Délinquance Dans Les Banlieu

constat: l’intégration de ces populations est devenue une plaie républicaine, tant la République n’a pas su répondre aux exigences de tous ses citoyens. Car, qu’elles habitent en «banlieue» ou non, les populations immigrés ou descendantes d’immigrés sont aujourd’hui constamment stigmatisées, soit en «cause du problème» (délinquance, «voleurs d’emplois»), soit en «conséquence du problème» (victimes d’un système élitiste et discriminant). Il suffit d’écouter les propos simplistes des Eric Zemmour et autres

même situation ": se trouvent définis uniquement à partir d'une base péjorative . Le texte insiste sur la distinction à faire entre un chômeur de longue durée et un jeune de banlieue qui ne trouve pas de travail car ils ont des trajectoires de vie différentes avec un passé, un présent et un avenir propres (exemple de la délinquance juvénile et des zones urbaines) . De plus, ramener les gens au terme d'"exclu" c'est faire comme s'ils vivaient dans un "hors-social" alors qu'ils sont dans le champ social

divisions, tensions voir des violences aux seins de la société. Rappelons-nous des violentes émeutes qui ont eu lieu dans 300 communes françaises et qui ont causés d’effroyables dégâts, des incendies, des blessés, des arrestations… Les jeunes de banlieues s’étaient révoltés suite à l’électrocution mortelle qu’on subit deux jeunes d’origine immigré qui essayaient d’échapper à un contrôle de police. Beaucoup pensent que le contrôle était dû au simple fait de leurs identités et si cela s’avérai être

professionnelles du secteur social au crible des évolutions des politiques publiques. Des nouveaux dispositifs d’insertion sociale. Face aux « rébellions urbaines des Minguettes » durant le mois de juillet 1981, aux violents incidents survenus dans la banlieue lyonnaise et face à la montée du chômage conséquence des crises pétrolières des années 1970, les pouvoirs publics français prennent conscience de la montée d’une nouvelle « pauvreté ». Apparait dès lors la notion « d’exclusion » qui implique la mise

Sommaire A. « Parias Urbains : Ghetto – Banlieues – État » de Loïc WACQUANT 1. Présentation de l’auteur et de son ouvrage 2. Résumé 3. Les idées clés B. « Le ghetto français : Enquête sur le séparatisme social » d’Eric MAURIN 1. Présentation de l’auteur et de son ouvrage 2. Résumé 3. Ce qu’il faut retenir C. Discussion et critique des ouvrages 1. Loïc WACQUANT 2. Éric MAURIN 3. Ce que j’ai pensé de ces ouvrages D. Sources Dans le cadre du cours de « Connaissance

qu’il y a vingt ans, il était caché et décrié (bien que répandu), aujourd’hui, une partie importante de la population n’hésite pas à se dire raciste. Les motivations restent pour autant les mêmes : peur de l’autre, montée de la délinquance dont on accuse les jeunes de banlieues, souvent issus de l’immigration. Il est présent dans toutes les catégories socioprofessionnelles et dans toutes les couches de la population, même si le multiethnisme semble mieux accepté par les jeunes aujourd’hui. Le racisme

Brahim, Paris, Denoël, 1985. 4 on a vu la francophonie officielle se réclamer. Au regard de cette histoire coloniale, le cliché selon lequel le français serait la langue de l’humanisme et du respect de l’Autre passe mal. Et cependant nos banlieues nous rappellent quotidiennement qu’elles font partie de notre identité, et produisent depuis peu une littérature qui nous le montre encore plus. La nomination récente d’Azouz Begag, le plus connu de ces écrivains, comme ministre de la Promotion de

leur entrée en France ? Mais encore comment gérer la situation de jeunes filles d’Europe de l’Est, détournées, séquestrées et exploitées par des réseaux de prostitution internationaux ? Dans un autre contexte nous constatons, le problème des banlieues et des violences urbaines. Elles nous interrogent de savoir si elles ne sont pas voulues, car on a créée depuis 50 ans des cités devenues "dortoirs et ghettos" où se mélange une pluralité ethnique avec un taux de chômage important. Nous trouvons

al-Malik Abd al-Malik est né à Paris il y a 29 ans. Lorsque ses parents déménagent à Strasbourg, il n’est encore qu’un enfant et se nomme alors Régis. Dans le quartier de Neuhof où s’installe la famille, l’environnement social n’est pas facile. La délinquance lui tend la main : « j’étais délinquant, pas parce que j’étais méchant. Quand on est gamin, on a envie d’être accepté par le groupe. On n’a pas envie d’être rejeté » confie-t-il calmement. A coups de vols et de trafics illicites divers, il trouve

Neuilly-sur-Marne : Chahrazad, brûlée à 60 % par son ex-petit ami, est maintenue plus de six semaines dans un coma artificiel. 2009, Oullins, dans la banlieue de Lyon : Fatima, 22 ans, est étranglée par son frère… La jeune femme s’était fiancée et avait trouvé un emploi. Chaque jour, les services de police enregistrent plus d’une vingtaine de plaintes pour des actes de délinquance similaires… Cathy Sanchez s’est immergée plusieurs semaines à Vitry, là où, en 2002, Sohane, 17 ans, est morte brûlée vive dans un local