Déchéance De Gervaise

Chapitre 1 Auguste Lantier amant de Gervaise habitent à Paris avec leur 2 enfants, Claude et Etienne. Un soir, Lantier ne rentre pas, les heures passe jusqu’au lendemain. Gervaise, effondrée l’attend il ne rentrera qu’à 8 heures le lendemain. Gervaise est une grande femme de 22 ans mince. A 10 ans, elle était déjà blanchisseuse. Pendant cette nuit infernale, Gervaise regardant l’extérieur, voit Mme Boche, une amie. Gervaise lui raconte alors ses mésaventures. Mme Boche lui propose d’aller laver

détaillé, il se peut que votre réflexion vous mène à d'autres pistes, mon exemple n'est pas un modèle parfait !!!! Plan détaillée de l'extrait du chapitre XII (12) de: « Plantée devant l'assommoir, Gervaise songeait », à « elle agissait dans un vilain rêve » Texte étudié : Plantée devant l’Assommoir, Gervaise songeait. Si elle avait eu deux sous, elle serait entrée boire la goutte. Peut-être qu’une goutte lui aurait coupé la faim. Ah ! Elle en avait bu des gouttes ! Ça lui semblait bien bon tout de

l’époque du second empire. I- Les deux protagonistes s’arrêtent devant la maison, Copeau présente fièrement la chose à son amie, Gervaise, qui examine la fameuse bâtisse dans ses moindres détails. Toute la description dont on nous fait part est apportée par l’intermédiaire du regard de Gervaise, tel une caméra en mouvement : ( Le point de vue interne à Gervaise nous permet de suivre son regard (« examinait la façade » ; « promenait son regard , l’abaissait »; « remontait »;  « à droite » ; « en

« interprétation » (25-30 mn de recherche personnelle) citations observations interprétation Elle tendait les mains, avec le désir Elle= Gervaise qui voit ? Focalisation interne de Gervaise Elle tendait les mains Geste symbolique, de don Le lambeau de drap GN Pauvreté, misère, déchéance Soulager/ rabattre / arranger Protection (Gervaise) alors Connecteur temporel Mise à nu : le rideau s'est levé sur le corps de Lalie Le pauvre petit corps de la mourante apparut Lalie n'est

Fiche de Lecture Le livre choisi est l’Assomoir d’Emile Zola. C’est un roman naturaliste publié en 1877. L’histoire dramatique de Gervaise Macquart y est racontée en détails et avec objectivité. De cette façon, l’Assomoir contribue à l’étude faite par Zola dans son œuvre principale ; les Rougon-Macquart. Cette étude porte sur l’influence des milieux dans lesquelles vivent ses protagonistes sur leurs destinées. A travers les

informations et les repères nécessaires au lecteur. Mais Zola veut donner l’illusion de créer des personnages réels et faire de son roman « une tranche de vie ». Comment s’y prend-il ? Ier axe : Un incipit réaliste : - Début « in medias res » : « Gervaise avait attendu Lantier » →: les deux personnages ne sont pas présentés, comme s’ils étaient connus du lecteur depuis toujours. Zola donne uniquement le prénom de l’héroïne pour que celle-ci paraisse familière au lecteur. Sur la même ligne, on a «

spatial réel.C’est dans un contexte urbain et d’emplois que s’organise la société du roman. A travers l’observation du romancier nous voyons bien la classe ouvrière exposée a l’exploitation, a la pénibilité des emplois, a la misère et a l’alcoolisme. Gervaise, Coupeau, les Lorilleux ainsi que les autres ouvriers travaillent énormément pour subsister a leurs besoins primaires. De plus Zola utilise le langage des ouvriers qui est une langue verte d’argot populaire. Ainsi nous constatons qu’il y a une vraie

vers Paris qui les " dévorait ". A travers Gervaise, son héroïne, Zola va développer cette vision d’un peuple dont la dégradation, la paresse, la misère, l’errance et la mort sont inéluctables. Hugo condamna le roman pour la position du romancier à l’égard de son sujet : Zola, selon lui, prend plaisir à décrire cette misère et il y pénètre en " indifférent ou en curieux ». Cette complaisance apparaît dans la description de la pente fatale que suit Gervaise dans les six derniers chapitres du roman :"l'avachissement"

avec les autres. D’après Zola, l’alcoolisme a des effets, non seulement sur l’homme, mais aussi sur sa descendance. Gervaise Macquart, qui deviendra Gervaise Coupeau. C’est une blanchisseuse qui suit son amant à Paris, mais celui-ci l’abandonne, elle rencontre Coupeau et l’épouse. Ils ont un enfant ensemble. Mais Coupeau tombe d’un toit et il ne peut plus assurer ses fonctions: Gervaise se trouve seule à gérer 3 enfants. Elle va avoir un autre amant plus riche, qui va l’aider à avoir une blanchisserie

projet des Rougon-Maquart - Présentation du passage : Dans L’Assommoir, septième roman de la saga des Rougon Macquart, paru en 1877, Zola a « voulu peindre la déchéance fatale d’une famille ouvrière dans le milieu empesté de nos faubourgs ». Le premier chapitre entre directement dans l’histoire « in medias res », en montrant Gervaise en proie aux difficultés. Elle attend son amant qui a découché, dans une chambre misérable où dorment ses deux enfants. En même temps, Zola met en place le cadre