Désobéir Aux Lois

figure politique et spirituelle a permis à l’Inde de sortir de la décolonisation en 1947 par des moyens pacifiques,. Gandhi prône la désobéissance civile : forme de résistance qui consiste à désobéir collectivement à l’autorité de l’État, en n’obéissant pas aux lois considérées comme injustes (exemple : les lois Rowlatt), en les contournant (exemple : la loi sur le sel) ou en ne payant pas les impôts. Gandhi souhaite dans un premier temps obtenir des réformes et davantage d’autonomie pour son pays

les met au ban de la communauté nationale. Création d'un commissariat général aux questions juives pour harmoniser cette politique antisémite. Création d'une charte du travail avec un seul syndicat unique par famille professionnelle Instauration de lois favorisant la solidarité de la famille avec par exemple le divorcé autorisé seulement après 3 ans de mariage. Encadrement de la jeunesse avec les Compagnons de France ainsi que les Chantiers de la Jeunesse. Réconciliation entre Église et État. Collaboration

humaine, le poussant à agir « sans réfléchir ». Elle permet la conservation de l’espèce, poussant l’Homme à aider « ceux que nous voyons souffrir ». Pour l’Homme de la nature, elle est l’équivalent « de Lois, de mœurs, et de vertu », avec cependant une différence majeure. En effet, on peut désobéir à une loi, changer les mœurs ou tomber dans le vice, mais il est impossible à l’Homme d’ignorer ce que lui dicte sa pitié car c’est un sentiment naturel, quelque chose d’inné qu’il ne pense pas à remettre

Rousseau au chapitre III du livre I du Contrat social : un brigand me surprend au coin d’un bois, j’obéis à son pistolet. Il s’agit alors d’une contrainte physique qui n’engendre aucune obligation. Je ne suis pas obligé d’obéir, car dès que je peux désobéir (si je deviens plus fort), je le ferai. La contrainte n’assure aucune stabilité dans l’obéissance : l’obéissance ne dépend que du rapport de forces, qui est précaire. L’obéissance n’est stable que si elle suppose le choix libre et volontaire :

Machiavel sur les vertus du Prince: "Il n'est donc pas nécessaire à un prince de posséder toutes les vertus énumérées plus haut…" Qu'est-ce qu'une majorité politique? (Politique) Peut-on rationnellement fonder l'ordre éthique et politique sur les idées de lois et de condition des hommes ? Faut il voir dans l'opinion publique l'expression du public ou une image dans laquelle le public se conforme ? (Politique) Y a-t-il une fonction politique de la philosophie ? (Politique) Qu'est ce qu'etre un bon citoyen

besoin de la force? A-t-elle réellement besoin de contraindre pour exister? Être juste par force, n'est-ce pas ruiner toute moralité? La moralité ne suppose-t-elle pas l'autonomie, c'est-à-dire une volonté libre qui se donne à elle-même ses propres lois et qui les suit par pur respect parce qu'il en reconnaît le bien fondé? "S'il faut obéir par force, on n'a pas besoin d'obéir par devoir" disait Rousseau (Du contrat social, Chap. III. -Du droit du plus fort). Ne peut-on pas éduquer à l'idéal plutôt

laïcisé. Plus on avance dans le temps et plus le FAS s’estompe et laisse l’IUS se développer sous une forme coutumière. Le droit laïc se développe. La source principale de l’IUS est la coutume, le droit privé est essentiellement régi par la coutume. Les lois ne valent que pour l’organisation du public. En 509 : Révolution à Rome. Tarquin le Superbe est renversé. Du coup l’aristocratie va établir tout un ensemble de magistrature. Le pouvoir est Res Publica, le pouvoir est la chose de tout le monde. La

décide d’enterrer son frère et de se dresser contre Créon, le roi, son oncle qui a interdit « les devoirs funèbres » à Polynice, le vaurien, le révolté, le voyou. Cette opposition lui a coûté la vie, en effet elle fut tuée par Créon pour lui avoir désobéi. Par ailleurs, on peut considérer que la rébellion d‘Antigone représente la Résistance à l'ennemi, la désobéissance au Maréchal Pétain est symbolisée par la lutte d‘Antigone contre les ordres de Créon, la mort sans sépulture, sans respect évoque aussi

nnable dans les intérêts  supérieurs de l'entreprise.  o Devoir de loyauté : placez les intérêts de l'entreprise au­devant des vôtres.  o Devoir d'obéissance : Agir selon les possibilités de l'entreprise/organisme, en  respectant les règles et les lois applicables.    Mais il existe donc 2 grands domaines de cette responsabilité civile :  ­ Responsabilité civile contractuelle : Elle est engagée en cas de  mauvaise exécution des obligations nées d'un contrat.  Le débiteur est condamné au paiement de dommages et intérêts à raison de 

réellement besoin de la force? A-t-elle réellement besoin de contraindre pour exister? Être juste par force, n'est-ce pas ruiner toute moralité? La moralité ne suppose-t-elle pas l'autonomie, c'est-à-dire une volonté libre qui donne à elle-même ses propres lois et qui les suit par pur respect parce qu'il en reconnaît le bien fondé? "S'il faut obéir par force, on n'a pas besoin d'obéir par devoir" disait Rousseau. Ne peut-on pas éduquer à l'idéal plutôt que d'imposer l'idéal ? Une règle qui est librement