Dziga Vertov

moderne. Pour « protéger » le regard des mineurs, l'entrée à l'exposition leur était interdite. L'art soviétique Dans un premier temps, la Révolution entraîne de nombreux artistes dits d'avant-garde, comme Kasimir Malevitch, Sergei Eisenstein ou Dziga Vertov. Le mouvement d'avant-garde russe est indissociable de l'entreprise révolutionnaire. Maïakovski notamment initie le mouvement en subordonnant la création artistique aux exigences politiques, prônant la création d'un « art prolétarien », en réaction

transplantation de l’Amérique, quoique qu’au début, dans tous les domaines, l’étude des procédés passe par l’imitation. » Le débat Eisenstein/Dziga Vertov : « A travers le montage, opéré sans calculer les effets de fragments de vie authentique (de tonalités authentiques diraient les impressionnistes), Vertov a tissé a trame d’un tableau impressionniste (…) Vertov prend du monde qui l’entoure ce qui l’impressionne, lui et non ce par quoi, en impressionnant le spectateur, il labourera à fond son psychisme

literine. Il en est mécontent car trop commerciale. Il est viré pour avoir parler d’un réalisateur. Il va ainsi faire son film sur Nice. Il fait des recherches pour en faire un documentaire, et se confronte au grand écart social. Miguel Kaufmann (Dziga Vertov) et Boris Kofman (son frère) va apprendre le français à Paris. Il est communiste. Jean Vigo et Boris s’échange des lettres. Il descend sur Nice et s’entende de suite super bien. Vigo l’emmène dans Nice. Kaufmann est frapper par la différence sociale

de la prise du pouvoir par les bolcheviques. Tout l'art de Sergueï Eisenstein s'exprime à travers ses montages uniques et l'utilisation de ce que les critiques nommeront « le cinéma-poing », forme d'expression s'opposant au « cinéma-œil » de Dziga Vertov. L'enchaînement des images crée un sens intrinsèque, notamment par l'utilisation de dominantes. Montage, rythmique, utilisation des couleurs (dans le dernier volet de son dernier film Ivan le terrible) mais surtout choix strict de la luminosité

enrichissante. Liste d’œuvres - Arts plastiques et cinéma L’art et les utopies Kasimir MALEVITCH : [Carré noir sur fond blanc (Quadrangle), huile sur toile, 106,2 × 106,5 cm, Musée Russe, Saint-Pétersbourg (Mouvement : Suprématisme et Constructivisme) Dziga VERTOV : L’homme à la caméra, 1929, film noir et blanc, muet, sonorisé. (Mouvement : Futuriste) Fritz LANG: METROPOLIS, 1927, film noir et blanc. (Mouvement : Expressionisme Allemand) Piet MONDRIAN : Broadway Boogie woogie 1942-1943, huile sur toile

de la guerre civile par Dziga Vertov, Les slogans d’Octobre par Victor Alexandrovitch Tourine 1922 (U.S.A.) . Œuvres : Nanook of the North, par Robert Flaherty 1922 (Allemagne). Action collective des artistes : les cinéastes proches d parti u social - démocrate) fondent la Volksfilm Buhne 1922 (U.R.S.S.). Action collective des artistes : «L’avant-garde Soviétique » se constitue et diffuse les premières oeuvres du Kino Pravda (Cinéma Vérité), sous la direction de DZIGA Vertov 1923 (France) . Œuvres

de la prise du pouvoir par les bolcheviques. Tout l'art de Sergueï Eisenstein s'exprime à travers ses montages uniques et l'utilisation de ce que les critiques nommeront « le cinéma-poing », forme d'expression s'opposant au « cinéma-œil » de Dziga Vertov. L'enchaînement des images crée un sens intrinsèque, notamment par l'utilisation de dominantes. Montage, rythmique, utilisation des couleurs (dans le dernier volet de son dernier film Ivan le terrible) mais surtout choix strict de la luminosité

d’œuvres - Arts plastiques et cinéma L’art et les utopies Kasimir MALEVITCH : [Carré noir sur fond blanc (Quadrangle), huile sur toile, 106,2 × 106,5 cm, Musée Russe, Saint-Pétersbourg (Mouvement : Suprématisme et Constructivisme) Dziga VERTOV : L’homme à la caméra, 1929, film noir et blanc, muet, sonorisé. (Mouvement : Futuriste) Fritz LANG: METROPOLIS, 1927, film noir et blanc. (Mouvement : Expressionisme Allemand) Piet MONDRIAN : Broadway Boogie woogie 1942-1943, huile sur toile

croire à l’effet de réalité durant la projection. C’est exactement le but du cinéma, et ce que nous verrons dans la deuxième partie. II ) La transformation du réel Dans cette deuxième partie, nous allons nous baser sur le point de vue de Dziga Vertov, cinéaste soviétique, qui considère la caméra comme un perfectionnement de l'œil humain, un œil qui serait donc surhumain, qui nous permet de voir ce que nous ne pourrions pas apercevoir et voir par nous-mêmes. Mais le maniement d’une caméra nécessite

en opposition au romantisme ambiant, de l'époque. C'est pour lui une méthode d'analyse des caractères humains, méthode d'analyse soumise à l'hérédité, et aux caractères sociaux. Noguez voit chez Zola un précurseur de la théorie du ciné- oeil de Dziga Vertov. Noguez propose deux critères pour attribuer la notion expérimentale: ⁃ sociaux économiques ⁃ type esthétique = catégories Le 1er critère, les critères sociaux économique est une notion d'exclusion social. Le cinéma expérimental s diffuse dans