Déshumanisation Prison

Il décrit les évènements tels qu'il les a vus ou entendus: «  L'homme vola. Je ne sais ce qu'il vola, je ne sais où il vola. Ce que je sais, c'est que de ce vol il résulta trois jours de pain et de feu pour la femme et pour l'enfant, et cinq ans de prison pour l'homme. ». Il est donc très objectif et adopte un point de vue externe. Cependant, on peut remarquer quelques marques de premières personnes : « je dis les choses comme elles sont » et «Je ne sais ce qu'il vola ». Ces phrases coupées de la situation

Michel FOUCAULT, Surveiller et Punir : naissance de la prison (1975) Voici une fiche de lecture écrite par l'ami de Lapin Fou sans qui ce blog n'aurait jamais existé. En espérant qu'elle vous rendra autant service qu'à noytre Lapin Fou national!! :-) Michel FOUCAULT (1926-1984) est diplômé de l’Ecole Normale Supérieure, titulaire d’une licence en philosophie, de psychologie et un diplôme de psycho-pathologie. Ses premiers travaux scientifiques portent sur les maladies mentales. C’est

Sommaire I-Qu'est-ce qu'une prison ? II- Pour qui ? III- A quoi servent-elles ? 1) Les buts de la prison 2) Les problèmes IV- Quelles sont les alternatives ? V- La prison en quelques chiffres VI- La prison, bénéfique ou non ?

lui dit qu'il n'y en avait point, et qu'on ne plaidait jamais. Il s'informa s'il y avait des prisons, et on lui dit que non. Ce qui le surprit davantage, et qui lui fit le plus plaisir, ce fut le palais des sciences, dans lequel il vit une galerie de deux mille pas, toute pleine d'instruments de mathématique et de physique. » Critique de la monarchie par la justice : dans l’Eldorado il n’y a pas de prison car ils n’ont pas besoin de juger les gens. Donc en fait leur société est basée sur la science

mari m'a regardé, j'ai fait. Nous étions tous deux sur l'apparence d'autres tellement peur que les larmessont venus nous dans les yeux. En Novembre 1980, Klaus et Waltraud Kruger ont été libérés. Daily 8,00 à 17,00 horloge qu'ils avaient utilisé à la prison à apparaître à Magdebourg. La famille Kruger, puis a de nouveau écrit à plusieurs demandes de quitter avant que les autorités accordé leur expatriation et ils pourraient en février 1981 en RFA à déplacer

comme un rappel à l’ordre redoutable pour les criminels. Ensuite, les opposants décrivent la peine de mort comme « cruelle » mais la peine de perpétuité est tout aussi inhumaine : c’est condamner à vivre, tout en sachant qu’on ne sortira jamais. En prison à perpétuité, le condamné perd le peu d’humanité qui lui restait, et devient un animal. On ne peut, ainsi, espérer aucune amélioration du comportement des criminels. Ce n’est pas être contre les droits de l’homme que d’être pour la peine de mort,

naissance de la prison (1791). Cette naissance conforte les illégalismes. ILLEGALISME POPULAIRE : surtout illégalisme de bien. ILLEGALISME BOURGEOIS : illégalisme de droits. Pour les populaires ont créé la prison. S’impose le thème de la délinquance et on va avoir cette police justice prison pour les illégalismes populaire. Pour les bourgeois, traitement différent, on parle moins de DELINQUANCE QUE DE DYSFONCTIONNEMENT. Un auteur parle d’erreur mais pas de faute. Donc ici pas de prison mais des transactions

dans un second temps, voit aussi sa perte de liberté par la façon dont il vit et se fait traité à l’intérieur de la prison. Pour commencer, le condamner se sent submergé et obsédé par sa condamnation à mort. Le condamné qui, avant, pouvait penser à ce qu’il voulait est maintenant pris avec la condamnation à mort comme seule idée dans son esprit, car ce dernier se dit comme étant en prison avec cette pensée. Dans le premier chapitre, le détenu nous explique, en gros, ce qu’il ressent par rapport à sa

FICHE DE JURISPRUDENCE Affaire Renolde contre France Arrêt rendu à Strasbourg le 16 octobre 2008 Les conditions de détention dans les prisons sont très souvent dénoncées dans notre pays. Or, le 16 octobre 2008, la Cour Européenne des Droits de l’Homme a condamné pour la première fois la France à cause du suicide d’un détenu, Joselito Renolde. La sœur de ce dernier était la requérante contre l’Etat français. Le sort des détenus et leurs conditions de détention sont donc bien des problèmes de

partie du mouvement de l'absurde et de l'existentialisme. On parle ici du narrateur, Meursault, entrainé dans une histoire de vengeance qui la poussé a commettre un meurtre, il fut donc emprisonné. Cet extrait nous raconte son séjour plutôt monotone en prison et sa façon à lui de « tuer le temps ». Mais alors, qu'est-ce qui prouve cette monotonie et quels ont été ses moyens pour tenter de s'adapter à la situation ? D'une part, nous verrons comment ce texte met en avant la monotonie de la vie du prisonnier