Écoconception

Usine nouvelle 2008 : l’ameublement s'organise face aux délocalisations). Une piste à suivre pour se démarquer de la concurrence est aussi d'intégrer des préoccupations environnementales dans la conception des produits, que l'on appelle alors « écoconception ». Celle-ci peut directement influer sur le développement de parts de marché (certains marchés, comme ceux des pays nordiques ou de l'Allemagne, sont très sensibles à l'environnement) ou encore sur l'accès à certains marchés publics (demandes

pour l’environnement. De plus en plus les marques montrent leur respect pour l’environnement et leurs engagements sont une partie active de leur communication -Actions : allègement des packagings, développement de matériaux moins polluants : ECOCONCEPTION, action dans le développement durable notamment le recyclage…et développement du BIO. Annexe 2 : Analyse des 5 forces de Porter Les entreprises doivent prendre en compte les forces qui structurent la concurrence au sein d’un secteur. Pouvoir

d’utilisation de ces derniers Participation de la DREAL, l’Agence de l’Eau, l’Ademe et la Région Au-delà d’un «simple» guide sur le traitement des déchets, avez-vous utilisé ce support afin d’apporter d’autres informations : prévention, MTD, écoconception, recommandations réglementaires particulières,…? Recommandations réglementaires incluses. Non Aucune idée Règlementation Tous ces thèmes sont abordés, ainsi qu’une liste des entreprises prestataires en fonction des déchets Site internet du

comme grille de lecture et d’évaluation des pratiques* • • • La réparation, le ré-emploi La valorisation des déchets comme ressources Le traitement des déchets Maitrise des flux et des cycles matières, énergies, eau : • • • Ecoconception et analyse en cycle de vie, Eco production / éco efficience vers une production « propre », Ecologie industrielle et territoriale 3. Economie circulaire : quelques principes Tous les acteurs (des acteurs économiques et entreprises aux territoires

développer l‟usage de la facture électronique auprès des clients. Il repose sur des actions concrètes, aux résultats mesurables, selon 5 axes : l‟évaluation de la performance environnementale des produits commercialisés par Orange, le recyclage, l‟écoconception de ses boutiques et des produits, la pédagogie autour des « gestes verts » menée auprès des consommateurs et des collaborateurs et la réduction des consommations de papier. WWF apporte ainsi à Orange son expertise scientifique et sa capacité à

? Il est admis depuis longtemps que les variables et les relations macro ne sont pas le résultat de l’agrégation des comportements individuels. Même si l’on constate le développement des entreprises à vocation environnementale (conseil en DD, écoconception, recyclage), cela ne signifie pas que le problème se résorbe à l’échelle globale. On peut au contraire envisager que la croissance des secteurs « verts » résulte d’une forte augmentation des effets négatifs de l’activité économique sur l’environnement

(gain de temps…) Inflation du cadre normatif imposé aux machines Souhait de personnalisation des offres Recherche d’informations en amont par le client Services électroniques (géolocalisation…) Sécurisation et performance technique des machines Écoconception industrielle (pollution, matériaux…) Traitement des déchets par les loueurs (huile, filtre…) Avancée des chantiers de BTP Passage des loyers en charges pour le client Distorsions fiscales : poids de la CVAE pour le loueur, non-récupération de la

schématiquement : la première étape, désignée par informatique verte en France (le terme angloaméricain est Green IT 1.0) désigne l'ensemble des méthodes qui réduisent l'impact de l'informatique sur l'environnement par une démarche écoresponsable (écoconception, économies d'énergie, gestion des déchets). Elle s'applique principalement au matériel informatique, ainsi qu'aux méthodes de développement logiciel qui diminuent l'impact sur la consommation électrique ; la deuxième étape, désignée par écoinformatique

consommation d’eau – eaux usées et procédés d’assainissement – consommation d’énergie – air – déchets – pollution des sols – biodiversité – impacts locaux (sonores, olfactifs) – impacts liés au transport • intégration de l’approche produits/services – écoconception – réduction des impacts liés à l’utilisation – fin de vie (recyclage, réutilisation) • indicateurs de performance (sites et produits) avec évolution sur plusieurs années • comparaison sectorielle (avec autres entreprises du même secteur) • plan

concernent les installations classées pour la protection de l’environnement (ICPE), soumises à une règlementation stricte et les formations à la sécurité, à la prévention ou aux alternatives à l’utilisation de produits dangereux ou polluants (écoconception, écoproduits, HACCP… ). Des mesures visant à pallier les défaillances organisationnelles et humaines qui caractérisent généralement ce type d’événements pourraient permettre d’en éviter une grande partie. En France, existe depuis 1992 une base