième échelon est constitué par les vicaires ou remplaçants des préfets du prétoire ( Trèves ). Enfin,