Dziga Vertov

du 1er mai et le premier anniversaire de la Révolution de 1917. Responsable de la section cinématographique du premier "agit-train" créé par Lénine (un train qui sillonnait toute la Russie et qui répandait la propagande de l'État), il rencontre Dziga Vertov avec lequel il réalisera des documentaires. La même année, il est aussi l'opérateur du premier film de fiction produit par l'État soviétique, Le Signal, réalisé par Alexandre Arkatov. À partir de 1924.Edouard Tissé devient l'opérateur et le directeur

train de se faire » + laboratoire de développement et mini salle de projection. FEKS : 1921 fondé pâr Kozintsev et trauberg (idée de simplification du jeu) Praletkault : association d’artiste : art populaire par la signification des classiques Dziga Vertov : Kinso glaz (ciné œil) pour atteindre le cinéma verité le kino pravda, Jean Vigot reprend ces these pr faire « A propos de Nice » rencontre Russie/france Boris Kauffmman chef opérateur sur les films de jean Vigot. Vertof (toupis virevoltante)

servira de résolution finale. * Montage par leïtmotiv : structure le film autour d’un plan ou d’une scène qui revient comme un refrain. * Griffith (Birth of a Nation) : continuité spatio-temporelle (la porte) et montage parallèle. * Dziga Vertov : démultiplication des points de vues. * Eisenstein (Cuirassé Potemkine) : le montage expressif : crée des émotions. Montage discursif * Essentiellement basé sur des liaisons intellectuelles qui tendent à démontrer les relations de

d'acteurs…), Naissance d'une nation 1914, Intolérance 1916, III : LE CINEMA DE LA RUSSIE DES ANNEES 20 Le cinéma soviétique des années 20 : un cinéma idéologique - Lénine : " le plus important de tous les arts ", le cinéma moyen de propagande, - Dziga Vertov la non fiction et la reconstruction d'une "réalité" a travers le montage, - L'homme à la caméra 1929 - Un maître : Eisenstein, Maîtrise du langage cinématographique (contenus des plans, mouvement dans le plan, taille des plans, rythme, angles

début du 20e siècle et une analyse sociologique de ses habitants. Dos Passos y utilise et expérimente des techniques narratives innovantes, qu’on croirait influencées par le courant surréaliste dans la peinture ou par certains cinéastes comme Dziga Vertov. Ces  « techniques » consistent à intercaler entre les  tranches  de vie aléatoires des personnages des passages intitulés « The Camera-Eye » (l’Œil-caméra), qui semblent être des souvenirs de l’auteur, des passages intitulés  « Newsreel »(Actualités)

trois autres noms méritent d'être cité. Primo, le montage exceptionnel de Thelma Schoonmaker, la femme de Scorsese. Sur le ring, le montage est rapide et rythmé, comme au temps du Constructivisme soviétique avec Sergei Mikhailovich Eisenstein ou Dziga Vertov. Durant les combats, la célérité dans l'enchaînement des plans et le décadrage rappellent l'escalier d'Odessa dans Bronenosets Potyomkin (1925). Or, quand la caméra est hors du ring, les plans-séquences se succèdent pour donner le temps aux personnages

écrivain et critique de cinéma. Spécialiste de l'essai filmé, Il est l'auteur de Chris Marker (Cahiers du cinéma, 2003) et Godard neuf zéro, les films des années 90 de Jean-Luc Godard (Séguier, 2006), ainsi que d'un dossier sur L'Homme à la caméra de Dziga Vertov pour le site du CNDP. Il termine une thèse de doctorat sur l’Essai filmé à l’université de Paris III-Sorbonne Nouvelle. 1 Le titre avant lecture permet de situer sans forcément connaître le cinéaste chinois Wong Kar-Wai puisque le terme de modernité

le vendredi 29 janvier dans l'après-midi. Une ciné-expérience Depuis leur création, les Rencontres aiment proposer des séances inédites ou expérimentales. Ce sera encore le cas cette année avec la projection du film L’homme à la caméra de Dziga Vertov accompagner d’un arrangement musical et de bruitages réalisés par le compositeur Volodymyr Shpinov et présenté en première mondiale Ce film de 1929 est célèbre surtout par son approche très éclatée, la musicalité de son montage (pour un film

opposition au cinéma tel qu’il était sous la dictature de Mussolini, un soulèvement révolutionnaire pour la découverte de soi. On peut rapprocher cette vision à une conception communiste du “ciné-oeil”, que l’on retrouvait chez des réalisateurs comme Dziga Vertov, et qui visait à capter la réalité et en sortir une vérité. Raymond Borde, dans l’ouvrage qu’il signe avec André Bouissy en 1960, reprend les thèses de Lizzani et les approfondit. Pour lui le néoréalisme italien est “une expérience de

de la taylorisation poussés à son extrême ; puissance critique du rire et de la farce. 2-Thèmes abordés à partir du bonus :« la représentation du travail au cinéma » d’Isabelle Bony Productivité et cadence : extrait de L’Homme à la caméra de Dziga Vertov ; rapport entre travail et vie privée : extrait de Ressources humaines de Laurent Cantet. Séance 4 : Compte-rendu de l’écriture personnelle sur le bonheur au travail Rappel méthodologique sur la rédaction du paragraphe argumentatif