Décret Du 10 Octobre 1793

liée à la Chouannerie, l'ensemble de ces deux conflits étant parfois connu sous le nom de Guerres de l'Ouest. Comme partout en France, la Vendée a connu des manifestations paysannes, entre 1789 et 1792. Mais c'est au moment de la levée en masse, en 1793, que la révolte ou rébellion vendéenne, aussi appelée insurrection vendéenne, s'est déclenchée dans un premier temps comme une jacquerie paysanne classique, avant de prendre la forme d'un mouvement contre-révolutionnaire. Étalée sur trois années,

Douai ? Philippe-Antoine Merlin, dit Merlin de Douai pour le distinguer de Merlin de Thionville était un homme politique français, qui exerça son activité pendant la Révolution et l'Empire. Il voit le jour à Arleux, entre Douai et Cambrai, le 30 octobre 1754 et décède le 26 décembre 1838 à Paris. Fils d’un cultivateur, il devint avocat et fut jurisconsulte distingué. Député aux États généraux, il siégea parmi les Montagnards à la Convention, fut ministre de la Police sous le Directoire et ministre

ce qui leur assure la majorité ; le tiers état réclame le vote par tête, ce qui lui assurerait l'égalité et que les débats aient lieu en commun. Le tiers état fait valoir qu'il représente à lui seul la Nation, et refuse ainsi de quitter la place. Le 10 juin, le tiers état, à l'initiative de Sieyès, invite les députés des deux autres ordres à les rejoindre. Certains d'entre eux, des nobles libéraux (Lafayette) et des clercs proches du peuple, s'unissent au troisième ordre. On assiste ainsi à une révolution

privilèges du clergé et de la noblesse voté l’Assemblée la nuit du 4 août 1789 afin d’apaiser la situation. Le roi, effrayé par l'ampleur des bouleversements, refuse de reconnaître les décrets adoptés. Les Parisiens en colère décident de marcher sur Versailles le 5 octobre 1789. Ils contraignent Louis XVI à accepter les décrets et à quitter avec sa famille le château de Versailles pour venir s'installer à Paris. Le peuple est finalement parvenu à faire accepter au la roi la Révolution. B-) La

................................ - 8 - 4. La terreur ou la peur de l’Etat .................................................................................... - 9 - 4.1 De la première Terreur à la crise de 1793 ......................................................................... - 10 - 4.2 La Terreur pour sauver la Révolution ................................................................................ - 11 - 4.3 La grande Terreur .....................................................

gouvernante. Organiser une révolution en gouvernant, c’est donc organiser le néant. Ce principe de gouvernement est fixé, dans ses grandes lignes, dès avril 1793; sa charte basée sur le rapport de Saint-Just du 10 octobre 1793 qui déclare « le gouvernement révolutionnaire jusqu’à la paix » est nettement renforcé par le décret du 4 décembre 1793. C’est un gouvernement de guerre qui doit revenir à un régime constitutionnel « régime de la liberté victorieuse et paisible », dès que les ennemis seront vaincus

du tribunal révolutionnaire créé par la loi du 10 mars 1793 qui vise à contrer toute entreprise contre-révolutionnaire, tout atteinte a la liberté, à l’égalité, à l’unité, à l’indivisibilité de la République, à la sûreté intérieure et extérieure de l’État, et à tous les complots qui tendant à rétablir la royauté ou à établir toute autre autorité qui peut porter atteinte à la liberté, à l’égalité et à la souveraineté du peuple. D’avril à octobre 1793, le tribunal révolutionnaire juge environ 50 personnes

crise politique, économique et sociale qui participe à la naissance de la Révolution Française. Il se mariera avec Marie-Antoinette d’Autriche, avec laquelle il aura deux enfants, un garçon et une fille. Finalement, il mourra guillotiné le 21 janvier 1793, à Paris, sur la place de la Révolution. Marie-Antoinette d’Autriche est la dernière reine de la monarchie absolue française. Elle régna sur la France, au côté de son mari, Louis XVI, avec qui elle eu deux enfants, un garçon et une fille, de 1774

La Convention   La réaction Thermidorienne juillet 1794 - novembre 1795 Thermidor an II - Brumaire an IV   La réaction politique et économique La réaction politique et la chute des Jacobins La victoire du Centre Le matin du 28 juillet (10 thermidor), les députés de la Convention sont accueillis par des acclamations à leur sortie des Tuileries et les moins acclamés ne sont pas Tallien, Barras ou Fréron. Ces bourreaux d'hier sont aujourd'hui les coqueluches de la foule parisienne. Derrière

jeu politique de la République, 1793-1799 II. La Grande Nation et l’Europe, 1792-1803 III. Le Grand Empire et l’Europe, 1803-1813 I. Les guerres au cœur du jeu politique de la République, 1793-1799 A. De la défense de la République à la Terreur 24 février 1793 : décret sur levée de 300 000 hommes 9 mars : soulèvement en Vendée 2 juin : "coup d'Etat" contre les Girondins et début du mouvement fédéraliste en province 19 déc : reprise de Toulon par Bonaparte 1793-1794 : Terreur 27 juillet 1794 (9