Dynastie Qing

La Cité Interdite（Zi Jin Cheng）—ainsi nommée parce que,pendant cinq siécles, raresfurent ceux qui purent y pénétrer–est le plus gigantesque et le mieux préservé des ensembles architecturaux chinois. Elle servit de résidenceà deux dynasties impérials, les Ming et les Qing, qui n′en sortaient qu′en cas de nécessité absolue. Les qutorités insistent pour l′appeler le Palais Musée（GuGong）. Quel que soit son nom, le compiexe ouvre tous les jours de 8h30à 17h, les guichets fermentà 15h30. il y a deux siécles

rang de statut monumentale. Dimensions : H. 4 L. 9 P. 6 cm / 300 g, Matière : Schiste émaillé vert, Anonyme, Vers 1380 avant J.-C. Nouvel Empire, fin de la 18ème dynastie, vers 1550-1295 Dimensions : H. 4 L. 9 P. 6 cm / 300 g, Matière : Schiste émaillé vert, Anonyme, Vers 1380 avant J.-C. Nouvel Empire, fin de la 18ème dynastie, vers 1550-1295 Les insectes dans l’art d’Extrême-Orient L’insecte, depuis plus de 2000 ans, est présent sous différentes formes dans l’Art extrême-oriental. Au

(environnement Chine époque Qing) Dynasties : Tang (618 – 907) Pays puissant, culture raffinée (poésie) Song (960 – 1279) dyn. Puissance militaire, novatrice (gouvernail), littérature Yuan (1279 – 1368) Mongoles, gouverné la Chie en tant que conquérant, théâtre Ming (1368 – 1644) dyn. Chinoise, Chine grande et dpment économique, prospérité, romans Qing (1646 – 1911) Mandchoue (Province Nord Est), sinisé. Histoire de la chine (Fin XVIIIe, début XIXe) Empire Qing => Hausse géographique :

gestion des taxes et des impôts, prémices de l'écriture, gestion de l'Histoire, de la religion et des mythes) commence à apparaitre.  Les cinq royaumes: De 2070 à 247 av. J.-C., La Chine est divisée en cinq royaumes, époque marquée par les dynasties Xia, Shang et Zhou. L'on peut comparer cette ère à notre période médiévale, avec ses guerres féodales. Néanmoins contrairement à nous, le jeu politique est beaucoup plus subtil et compliqué, en effet l'on peut comparer leur système à des monarchies

| Histoire de la Chine | De 1840 à 1975 | ------------------------------------------------- Sommaire Introduction I. La fin de la grande dynastie page 3 II. La République de la Chine page 4 III. La Chine Populaire sous Mao Zedong page 5 Bibliographie La Chine, une des plus anciennes civilisations au monde, a subi de véritable mutation, en développant tour à tour l’agriculture, les manufactures, l’industrie à faible valeur ajoutée, puis à forte valeur ajoutée

ASIE : L'évolution de l'idéal féminin en Chine : En Chine, les critères de beauté féminins ont changé au cours des dynasties, élégance et éclat étant tour à tour synonyme de silhouettes girondes, puis androgynes ; de cheveux longs, puis courts. Aujourd’hui, les jeunes Chinoises se rêvent grandes et minces avec des yeux immenses et expressifs. Pour autant, si ces standards esthétiques modernes témoignent d’une certaine fascination de l'Occident, les Chinoises sont très attachées aux canons de

l'habitude d'aller s'appuyer sur des puissances extérieures pour s'imposer. Les Mongols, à partir du XIIe siècle, considèrent le pays des Neiges comme le leur, et y règnent par procuration. Ils seront remplacés par les Mandchous qui prendront Pékin (la dynastie Qing), alors que les dalaï-lamas deviendront les chefs du pays à partir du XVIIe siècle seulement. L'empereur Qianlong, en 1791, respecte l'autorité morale du dalaï-lama, il se contente de protéger le Tibet. L'affaiblissement de la Chine rend ensuite

l’indépendance. Fiche de travail n°3 A u début du XX°s, un courant politique nouveau, révolutionnaire et inspiré en partie par le modèle occidental tente de redonner au pays sa souveraineté. Critiquant la faiblesse des derniers souverains de la dynastie Qing (impératrice Cixi), Sun Yat-Sen chef du parti nationaliste du Guomindang fonde la République en 1912 après une révolution et l’abdication du dernier empereur : Puyi. Dans les années « 20 », une deuxième force apparaît à la suite de la Révolution

Larousse lui consacre l’article suivant : KANGXI : Pékin 1654 - id. 1722, empereur de Chine (1662-1722) de la dynastie Qing. Homme de lettres tolérant, il accepta des jésuites à sa cour. Cette unique phrase, censée résumer l’essentiel, ne dit rien de l’œuvre de conquête, de conciliation et de reconstruction des institutions qui fut celle de Kangxi ; c’est pourtant ce qui permit à la dynastie mandchoue d’asseoir de manière durable son pouvoir. Notons au passage que cette entrée n’apprend rien au

La superficie du Tibet varie de 1 221 600 km2 pour la Région autonome du Tibet (qui correspond à peu près au Tibet indépendant de facto entre 1912 et 1950, mais est plus réduite que celle du territoire administré par les dalaï-lamas sous la dynastie Qing)[3] à 2 500 000 km2 pour le « Tibet historique »[4] ou « Grand Tibet »[5]. La population de la Région autonome comptait 2 616 000 habitants en 2000[6]. La capitale historique qui, traditionnellement, concentre l'autorité religieuse et temporelle